Les vrais populistes sont royalistes

Aux yeux des media à la solde de l’oligarchie mondialiste, il est très mal vu de s’afficher « populiste ». En fait, personne ne s’affiche populiste, mais c’est cette presse qui vous colle cette étiquette dès que vous sortez du cadre du politiquement correct. Ainsi le mouvement des Gilets jaunes fut qualifié de populiste jusqu’à ce que le pouvoir en place infiltre les casseurs de vitrine pour, ainsi, pouvoir les qualifier d’extrême-droite. De même Donald Trump est-il qualifié de populiste. D’autant plus, diront les media, que ses adeptes osent envahir illégalement le Capitole !
En fait – nous le savons bien – cette qualification de populiste, qui se veut péjorative, est une manière de cacher la réalité qui est la suivante. Il y a effectivement un affrontement, larvé ou en puissance, entre la grande majorité du peuple – celle des zones rurales mais aussi celle des employés, commerçants, artisans et techniciens qui ont du mal à finir le mois – et la minorité bien payée vivant dans les grandes villes, largement adepte du mondialisme. C’est vrai en France, notamment, et c’est aussi vrai aux Etats-Unis.

C’est donc un affrontement entre le peuple et l’oligarchie mondialiste

Quelle peut en être l’issue ? Jésus nous dit : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13). Même le socialiste Hollande l’a reconnu quand il a dénoncé « la finance ». Il faut donc choisir entre deux projets de société : une société sans Dieu, donc au service de l’argent, comme elle a été instaurée en 1789, ou une société basée sur des principes chrétiens.
Mais « une société basée sur des principes chrétiens » peut-elle être une république ? Voyons ce qu’en dit la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, qui définit les principes sur lesquels sont bâties toutes les républiques aujourd’hui :

  • Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
  • Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Ces deux articles sont en opposition totale avec les enseignements du Christ, le premier car il faut choisir entre la souveraineté de Dieu et la souveraineté du peuple, et le deuxième qui prône l’individualisme le plus étendu en opposition avec le commandement « aimez-vous les uns les autres ».

Donc toute personne qui adule la république est idolâtre

Rappelons que le deuxième commandement dénonce l’idolâtrie : est idolâtre toute personne qui prend quelque chose pour un absolu.
C’est pourquoi tout populisme conduit soit à l’anarchie – vite transformée en dictature, en cas d’échec – soit à la monarchie institutionnelle, comme c’est indiqué dans le titre de cet article, un régime dirigé par un roi très chrétien, lieutenant de Dieu sur terre.

Vive le roi Louis XX

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