L'état de guerre s'introduit sournoisement en France

« Près de deux lieux de culte ou de sépulture chrétiens profanés chaque jour en France », explique le Figaro du 20/04/205, qui précise que, « sur les 216 atteintes à des cimetières, 206 concernaient des sites chrétiens (soit 95%). Sur les 591 atteintes à des lieux de culte, 467 concernaient des sites chrétiens (soit 79%) ».
S’il n’y avait pas les assassinats de chrétiens au Moyen-Orient au nom de l’islam, on pourrait penser qu’il s’agit là d’actes exécutés par des athées. L’arrestation récente d’un étudiant algérien en électronique, qui projetait un attentat contre un église à Villejuif, dans la région  parisienne, vient encore confirmer le caractère islamique de la plupart de ces actions.
Jusqu’à présent, on avait affaire à des revendications portant sur la reconnaissance du voile et de la burka, l’exigence d’horaires séparés pour les hommes et les femmes dans les piscines, la nourriture hallal dans les cantines scolaires, le refus des hommes musulmans de faire ausculter leur femme par des médecins-hommes dans les hôpitaux, etc. Maintenant, la guérilla est montée d’un cran. La prochaine étape sera l’insurrection armée. Rappelons que les services de police reconnaissent qu’il y a 30 000 armes de guerre cachées et prêtes à servir…

Ceci démontre l’inefficacité des appels à la laïcité

La république a elle-même été fondée sur la haine du christianisme. Elle le manifeste par une sympathie exprimée pour les religions qui s’opposent à nos racines chrétiennes. Elle le manifeste encore par sa politique de destruction de la famille, ce qu’on a vu notamment avec la loi Taubira, et aussi par la propagande dans nos écoles en faveur de la théorie du genre et de l’homosexualité.
Demain une France musulmane ?
En fermant les yeux sur la guérilla islamique, aujourd’hui pacifique, sans doute violente demain, les républicains ne voient pas qu’ils creusent ainsi leur propre tombe. « Ce sont des actes isolés », diront-ils. Mais quand un pays est en guerre, c’est son armée qui va au combat. Elle est pourtant numériquement minoritaire. Bien sûr, la masse des musulmans ne soutient pas ces actes d’hostilité, mais tout le monde sait bien que ce sont les minorités qui font l’histoire. Et ces minorités-là sont principalement les islamistes. Le pire, c’est que, en cas de manifestations violentes de la part de minorités musulmanes, qui sauront entraîner leurs coreligionnaires, une grande partie de la gauche française, et sans doute même une partie de la droite, seront à leurs côtés. C’est ni plus ni moins le risque d’une guerre civile.

Alors, que faire ? 

On voit bien que ce n’est pas par les élections que nous changerons cette situation. D’ailleurs un sondage publié récemment par Valeurs Actuelles révèle que 75% des Français ne font plus confiance ni à l’Etat, ni à la république, que 88% d’entre eux rejettent catégoriquement les partis politiques, et que, de plus,  50% parmi eux ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections ».   
Le moins que l’on puisse dire est que – pour employer le langage des économistes – l’offre politique est largement en retrait par rapport à la demande. Traduction : il n’y a malheureusement aucune organisation politique conséquente qui fournisse une réponse à la hauteur de l’attente des Français. Cette organisation ne peut être que royaliste, car seuls les rois de France ont toujours cherché à défendre le peuple contre les oligarchies, alors que, depuis 1789, les Français sont sous la domination d’oligarchies financières.

Venez la construire avec nous