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LES IMPASSES DU PROJET MONDIALISTE

Pendant que les media mondialistes diffusent, sans aucun essoufflement, leur propagande déclarant à tous et à toutes que le camp occidental, sûr de son bon droit, se bat sur tous les fronts pour, soi-disant, apporter la paix et la prospérité à tous les peuples, un éminent intellectuel, Jacques Attali, s’interroge, dans un récent livre – « le monde, modes d’emploi » (Flammarion, mai 203) – sur les scénarios possibles, à horizon 2050. Et il conclut en expliquant que le monde se dirige vers trois impasses conduisant chacune vers l’extinction de l’humanité. Et nous verrons, dans la suite du présent article, combien est ridicule et naïve la solution qu’il propose.
Commençons par reconnaître à Jacques Attali son analyse pertinente des régimes politiques possibles, qu’il limite à trois. Il en avait fait la démonstration dans un précédent livre en expliquant qu’il existe, selon lui, trois métiers fondamentaux : le soldat, le prêtre et le marchand. En transposant cette nomenclature au niveau politique, il en déduit que tous les régimes politiques se ramènent à trois fondamentaux :
le pouvoir impérial, le pouvoir rituel et le pouvoir marchand
Cela semble une bonne approche. Malheureusement, refusant de reconnaître le rôle prééminent des religions à travers les siècles, il analyse que, depuis la république de Bruges, toute l’histoire du monde se résume à la domination d’un pouvoir marchand dont la caractéristique principale est l’emplacement géographique de sa capitale, qu’il appelle « le cœur » : après Bruges, Venise, Anvers, Gênes, Amsterdam, Londres, Boston, New-York et la Californie, il sera quelque part en Chine. Telle est, selon Jacques Attali, la prévision la plus vraisemblable. Il appelle « forme » chacune de ces occurrences d’un même régime.
Ainsi Jacques Attali analyse que le monde va évoluer vers l’une des 3 impasses suivantes. Première impasse : l’ordre marchand organisera encore la production, l’échange et l’accumulation des richesses marchandes ; il gouvernera encore la géopolitique, la politique et les valeurs ; la neuvième forme se disloquera ; les Etats-Unis tenteront d’abord en vain de la maintenir. Ils ne seront plus en 2050 la puissance dominante, ni économiquement, ni politiquement, ni culturellement : une dixième forme s’imposera.
Pour nourrir la population mondiale (9 milliards de personnes), il faudrait augmenter massivement l’usage des engrais azotés et des nutriments phosphatés, l’élevage industriel et la pisciculture, surtout d’espèces herbivores. Cela serait un désastre pour la vie dans les océans et dans les sols. En 2050, plus de 5 milliards de personnes auraient du mal à accéder à l’eau. Le développement industriel tuerait toute vie dans les océans. Donc ailleurs aussi. Avant tout cela, ce scénario serait balayé par la plus grande crise financière de tous les temps. La neuvième forme n’y résisterait pas.

Jacques Attali envisage alors une deuxième impasse : le scénario précédent n’ira pas à son terme car, pour la première fois depuis son installation il y a neuf siècles, l’ordre marchand rencontrera dans les trente années à venir des contradictions telles qu’il faut s’attendre à des bouleversements bien plus essentiels qu’un simple déplacement de son cœur.
La Chine va devenir vieille, avant de devenir riche : 30% des Chinois auront plus de 65 ans. Trois villes seront, en 2050, au sommet de leur puissance : Miami, Dubaï et Singapour. Aucune ne semble pouvoir être le cœur. De fait, l’ordre marchand sera devenu si puissant et la technologie si nomade qu’aucune puissance politique géographiquement déterminée n’aura plus la capacité de le contrôler, ni de l’orienter ; ni de la réguler. Ce scénario n’ira pas à son terme. Aucun pays ne sera au cœur et la périphérie n’acceptera plus d’ordre de personne. Avant 2050, l’ordre marchand tentera une autre stratégie pour survivre : mettre en place une forme sans cœur.

C’est la troisième impasse : on tentera alors, en vain, d’installer une forme sans cœur ; c’est-à-dire un ordre du monde dominé par le marché sans qu’un pays domine ce dernier. Avancer dans cette voie conduira l’humanité à devoir affronter trois menaces mortelles : la guerre, le climat, l’artefact.
Il n’y aura pas de lieu principal d’accumulation des richesses et des pouvoirs, mais régneront plus que jamais les valeurs de l’ordre marchand et d’abord celles de l’individualisme et de son corollaire, la déloyauté. Rien ne garantira plus la sécurité, sinon des milices privées et des organismes privés de gouvernance qui veilleront, pour leur propre compte, au respect de ces normes. Leur police deviendra de plus en plus préventive, jusqu’à arrêter les gens en fonction de la seule possibilité de leur passage à l’acte. Cependant, une forme sans cœur ne serait pas plus viable qu’un dixième cœur. Les populismes se multiplieront.
Trois impasses qui conduisent à trois menaces mortelles 
Vers 2050, Jacques Attali prévoit trois menaces mortelles existentielles contre l’espèce humaine : le climat, l’hyperconflit et l’artificialisation des relations humaines. Des armes nouvelles seront entre les mains d’Etats, de milices, de pirates, de terroristes, de mafias, de cartels de la drogue, de mouvements religieux. On saura déclencher une sécheresse, ou de la pluie, ou des ouragans, ou une épidémie. La cyberguerre sera partout. On saura créer des êtres virtuels, qui auront leur personnalité propre, leurs passions, leurs amours, leurs caprices, leurs perversions. Des robots auront des humains comme employés.
Devant ces menaces existentielles, Jacques Attali est sans solution
Alors, quelle solution Jacques Attali propose-t-il pour éviter cet enfer qui ne peut conduire qu’à la disparition non pas simplement d’une civilisation mais de l’humanité tout entière ? Curieusement, Jacques Attali adopte une démarche chère aux chrétiens : que les humains se changent eux-mêmes. Le côté comique – en fait tragique – est que ce qu’il demande comme changement dans les esprits est complètement irréaliste. Exemple : « Chacun devra d’abord établir une liste exhaustive (pour les années passées, l’année en cours et si possible les suivantes) de ses revenus et de ses dépenses, (…) en distinguant dans ses dépenses celles relevant de l’économie de la vie et de l’économie de la mort. » En clair, il faut avoir au moins le niveau « bac + 5 » pour entamer une démarche de changement de son mode de pensée. Jacques Attali est dans l’utopie la plus complète.
C’est là qu’on voit – si on ne l’avait pas perçu avant – à quel point est vraie la parole du Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Niant Dieu, Jacques Attali reste enfermé dans l’impasse de l’idolâtrie du régime marchand.

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POUR UN ROI TRES CHRETIEN

Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
-       un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
-       des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
-        des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :

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Vincent Reynouard...

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