Honte aux Droits de l'Homme !

La Déclaration des Droits de l’Homme est la nouvelle religion, instaurée progressivement dans le monde entier sur le modèle de la révolution française. Nombreux sont les chrétiens qui s’en accommodent, n’y trouvant rien à redire puisqu’apparemment, il s’agit de défendre la justice.
Or l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 énonce : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. »
Ainsi il est dit : « occupe-toi de toi et non des autres (sauf si tu les gênes) ». C’est une perspective totalement individualiste, en opposition totale avec l’enseignement du Christ : « Je vous donne un commandement nouveau : vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jean 13, 34). Et le texte ajoute : « Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. » Il y a là une contradiction totale par rapport au Décalogue : « Je suis Yahvé, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude. Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi. » (Exode 20, 2-3). Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas de lois, mais que celles-ci doivent être conformes à la doctrine chrétienne, et non le simple résultat d’une concertation humaine.
La question est de savoir si cette Déclaration des Droits de l’Homme est un progrès ou une régression. C’est en fait le même choix que celui que propose Jésus : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Choisir entre les Droits de l’Homme et Dieu, c’est la même chose que choisir entre Dieu et l’Argent.
Choisir le dieu-argent, nous savons où cela nous conduit. Même le socialiste Hollande dénonçait le rôle néfaste de la finance. Les exemples sont infinis. Prenons simplement celui du vaccin contre le COVID-19 : alors que tous les tests de vérification de leur conformité aux règles sanitaires n’ont pas été faits, plusieurs vaccins sont mis précipitamment sur le marché, le grand marché du siècle puisqu’on estime le nombre de clients potentiels à près de trois milliards ! Et personne ne s’étonne que Boris Johnson (Royaume Uni), Trump (Etats-Unis) et Bolsonaro (Brésil) ont été contaminés par le virus et guéris en huit jours ! Alors pourquoi un vaccin puisqu’on peut en guérir en quelques jours ?
Sur le fond, est-il plus efficace – raisonnons comme un chef d’entreprise – de diriger un pays où chacun peut faire ce qu’il veut, sans aucune cohésion d’ensemble, ou au contraire un pays dans lequel tout est fait pour que les esprits soient orientés dans la même direction, celle de l’amour du prochain et de la recherche du bien commun ?
Il y a aussi le fait que les défenseurs de la Déclaration des Droits de l’Homme sont aussi ceux qui promeuvent la liberté de l’avortement et l’euthanasie. Ainsi on parle de défendre l’homme, mais ni depuis sa conception ni jusqu’à sa mort biologique. C’est une grande hypocrisie !
Pourquoi en est-il ainsi ? Est-ce un hasard ou une maladresse humaine ? Bien sûr que non. Déjà au dix-neuvième siècle, la Franc-maçonnerie annonçait quel allié elle s’est choisi : « La franc-maçonnerie considère Satan le Grand comme le maître véritable » (Extrait du périodique maçon « Rivista della Massoneria Italiana », 1887). Or Satan veut détruire la création divine. C’est pourquoi la Franc-maçonnerie a pour objectif de réduire la population mondiale à 500 millions de personnes. D’une part, elle généralise la pauvreté et, d’autre part, elle emploie tous les moyens possibles pour tuer le maximum de gens. La diffusion de vaccins frelatés est l’un de ces moyens. C’est ce qu’expliquait le site « verit-covid19.com » avant d’être rendu inaccessible par des agents du pouvoir. Rappelons que les vaccins contiennent le virus de la malaria, celui du sida et des nanoparticules que l’on garde pour la vie et qui servent à pister les individus.

Refusons la dictature des Droits de l’Homme
Vive le roi Louis XX


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