Religion et politique sont indissociables

L’existence de Dieu et sa Parole, qui s’exprime par la Bible, s’imposent à tout homme, qu’il soit croyant ou non. Car ce sont deux vérités accessibles à la raison. La question que tout homme devrait se poser est la suivante : est-ce que j’opte pour la loi de Dieu ou pour la loi du Diable ? En d’autres termes, est-ce que je choisis le vrai Dieu ou le dieu-argent ? Car il n’existe pas de troisième voie, Jésus-Christ nous en a avertis : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Et Jésus explique que servir le dieu-argent ou servir Mammon, c’est-à-dire le Diable, c’est la même chose.

Il faut choisir entre la civilisation de l’amour et le dieu-argent

Prenons comme exemples deux problèmes concrets qui se posent à l’homme d’aujourd’hui : la voiture électrique et l’intelligence artificielle. Dans le premier cas, il a été calculé que le remplacement des voitures à moteur thermique par des voitures électriques supprimerait 40% des emplois dans cette branche d’activité. Dans le deuxième cas, les estimations n’ont pas encore été faites, mais il est fort probable que ce sera un tsunami encore bien pire en matière d’emplois.
Certains experts ont même calculé que tous les besoins de l’homme, à l’échelle planétaire, peuvent être produits par 20% de la population active. Et ils en ont conclu, dans une logique très malthusienne, qu’il faudra assurer un « revenu universel » aux 80% qui ne travaillent pas, qu’on isolera du monde du travail un peu comme les réserves d’indiens en Amérique.

C’est l’hypocrisie des Droits de l’Homme : seule une minorité en profite

Comment, alors, résoudre ces deux problèmes dans une logique chrétienne ? En ce qui concerne la voiture électrique, la solution réside probablement dans la production de carburants de synthèse plutôt que la fabrication massive de batteries, autrement plus polluantes (mais dans le Tiers-Monde). Pourquoi ne le fait-on pas ? Tout simplement parce que la recherche du profit maximum conduit à créer toujours de nouveaux moyens industriels, qui à détruire des infrastructures qui ont été construites tout au long du vingtième siècle et ont coûté des milliards.

La logique de l’argent ruine les sociétés

Dans le monde du management, on sait pratiquer « l’analyse de la valeur », c’est-à-dire une approche systémique prenant en compte toutes les parties prenantes. C’est ce qu’il faudrait faire en macro-économie : avant tout lancement de projet, surtout quand on sait qu’il aura des incidences nationales voire internationales, une étude devrait être faite prenant en particulier en compte les impacts sur l’humain, que ce soit en matière d’emplois, d’environnement ou autre.
En clair, le souci de l’humain – qui n’est pas ce qui est pratiqué dans nos pseudo-démocraties – conduit à retarder tel ou tel investissement, voire à l’interdire si les impacts sur l’homme sont jugés trop négatifs.

C’est pourquoi, depuis 2000 ans, des forces diaboliques cherchent à détruire le christianisme

C’est très grave car l’oligarchie mondialiste utilise deux outils à cette fin : un outil religieux (l’islam) et un outil culturel (le sabotage de l’enseignement). D’où la volonté ferme des instances européennes – constituées de technocrates non élus – de développer toujours plus l’immigration extra-européenne ouvrant la voie à l’invasion massive de musulmans important une culture qui ne pourra que détruire la civilisation européenne fondée sur le christianisme.

Plus...