L'attentat de Notre-Dame de Paris

L’incendie de Notre-Dame de Paris s’est produit le lundi de la semaine sainte et s’est propagé à grande vitesse, ce qui a sidéré tous ceux qui en ont été les témoins. Il y a trois choses étonnantes dans le déroulement de cet incendie. D’une part, les flammes qui ont jailli de la cathédrale pendant plusieurs heures avaient une couleur jaune-orange inhabituelle. D’autre part, tout le monde sait que des poutres taillées dans le cœur de chênes centenaires ne s’enflamment pas. Surtout qu’à l’époque, il était courant de les laisser tremper dans l’eau pendant plusieurs décennies (jusqu’à cent ans) avant de les installer. Cela a d’ailleurs été confirmé par l’actuel Chef des Monuments historiques, Philippe Villeneuve, qui déclare sa « totale incrédulité » face au sinistre : « les travaux (n’avaient pas encore débuté) et les échafaudages étaient encore en cours de montage (…) ; l’hypothèse d’un point chaud (à la base de la flèche de Viollet-Le-Duc) n’est donc pas la bonne ». Enfin « à plusieurs reprises, les responsables des échafaudages ont signalé que des cadenas interdisant l’accès au chantier avaient été sectionnés » (Rivarol du 24/04/2019).
Une vidéo diffusée sur Internet (https://youtu.be/j1ZuMexPWzA) donne une piste de réponse : une substance, la thermite, un mélange d’aluminium et d’oxyde de fer, génère une chaleur intense permettant d’atteindre 2200°C en quelques secondes. Ceci donne à penser que l’hypothèse d’un attentat est beaucoup plus plausible que celle d’une négligence. Par qui a-t-il été commis ? On le saura peut-être un jour, ou pas du tout.
Contrairement à ce qu’ose dire Emmanuel Macron, refusant de qualifier Notre-Dame de cathédrale, l’attentat – car il s’agit bien de cela – a nécessairement un caractère religieux. C’est à rapprocher du fait que, « pour le seul mois de février, en une semaine, quatre églises ont été profanées en France » (Rivarol du 24/04/2019). Et, sur une année entière, cela en représente beaucoup plus. N’oublions pas que l’objectif islamiste est de détruire le christianisme. Et c’est aussi l’objectif des francs-maçons.
Emmanuel Macron, en fidèle serviteur de l’oligarchie mondialiste, veut profiter de l’événement pour en tirer le meilleur bénéfice politique possible. C’est pourquoi il tient absolument à ce que l’édifice soit reconstruit en cinq ans, soit à l’intérieur de deux mandatures. Et il a déjà posé des jalons pour court-circuiter la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture, laquelle a définit des procédures assurant la protection des édifices, ce qui, bien entendu, rallonge les délais. Le résultat risque d’être une construction non conforme au modèle initial.
Et il y a une deuxième menace qui pèse sur la cathédrale Notre-Dame, comme le montre l’histoire. En effet, en son temps, le franc-maçon Viollet-Le-Duc avait été chargé par Napoléon III de rénover ce monument, ce qu’il a fait en le marquant de son empreinte : au pied de la flèche a été fixée une plaque présentant des symboles francs-maçons ; la cathédrale a été couverte de « chimères » qui n’ont rien de religieux et, parmi les statues des douze apôtres, l’un d’entre eux tourne le doc au public et regarde la flèche, sans doute pour marquer son admiration pour cette œuvre ajoutée sur l’initiative de Viollet-Le-Duc.
Par ailleurs, la somme récoltée sous forme de dons dépasse le milliard d’euros – et les dons continuent d’affluer - tandis que les travaux ont été estimés à hauteur d’environ 250 millions d’euros. Donc, même en cas de doublement du montant des travaux, il reste un demi-milliard d’euros, au minimum. L’Eglise catholique s’est déjà manifestée en disant que cet argent serait bien utile pour remettre en état les « plus de 5000 églises menacées de délabrement » (Le Figaro du 25/04/2019). Comme par hasard, Emmanuel Macron fait la sourde oreille…
Que faire pour empêcher ces sombres manœuvres ? C’est là qu’on peut penser que, peut-être, Dieu a voulu cet événement pour que les catholiques se réveillent, et tous les autres chrétiens avec eux, pour mener le combat et exiger de l’Etat laïc qu’il reconnaisse que c’est à l’Eglise qu’il revient de sauver son patrimoine religieux.

Rénovation de Notre-Dame sous le contrôle des évêques !
500 millions d’euros affectés à la réparation des églises de France !

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