Une violence légitime ?

Dans le Boulevard Voltaire du 13 novembre 2014, Dominique Jamet publiait un commentaire à propos d’actes de dégradation commis contre des établissements publics :  « Les dégâts », écrivait l’autre jour, en toute innocence, en toute inconscience, au lendemain d’une manifestation de protestation contre les violences policières, une journaliste du Monde, « ne sont pas trop sévères, quelques voitures brûlées, plusieurs établissements publics touchés, une école et une bibliothèque incendiées… » La routine, en somme et, de fait, deux jours plus tard, de jeunes émules de leurs camarades du Pas-de-Calais tentaient sous le même prétexte de mettre le feu à trois lycées de Seine-Saint-Denis ».
Effectivement, on pourrait croire, au premier degré, que ce n’est que la routine… En fait, c’est ahurissant ! Voilà où nous en sommes en France. On ose mettre le feu à une école, un lycée, une bibliothèque. Quelle que soit la nationalité d’origine des auteurs, ce sont objectivement des actes de guerre contre l’Etat Français.
Henri IV avait combattu pour arrêter la guerre civile due au fait que les protestants avaient littéralement créé un Etat dans l’Etat. Nous sommes dans une situation semblable. Nous ne savons pas si les auteurs de ces actes de vandalisme sont musulmans, mais nous savons par contre que nombre de musulmans proclament haut et fort que leur seule patrie c’est l’islam et non la France.
On recense en France plus de cent zones de non droit. Des lieux où la police ne peut pas pénétrer, où d’autres que ceux qui en sont officiellement chargés font la loi. Sans même aller chercher une cause spécifiquement religieuse, le simple bon sens nous dit que des immigrés, à moins de résider en France depuis des décennies, ne peuvent pas se sentir patriotes. D’autant plus que la propagande officielle fait tout pour chasser de l’esprit des Français toute référence au patriotisme.

Pas étonnant que le désordre règne

L’heure n’est plus de se demander si la république française peut être redressée. Nous constatons simplement que la situation est semblable dans les autres pays européens : tous sont soumis au totalitarisme américain. Ce qui veut dire que toutes les instances dirigeantes sont « vendues » au camp mondialiste dirigé par le tandem USA-Israël. Celui-ci applique la bonne vieille tactique « diviser pour régner ». C’est une des raisons pour lesquelles l’immigration est tant favorisée.
La division du peuple est entretenue par ce qu’on a coutume d’appeler « la démocratie ». Ce régime politique, censé apporter plus de justice, d’égalité et de liberté que ne le faisaient les monarchies héréditaires, n’apporte au contraire qu’injustice, inégalités et manque de liberté. Que sont devenues ces valeurs quand on tolère des zones de non droit ?

Seul un roi peut redresser la France

Encore une fois, faisons appel à notre bon sens : un bateau ne peut pas être convenablement dirigé si plus de cent capitaines sont aux commandes. Il faut un capitaine et un seul, et il faut que le pouvoir et l’autorité de celui-ci ne soient pas menacés par le système électoral. Seul un roi peut avoir cette autorité, à condition que son pouvoir soit héréditaire. D’ailleurs, on n’apprend pas à gouverner avec cinq ans d’études supérieures. Il faut l’accumulation de plusieurs générations d’expérience pour gouverner un pays dans les meilleures conditions. Et même dans ce cas – les rois étant eux aussi des êtres humains – des erreurs peuvent être commises. Mais ces erreurs, s’il y en a, ne sont pas le fait du roi, mais de l’équipe qui dirige, le roi ayant essentiellement un rôle d’arbitre.
On peut toujours rêver, dira-t-on. Mais la situation étant ce qu’elle est, comment en sortir ? Seulement par une mobilisation de la population contre le mondialisme et pour le retour du roi. C’est pourquoi il faut créer partout des comités d’action antimondialistes et se battre pour abolir la république… avant qu’elle nous entraîne dans une troisième guerre mondiale.