L'alarmante propagation de l'idéologie islamiste

Nous avons choisi de reprendre exactement le titre publié en première page du Figaro du 10/09/2018. Le journal nous apprend que 1,2 million de comptes islamistes ont été ouverts sur la toile. Par ailleurs, si l’on additionne les cinq comptes Twitter d’obédience wahhabite (donc islamiste), cela représente 87,4 millions d’abonnés, soit mieux que la messagerie de Donald Trump (51,7 millions) et pas très loin des correspondants d’Obama (102,4 millions).
Nous avons regardé une vidéo sur Youtube, celle correspondant à l’un des cinq prédicateurs wahhabites les plus influents. L’homme parle en arabe, évidemment, mais il est sous-titré en français. C’est un peu difficile à suivre car il parle très vite.

C’est donc à une échelle mondiale, massivement, que la propagande islamiste s’est mise en place !

Mais ce n’est qu’une des formes de la présence de l’islamisme en France. Toute aussi dangereuse est l’organisation de la vie communautaire. Il y a en France des quartiers entiers où l’on a la forte impression d’être à l’étranger. C’est en effet tout un tissu de commerces et de cafés qui s’adressent presque exclusivement à une population musulmane. Deux exemples parmi d’autres : Roubaix et Trappes. Ainsi les commerces de détail ne fournissent ni jambon ni alcool. Et si un Français de souche habite, pour son malheur, le quartier, c’est lui qui est considéré comme un étranger.

C’est le triste résultat du regroupement familial instauré par Giscard d’Estaing

Et cela remonte aux années 70, il y a donc près d’un demi-siècle ! Nous sommes bien dans un processus de « grand remplacement », celui d’une civilisation chrétienne bimillénaire par un civilisation totalement étrangère et incompatible.
Si même un quotidien à grand tirage comme le Figaro parle d’idéologie, c’est donc la reconnaissance d’une réalité, à savoir qu’il s’agit bien d’un organisme étranger qui vient envahir la France.
Que faire ? Deux mots viennent à l’esprit : expulsion et assimilation. Le gouvernement ne ferait qu’appliquer la loi s’il décidait d’expulser tous les clandestins, alors qu’on les laisse, entre autres, déféquer dans la mer et polluer ainsi les plages du débarquement. Et, le temps que se déroulent les formalités d’expulsion, ils doivent tous être retenus dans des centres de détention.
Autrefois, on parlait d’assimilation. Ce terme a quasiment disparu pour être remplacé par celui d’intégration. Où est la différence ? Dans l’industrie, quand on fabrique un système, un avion ou une voiture par exemple, on procède à l’intégration de ses composants. Ainsi chaque composant – moteur, sellerie, tableau de bord ou autre – garde son intégrité, mais fait, après intégration, partie d’un ensemble plus vaste. Traduit en termes politiques, l’intégration c’est le communautarisme ! Ce n’est qu’une manière voilée de le dire. Donc nos gouvernements acceptent le communautarisme… jusqu’à ce qu’il nous envahisse au point de nous dominer.
Vis-à-vis des immigrés, dont des millions ont déjà reçu la nationalité française, il n’y a qu’une seule voie : l’assimilation, ce qui veut dire que nous attendons d’eux qu’ils adoptent nos mœurs et notre manière de vivre. Cela implique un certain nombre de mesures énergiques…
Tout d’abord l’interdiction totale de l’abattage rituel et de l’exportation d’animaux vivants, au nom de la norme OIE sur l’abattage des animaux, qui interdit qu’on les fasse souffrir. Ce qui n’est d’ailleurs que l’obéissance à l’ordre divin (Gn 1, 26-30).
Mais l’assimilation suppose que l’identité française prévale totalement sur l’identité d’origine. Il faut donc interdire tout vêtement spécifique de cette ancienne identité et l’usage d’une autre langue que le français sur les lieux publics. Bien entendu, il faut aussi interdire tous les media qui diffusent de la propagande islamiste et abandonner cette idée subversive d’enseignement de l’arabe ou du turc dans les écoles primaires et secondaires. Et il faut interdire les enseignes évoquant la culture arabe ou turque sur les devantures des commerces.
Par ailleurs, il faut interdire les prières dans la rue et fermer les mosquées dont l’imam prêche dans une autre langue que le français. Enfin, il faut interdire aux collectivités territoriales de contribuer au financement de mosquées, même si celui-ci se cache derrière la subvention à des associations culturelles. Et il faut aussi interdire tout financement de mosquées de source étrangère.
Tout cela nécessite un pouvoir fort. On imagine mal qu’un gouvernement républicain puisse adopter un tel programme, alors que l’enjeu est la survie de notre civilisation. Seul un Roi très-chrétien sera en mesure de le mettre en œuvre.

Expulsion et assimilation, deux volets complémentaires
Vive le Roi Louis XX !


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