Rétablir la peine de mort

Jean-Eric Schoettl écrit, dans le Figaro du 11/08/2020 : « Que faire de la centaine de détenus condamnés pour des actes en lien avec le terrorisme islamiste qui, arrivant en fin de peine, vont être libérés en 2020 et 2021, alors que, pour la plupart d’entre eux, ils représentent une grave menace pour la sécurité publique du fait de leur adhésion persistante à une idéologie incitant à la commission d’actes de terrorisme ? »
Plus loin, dans son article, l’auteur constate avec regret la réticence à admettre que « le droit pénal puisse avoir un objet préventif ». En clair, il faudrait que le droit sanctionne une opinion avant le passage à l’acte. Une voie dans laquelle le Conseil Constitutionnel a refusé de s’engager en déclarant inconstitutionnel un projet de loi allant dans ce sens.
C’est dire l’impasse dans laquelle se trouve notre république : la probabilité est forte que la plupart des détenus, une fois sortis de prison, reprennent le chemin du terrorisme en France, mais le droit ne peut rien faire pour éviter de nouvelles victimes !
Et pourtant, ces mêmes individus, s’ils avaient été pris sur le fait, en pleine action terroriste, auraient tout simplement été tués par les forces de l’ordre. Macron l’a dit : « Nous sommes en guerre » et, en pleine guerre, pour protéger notre pays, nous sommes obligés de tuer.

Il faut donc rétablir la peine de mort pour les terroristes pris sur le fait

Mais, dira-t-on, certains d’entre eux se sont laissés entraîner et sont prêts à abjurer leur adhésion au terrorisme islamiste. Ce ne serait pas juste de les priver d’une chance de se repentir. Tout d’abord, nous savons que si de tels cas existent, ils sont très minoritaires. Et puis, les hésitants, s’ils savent qu’ils sont menacés de la peine de mort, refuseront peut-être de s’engager.
Inversement, la doctrine islamiste persuade les militants que, s’ils meurent en combattant, ils iront droit au paradis ! Autant de raisons qui nous convainquent qu’un terroriste sorti de prison reste, dans l’âme, un terroriste et attend la prochaine occasion de passer à l’action.
Elevons le débat au niveau politique : l’abolition de la peine de mort, dont Robert Badinter fut un grand porte-parole, est à comparer à la propagande pacifiste diffusée par la gauche dans l’entre deux guerres. Résultat : l’armée française et toute la population étaient mal préparées et cela nous a coûté une défaite humiliante en 1940.
« En politique, il n’y a pas de hasard », disait le président Roosevelt, franc-maçon notoire. Cette abolition de la peine de mort avait pour but de faire vibrer la corde sensible des Français en leur faisant baisser la garde. Concrètement, elle nous conduit aujourd’hui à laisser les anciens terroristes libres de préparer de nouveaux attentats. Et c’est voulu : l’oligarchie mondialiste qui est derrière ces préconisations suit la règle « ordo ab chaos », autrement dit « organisons le chaos afin de faire table rase avant de construire le nouvel ordre mondial ».

A bas le mondialisme
Le Christ vaincra !


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