Le Sacré Coeur et le drapeau français

Par deux fois, Jésus-Christ s’est adressé au chef du gouvernement français par l’entremise d’une âme privilégiée pour demander l’apposition d’une image de son Sacré Cœur sur les drapeaux de l’armée française.
La première fois, en 1689, une religieuse visitandine, à Paray le Monial en Bourgogne, Sainte Marguerite-Marie, reçut la demande suivante :
« Fais savoir au fils aîné de mon Sacré Cœur… que mon Cœur adorable veut triompher du sien et, par son entremise, des grands de la Terre. Il veut régner dans son palais, être peint sur ses étendards et gravé dans ses armes pour les rendre victorieuses de ses ennemis … pour le rendre triomphant des ennemis de la Sainte Eglise. »
La construction d’une basilique dédiée au Sacré Cœur était aussi demandée, ce qui fut réalisé seulement à partir de 1873.
Ni Louis XIV , ni ses successeurs ne donnèrent suite à cet appel divin.

Cent ans plus tard :   1789 !

La deuxième fois, ce fut pendant la guerre de 1914. Une jeune paysanne vendéenne, Claire Ferchaud, reçoit des demandes équivalentes à transmettre au président Poincaré.
Claire lui écrivit trois lettres et, grâce à l’entremise d’un député de la Vendée, réussit à rencontrer le président de la république le 21 mars 1917. Dans sa première lettre, elle rapporte ce que lui a dit Jésus :
« Va dire au chef qui gouverne la France de se rendre à la basilique du Sacré Cœur de Montmartre avec les rois des nations alliées… Le président devra épingler l’image de mon Cœur sur chacun des étendards présents. Ensuite M. Poincaré et tous les rois alliés à la tête de leur pays ordonneront officiellement que le Sacré Cœur soit peint sur tous les drapeaux de chaque régiment français et allié. »
Pour authentifier le message, au cours de son audience avec Poincaré, Claire lui parle d’évènements personnels qu’il était le seul à connaître.
Dans ses lettres, Claire Ferchaud dénonce aussi avec force les méfaits de la franc-maçonnerie, y compris dans le domaine de la guerre.
Bien qu’il fût très impressionné par tout ce que lui dit la vendéenne, Poincaré ne donna aucune suite à cette demande.
Par la suite, une pétition nationale fut lancée dans le même but mais elle ne fut pas relayée par tous les évêques. L’archevêque de Paris Mgr Amette fut même plus que réservé.

Cent ans plus tard : 2017 ?

Personne ne peut nier que la situation de la France ne soit périlleuse malgré une apparence encore flatteuse. Les dangers qui nous menacent sont intérieurs (finances, déséquilibres sociaux) et extérieurs (terrorisme islamique, mondialisation incontrôlée) et nos défenses sont très affaiblies (armée, justice).
Demandons au nouveau président l’apposition du Sacré Cœur sur le drapeau Français. Acceptera-t-il ? Peu probable vu l’importance de la franc-maçonnerie.

Seul un Roi très Chrétien osera le faire et ainsi sauvera la France