Valeurs absolues et valeurs relatives

La tyrannie sanitaire s’est installée en France et, plus généralement, sur une bonne partie de la planète. Pour des raisons politiques différentes, on peut considérer que l’Inde et la Chine en sont exclues, ce qui représente environ 3 milliards d’habitants. Faites la différence : c’est près de la moitié de la planète qui subit le joug de la pseudo-crise sanitaire.
Pour répondre à la peur de nombre de Français, il est bon de citer quelques chiffres. Ceux fournis très officiellement par les autorités françaises amènent au constat suivant : il y a un maximum de 5 morts pour dix mille habitants. Il n’y a vraiment pas à s’inquiéter et l’on devrait immédiatement arrêter toutes ces restrictions qui nous empêchent de vivre normalement. Quant aux hôpitaux que l’on dit surchargés, il serait bon d’autoriser les médecins à soigner. Ils pourraient ainsi traiter le mal à sa racine, au lieu d’attendre que la maladie devienne grave.
Par contre, il y a d’autres chiffres qu’il ne faut pas analyser en pourcentage (valeur relative) mais en valeur absolue. Une enquête de pharmacovigilance publiée par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) a révélé que le vaccin Pfizer aurait provoqué en France 905 décès pour la période allant du 27/12/2020 au 26/08/2021. 905 morts, cela représente 113 morts par mois, à peu près autant que l’attentat du Bataclan.

Ainsi les vaccins tuent chaque mois l’équivalent d’un attentat terroriste !

Comment cela se fait-il ? Tout simplement parce que tous ces vaccins ne sont pas au point. Ainsi la FDA américaine se montre plus que sceptique, en soulignant « l’arnaque » vaccinale puisque « ces fameux vaccins qui devaient protéger dans la durée à 90% n’ont à l’arrivée qu’une durée de vie d’à peine cinq mois pour une couverture de moins de 50% » (Rivarol du 01/12/2021). C’est la raison pour laquelle on invente une nouvelle dose tous les six mois.
Ceci est confirmé par le président du Conseil scientifique Covid-19, Jean-François Delfraissy, qui a expliqué, le 19 novembre dernier, que les vaccins « perdent une partie de leur efficacité après cinq à six mois, d’où l’intérêt d’une dose de rappel ». De plus, depuis le début de la vaccination contre le COVID-19, 101 843 cas d’effets indésirables (dont 25% de cas graves) ont été analysés par les CRPV (Centres Régionaux de Pharmacovigilance).

Mais, au-delà de cet aspect événementiel, il y a deux raisons profondes pour lesquelles les vaccins sont peu efficaces : une raison économique et une raison politique. La raison économique est que tout ce cirque nous est imposé par le Big Pharma qui y voit d’immenses profits à faire. Rendez-vous compte : environ 4 milliards de clients à l’échelle planétaire ! C’est le marché du siècle !
Il y a aussi une raison politique. L’objectif de l’oligarchie mondialiste est de réduire la population mondiale à 500 millions d’habitants, ce qui nécessite de faire mourir plusieurs milliards d’êtres humains. Cela paraît invraisemblable tant c’est énorme. Et pourtant on sait bien que, plus le mensonge est gros, plus on y croit.
Mais alors, comment procéder ? Si l’on accepte l’idée que le virus du COVID-19 est artificiel et non naturel, alors on commence à comprendre : tous les six mois, on nous invente un nouveau variant, lequel justifie le maintien des gestes barrière et de diverses mesures de restriction.
Or, justement, voyons ce qu’il en est en réalité. Deux thèses sont en présence concernant l’origine du virus : la thèse d’un virus naturel provenant d’un animal – une chauve-souris, ou une civette, ou un pangolin – et la thèse d’une fuite en provenance du laboratoire de Wuhan. « Aujourd’hui les cinq agences de renseignement américaines (citées dans le journal Les Echos du 2/11/2021) se rallient, par solidarité avec l’OMS, à la thèse de la fuite accidentelle du WIV ». Donc 1) un des laboratoires de Wuhan (on a découvert qu’il y en a plusieurs) effectue depuis des années des recherches sur des virus créés artificiellement ; 2) il y aurait eu une fuite qui a contaminé le monde.

D’ailleurs, il est intéressant de noter que « le prestigieux NIH (National Health Institute) américain reconnaît avoir financé à hauteur de dizaines de millions de dollars des travaux de manipulation de virus par le WIV (Wuhan Institute of Virology) » (Rivarol du 24/11/2021). Non seulement il y a eu des travaux de manipulation de virus mais, en plus, les autorités américaines auraient encouragé le laboratoire de Wuhan à effectuer des essais hyper dangereux sans l’accord du gouvernement chinois.
Pour conforter ces hypothèses, il est intéressant de noter que « le nombre de décès en Israël, l’un des pays les plus vaccinés au monde, a fortement augmenté durant le mois de la troisième injection du vaccin ».
En résumé, les populations sont attaquées à deux niveaux : 1) par le COVID-19 régulièrement réactivé par l’arrivée opportune, soi-disant naturelle, de nouveaux variants ; 2) par des vaccins qui, non seulement n’ont pas subi tous les tests nécessaires avant commercialisation, mais encore sont chargés de substances nocives attaquant directement l’ADN humain. Ainsi « les agences américaines de renseignement ont admis qu’il est désormais possible de réaliser des manipulations génétiques sans laisser de traces : impossible de distinguer un virus naturel d’un virus bricolé ».
Certains professeurs émérites, tels les professeurs Christian Peronne et Didier Raoult, ont lancé des signaux d’alarme. Au lieu de prendre en compte leurs remarques, ils ont été déchargés de leurs fonctions médicales, écartés ou placardisés.

En conclusion, non seulement la France mais la majorité des peuples de la planète subissent une tyrannie d’une ampleur telle qu’il n’y en a jamais eu dans l’histoire. Et aucun parti politique ne dénonce cet état de fait, ce qui montre que la corruption est généralisée.
A la tête de l’oligarchie mondialiste se trouve une secte diabolique qui veut instaurer un gouvernement mondial. Seules des forces demandant l’aide de Dieu pourront trouver l’énergie nécessaire pour l’abattre.
C’est pourquoi nous sommes royalistes, car la royauté est la forme de régime politique qui répond le mieux aux enseignements de Dieu.

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