Macron accepte que la France soit bombardée par la Russie

Macron engage la France au côté des Etats qui envoient des armements au gouvernement ukrainien. Or Poutine a prévenu : tout pays qui intervient militairement en assistance de l’armée ukrainienne sera considéré comme un cobelligérant et pourra en subir des représailles.
Paris, Lyon ou Marseille peuvent donc être détruites par une bombe nucléaire russe !
Une décision aussi grave aurait dû faire l’objet d’un débat et d’un vote au Parlement. Les Français sont-ils conscients de ce risque ? Sans doute pas puisque tous les partis politiques ne cessent de faire une propagande intense en faveur du développement de tous moyens aptes à faire reculer Moscou.
Voyons quels sont les enjeux. Contrairement à la propagande américaine, aucun pays européen n’est menacé d’invasion par la Russie. Poutine veut simplement une Ukraine indépendante, neutre, non liée à l’OTAN.
Tandis qu’en Afrique, la France a pris le prétexte du refus du nouveau gouvernement du Mali de tout maintien de l’armée française sur son territoire pour se désengager partiellement de ce continent. Alors que le danger est là : l’islam continue sa progression en Afrique subsaharienne et fait donc peser, à terme, la menace d’une invasion massive de migrants politisés et décidés à transformer la France en une république musulmane.

L’intérêt de la France est de s’investir en Afrique et non en Ukraine

Comment en est-on arrivé là ? Tout simplement parce que la France, faisant partie de l’OTAN, est quasiment obligée de participer à la mise en œuvre de la politique extérieure américaine, dont un des objectifs, en alliance avec le Royaume Uni et Israël, est de détruire la Russie ou d’en faire un vassal, comme c’est le cas pour tous les Etats membres de l’Union Européenne.
L’alternative est simple : il faut que la France sorte de l’OTAN et de l’Union Européenne. Elle pourrait ainsi faire bloc avec la Russie et appeler tous les Etats européens à la suivre de manière à renverser le rapport de forces et imposer réellement ce que demande Poutine : une Ukraine indépendante et neutre. C’est l’intérêt profond des Etats membres de l’Union Européenne car, s’ils continuent à soutenir la politique américaine, ils seront considérés par Poutine comme des cobelligérants et recevront tôt ou tard les bombes russes sur leur tête.
Même si l’objectif militaire de Poutine était limité initialement à l’Ukraine, il est forcé de reconnaître qu’il a en face de lui non seulement l’armée officielle ukrainienne mais aussi l’OTAN. Nous ne sommes pas loin d’une troisième guerre mondiale. Est-ce vraiment ce que veulent les peuples européens ?

C’est la France, fille aînée de l’Eglise, qui doit prendre l’initiative en décidant :

Le retrait de la France de l’OTAN

Un engagement plus prononcé en Afrique pour lutter contre l’islamisme

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