Préparons-nous aux troubles qui vont venir

 

Ce qui se passe en ce moment aux Etats-Unis peut être riche d’enseignement pour nous. Car n’oublions pas que bien des changements sur le continent américain se sont aussi produits en Europe, avec quelques années de décalage…

Or, à quoi assistons-nous ? A un président des Etats-Unis, l’homme formellement le plus puissant du monde, qui se voit contester dans ses décisions par un organe juridique ! Dès sa prise de pouvoir, Donald Trump signe un décret interdisant l’entrée sur le territoire américain de ressortissants de huit pays du Moyen-Orient. Et ce décret est immédiatement bloqué par des juges !

C’est une preuve de plus contre ceux qui nous accusent de croire en la « théorie du complot ». Il y a bien complot : rappelons-nous que, lors de la campagne présidentielle de Donald Trump, 200 journaux étaient favorables à Hillary Clinton, et seulement six soutenaient Trump.

Il y a deux conclusions à tirer de cette nouvelle attaque contre Donald Trump. La première est que la démocratie est un leurre dès que la politique de l’hyper-classe mondialiste est mise en échec. Nous en savons quelque chose en France puisque Nicolas Sarkozy, en digne larbin de cette hyper-classe, a violé la démocratie en faisant adopter le traité de Lisbonne dont les Français ne voulaient pas.

La deuxième leçon est la confirmation de l’importance de la politique migratoire aux yeux de cette hyper-classe mondialiste. Elle n’a pas attendu quelque décision de politique intérieure qui lui aurait déplu ; elle a tout de suite attaqué car Donald Trump remet en question, avec son décret, son objectif de mélange ethnique lequel, bien entendu, conduit à l’anarchie, donc à un renforcement du pouvoir de cette classe.

La politique immigrationniste fait partie de leur idéologie !

L’hyper-classe mondialiste organise partout des manifestations pour faire croire au monde que Trump est isolé. Alors que des sondages récents montrent au contraire qu’il a la majorité du peuple américain de son côté. Que peut-il faire ? La bataille juridique qu’il a entamée ne suffira pas. Il lui faudra encourager le peuple à rester mobilisé. Or cela conduit tout droit à la guerre civile.

La situation est-elle différente en France ? Au contraire, il y a beaucoup de points communs. En premier lieu, la même exaspération des Français à l’encontre de l’immigration massive que vit l’Europe depuis deux ans. A noter qu’aucun candidat à la présidentielle n’affirme haut et fort qu’il faudrait fermer les frontières de notre pays. Ils parlent tous des frontières de l’Union Européenne, donc en restant dans le respect des accords de Schengen. Lesquelles frontières sont poreuses… Quelle hypocrisie !

« Cela ne peut pas continuer ainsi, cela va exploser », entend-on de toutes parts. Et nos familles politiques – nationalistes comme royalistes – d’ajouter : « la république tombera comme un fruit mûr, qu’il suffira de ramasser ». Il est très possible, en effet, que la république connaisse une vacance de pouvoir, comme elle en connut en 1940 et en 1968. Mais cela ne veut pas dire le retour du roi ou la prise du pouvoir par un nationaliste. L’hyper-classe mondialiste veille au grain et dispose de moyens puissants pour instaurer, dans cette hypothèse, une dictature à son service.

C’est pourquoi nous ne devons pas rester attentistes. Nous devons au contraire anticiper la venue d’une crise. Il faut créer partout des contre-pouvoirs. Par exemple en détournant la réforme administrative lancée par Sarkozy et poursuivie par Hollande, qui consiste à mettre en place des intercommunalités. La démarche est typiquement jacobine, car elle est pilotée d’en haut, sous le contrôle de quelques énarques.

Il faut au contraire se saisir du prétexte pour faire remarquer que les frontières de ces intercommunalités sont purement empiriques, et ne s’appuient sur aucun critère objectif. Alors qu’il existe une frontière naturelle pour ces regroupements de communes : celles des « pays » définis à la suite de la loi Pasqua de 1995.   Ces pays – dont les frontières sont à peu près celles des arrondissements – ont une homogénéité géographique, économiques, culturelle et sociale. C’est là que le pouvoir est à prendre.

Créons partout des « gouvernements locaux de pays » qui auront à construire un « plan B » pour le jour où un acte terroriste ou une nouvelle guerre mondiale priverait la France d’électricité et d’importations de produits alimentaires.

