Le complotisme, mythe ou réalité ?

Dès que quelqu’un laisse entendre qu’un événement politique a été prémédité, des voix s’élèvent pour l’accuser de « complotiste », en ajoutant des commentaires méchants, faisant comprendre que la personne en question confond ses rêves avec la réalité. Alors, qu’en est-il exactement ? Qui a tort et qui a raison ?
La pandémie que nous subissons est un bon exercice pratique : est-elle due au hasard ou à la maladresse d’un laboratoire de recherche bactériologique, comme on le dit couramment, ou, au contraire, cette pandémie a-t-elle été provoquée ?
Il est très compliqué d’essayer de trouver un coupable. Par contre, nous disposons d’une information étonnante sur la structure du virus. Il s’agit de l’analyse effectuée par des chercheurs indiens et prépubliée le 31 janvier 2020 (Rivarol N°3418), qui montre « que le génome du coronavirus (2019-nCoV), qui est dans l’ensemble similaire à des coronavirus normaux déjà connus, contient quatre inserts, lesquels sont des protéines du virus du sida HIV-1 ! Les auteurs de l’analyse s’étonnent de la présence de ces inserts de virus du sida humain HIV-1 dans le génome d’un coronavirus d’une chauve-souris. Ils ne croient pas que leur présence puisse être fortuite. (…) Autrement dit, ce coronavirus (2019-nCoV) est, selon eux, une chimère créée en laboratoire ».
Certains diront que ce n’est pas une preuve. Certes, mais c’est déjà un indice sérieux. Cependant, si ce cas était unique, fut-il vrai, il ne serait pas possible de parler de complot. Car cette notion n’a un sens que s’il y a des exemples répétés qui tendent à justifier l’existence de comploteurs multipliant les actions avec un objectif déterminé. Notre réflexion ressemble en fait à la démarche d’un enquêteur confronté à un crime : il doit identifier l’arme du crime, un mobile et des preuves.
L’arme du crime est très variable et n’est pas toujours identifiable. Ainsi, dans le cas présent, il s’agit d’une arme bactériologique tandis que, dans le cas des Twin Towers détruites le 11 septembre 2001, l’arme apparente était les avions qui ont percuté les deux tours, alors que l’arme réelle était les explosifs cachés dans les piliers des tours pour qu’elles implosent. Dans le cas de l’incendie de Notre-Dame de Paris, l’arme du crime – car c’était bien un attentat et non un accident – était la « thermite », une substance dont la température s’élève rapidement à 2000 °C, mais l’enquête n’a pas voulu le reconnaître.
De même, il est rare de trouver les preuves, car le processus est bien caché. Reste le mobile et, sur ce plan, c’est beaucoup plus clair.
Depuis la révolution française de 1789, puis la chute des empires européens qui a suivi, une idéologie matérialiste s’est développée tendant à nier l’existence de Dieu. C’est caractéristique de l’action du Diable, qui fait croire qu’il n’existe pas. Or nous savons que toute l’histoire de l’humanité depuis sa création est jalonnée par le conflit permanent entre Dieu et le Diable.
Et, bien sûr, ce dernier a besoin de se trouver des alliés pour mettre en œuvre son plan, qui est de détruire la création de Dieu. Ses alliés sont très nombreux. Citons-en deux. La franc-maçonnerie, tout d’abord, dont la devise est « ordo ab chaos », ce qui signifie « générons le chaos afin d’établir un nouvel ordre mondial ». Et il y aussi, à un niveau plus directement politique, la triade Royaume Uni / Etats-Unis / Israël qui provoque de nombreux conflits, par exemple au Moyen-Orient et en ex-Yougoslavie, sous prétexte d’imposer la « démocratie » en lieu et place d’une dictature.

Le mobile est bien là : détruire l’ordre existant et, avant tout, le christianisme

C’est donc bien un complot qui existe depuis plusieurs millénaires, même si les auteurs ne sont pas toujours les mêmes, du moins en apparence.

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