L'impuissance de la république face au communautarisme

Le Figaro du 17 août nous informe que « le ministère de l’Intérieur surveille de près cinq départements où des élus sont connus pour leurs tentations communautaristes ». Et on apprend ainsi que, même si l’influence est très marginale au niveau national, dans certains bureaux de vote, du Val d’Oise notamment, le score se situe entre 6 et 17%. C’est presque le score du Rassemblement National et mieux que celui des Républicains !
Par ailleurs, on sait qu’il y a en France de l’ordre de 1500 « zones de non droit », où l’autorité publique ne règne pas. C’est la police, la gendarmerie, les pompiers et parfois même les médecins qui sont accueillis par des jets de pierre ou d’autres formes de violence.
Pas étonnant, dira-t-on, puisque la population musulmane en France est de l’ordre de 10 à 12 millions de personnes. Et, parmi elles, les spécialistes estiment que le nombre de sympathisants djihadistes est de l’ordre de 2 à 3 millions. Ces sympathisants ne sont des terroristes mais des gens qui considèrent que leur patrie est l’islam et non la France.
Et parmi tous ces gens-là, il y a les véritables islamistes qui utilisent intelligemment l’effet de levier dans le but d’entraîner l’ensemble de la population musulmane dans une opposition radicale aux lois françaises. C’est ce qu’on appelle le communautarisme.

Face à ce danger d’extension, la république est désarmée

Au nom de la laïcité, l’Etat ne peut pas interdire le communautarisme. Il peut simplement sanctionner le non-respect des « valeurs de la république », à savoir l’égalité homme-femme, la légalité de la construction de lieux de culte et des écoles coraniques. Le pire est que, bien souvent, il ne peut pas refuser d’attribuer des subventions, ce qui fait qu’il finance, contre son gré, le développement du communautarisme !
Avec le décalage des taux de natalité des Français de souche et des musulmans, on va droit vers la transformation de la France en une république islamique, ce qui, ne l’oublions pas, conduira à un véritable apartheid, les Français de souche devenant des citoyens de second ordre.
Ce n’est pas par hasard si la France en est arrivée là. La franc-maçonnerie, qui fait partie de tous les gouvernements depuis deux cents ans, veut détruire le christianisme. Et c’est pourquoi elle encourage les vagues migratoires qui sont en train de provoquer le « grand remplacement » de la civilisation chrétienne bimillénaire par une culture venue d’ailleurs.
Le piège de la laïcité, c’est qu’elle prétend établir l’égalité entre toutes les religions. Mais la neutralité est une utopie : il y a forcément un gagnant et un perdant. Et la subversion islamiste sait très bien jouer la carte de la laïcité. Au nom de celle-ci, elle ne cesse de réclamer des avantages pour la communauté musulmane.
Il faut donc affirmer la primauté du christianisme. Mais ceci est incompatible avec la république. Car il faut un roi, lieutenant de Dieu sur terre, pour l’assurer. Cela ne veut pas dire que les religions seront interdites et que tout le monde devra devenir catholique. Les religions seront respectées à condition qu’elles défendent avant tout la France et non une puissance étrangère.

Vive le roi Louis XX !
Pour une Europe des nations chrétiennes

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