Ce qui se passe en ce moment aux Etats-Unis peut être riche d’enseignement pour nous. Car n’oublions pas que bien des changements sur le continent américain se sont aussi produits en Europe, avec quelques années de décalage…

Or, à quoi assistons-nous ? A un président des Etats-Unis, l’homme formellement le plus puissant du monde, qui se voit contester dans ses décisions par un organe juridique ! Dès sa prise de pouvoir, Donald Trump signe un décret interdisant l’entrée sur le territoire américain de ressortissants de huit pays du Moyen-Orient. Et ce décret est immédiatement bloqué par des juges !

C’est une preuve de plus contre ceux qui nous accusent de croire en la « théorie du complot ». Il y a bien complot : rappelons-nous que, lors de la campagne présidentielle de Donald Trump, 200 journaux étaient favorables à Hillary Clinton, et seulement six soutenaient Trump.

Il y a deux conclusions à tirer de cette nouvelle attaque contre Donald Trump. La première est que la démocratie est un leurre dès que la politique de l’hyper-classe mondialiste est mise en échec. Nous en savons quelque chose en France puisque Nicolas Sarkozy, en digne larbin de cette hyper-classe, a violé la démocratie en faisant adopter le traité de Lisbonne dont les Français ne voulaient pas.

La deuxième leçon est la confirmation de l’importance de la politique migratoire aux yeux de cette hyper-classe mondialiste. Elle n’a pas attendu quelque décision de politique intérieure qui lui aurait déplu ; elle a tout de suite attaqué car Donald Trump remet en question, avec son décret, son objectif de mélange ethnique lequel, bien entendu, conduit à l’anarchie, donc à un renforcement du pouvoir de cette classe.

La politique immigrationniste fait partie de leur idéologie !

L’hyper-classe mondialiste organise partout des manifestations pour faire croire au monde que Trump est isolé. Alors que des sondages récents montrent au contraire qu’il a la majorité du peuple américain de son côté. Que peut-il faire ? La bataille juridique qu’il a entamée ne suffira pas. Il lui faudra encourager le peuple à rester mobilisé. Or cela conduit tout droit à la guerre civile.

La situation est-elle différente en France ? Au contraire, il y a beaucoup de points communs. En premier lieu, la même exaspération des Français à l’encontre de l’immigration massive que vit l’Europe depuis deux ans. A noter qu’aucun candidat à la présidentielle n’affirme haut et fort qu’il faudrait fermer les frontières de notre pays. Ils parlent tous des frontières de l’Union Européenne, donc en restant dans le respect des accords de Schengen. Lesquelles frontières sont poreuses… Quelle hypocrisie !

« Cela ne peut pas continuer ainsi, cela va exploser », entend-on de toutes parts. Et nos familles politiques – nationalistes comme royalistes – d’ajouter : « la république tombera comme un fruit mûr, qu’il suffira de ramasser ». Il est très possible, en effet, que la république connaisse une vacance de pouvoir, comme elle en connut en 1940 et en 1968. Mais cela ne veut pas dire le retour du roi ou la prise du pouvoir par un nationaliste. L’hyper-classe mondialiste veille au grain et dispose de moyens puissants pour instaurer, dans cette hypothèse, une dictature à son service.

C’est pourquoi nous ne devons pas rester attentistes. Nous devons au contraire anticiper la venue d’une crise. Il faut créer partout des contre-pouvoirs. Par exemple en détournant la réforme administrative lancée par Sarkozy et poursuivie par Hollande, qui consiste à mettre en place des intercommunalités. La démarche est typiquement jacobine, car elle est pilotée d’en haut, sous le contrôle de quelques énarques.

Il faut au contraire se saisir du prétexte pour faire remarquer que les frontières de ces intercommunalités sont purement empiriques, et ne s’appuient sur aucun critère objectif. Alors qu’il existe une frontière naturelle pour ces regroupements de communes : celles des « pays » définis à la suite de la loi Pasqua de 1995.   Ces pays – dont les frontières sont à peu près celles des arrondissements – ont une homogénéité géographique, économiques, culturelle et sociale. C’est là que le pouvoir est à prendre.

Créons partout des « gouvernements locaux de pays » qui auront à construire un « plan B » pour le jour où un acte terroriste ou une nouvelle guerre mondiale priverait la France d’électricité et d’importations de produits alimentaires.