Sans Dieu on ne peut rien faire

Beaucoup, en France, attendent que quelque chose se passe car ils sentent qu’on ne peut pas continuer ainsi à voir la France couler. Et on se raccroche à toutes sortes d’initiatives. Les uns sont enthousiasmés par les discours virulents et guerriers d’un Rémi Daillet ou du dirigeant du CNT, Éric Fiorile. D’autres sont séduits par telle ou telle des multiples initiatives du « nouveau parti (ou du nouveau mouvement) qui va sauver le monde ». Et les plus courageux prennent leur plume (une façon de dire qu’ils se mettent au clavier de leur ordinateur) et pondent un programme qui, à leurs yeux, devrait rassembler tout le monde…
Mais un discours, aussi bon soit-il, ne suffit pas
Ce ne sont pas de grands discours qui font peur au pouvoir en place. D’ailleurs, pour qu’un discours entraîne l’enthousiasme des foules, encore faudrait-il qu’il fasse rêver. Il faudrait qu’il parle de projet de société (la France telle qu’on aimerait la voir dix ans après la prise du pouvoir) et non un malheureux programme, plus ou moins technique, qui raconte ce qu’on promet de faire demain matin. Or personne ne fait l’effort d’écrire un projet de société.
Le malheur est que ces discoureurs ne savent pas ce qu’est l’action politique. Il s’agit de mobiliser des millions de personnes sur des objectifs bien identifiés, sur lesquels on veut faire reculer le pouvoir. Ne dénigrons pas les actions courageuses de nombreux groupes sociaux : les Gilets jaunes, les manifestants contre le projet de réforme des retraites, contre le projet de loi sur la sécurité, les paysans, le personnel soignant, les avocats et bien d’autres. Bravo à eux ! Mais il n’y a pas eu de résultat. Pourquoi ? Parce que l’on n’arrive pas à échapper à une mentalité électoraliste. On croit que la solution est dans les élections.
Prenons exemple sur les Polonais et les Allemands de l’Est qui, il y a trente ans de cela, ont contribué, par des manifestations répétées dans la rue, à faire tomber le communisme. Pourquoi ? Parce qu’ils étaient unis sur un même objectif. En France, il y a deux maux dont nous devons nous débarrasser : la mondialisation et l’immigration. Les combattre est déjà un objectif, mais on reste sur le terrain économique, pas politique.
A qui devons-nous ces maux ? A la franc-maçonnerie qui, avec un effectif dirigeant de l’ordre de 3600 personnes, dirige secrètement le monde. Les francs-maçons sont infiltrés dans tous les organes de pouvoir et disposent d’énormes moyens financiers. Ils sont alliés au Diable et c’est pourquoi seule l’aide de Dieu nous permettra de les combattre et de les anéantir. Il faut donc choisir entre le Dieu-amour et le dieu-argent. Ils veulent détruire la famille, structure de base de la société et les Etats qu’ils veulent remplacer par un gouvernement mondial.
C’est pourquoi nous devons lutter pour le Dieu-amour, la défense de la famille et de notre patrie, ce qui se résume par le slogan :
Dieu-Famille-Patrie


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