La France est-elle la nouvelle Ninive ?

La Bible raconte l’histoire de la ville de Ninive dans le livre de Jonas. Jonas est l’homme qui a été avalé par une baleine puis recraché après qu’il s’était repenti d’avoir défié Dieu. A la demande de Dieu, il se rend à Ninive, qu’il parcourt en long et en large pendant trois jours en expliquant aux habitants que Dieu est en colère après eux car ils sont tombés dans une grande immoralité et qu’il allait détruire la ville pour les punir. Remarquons au passage que Dieu laisse toujours une possibilité de se repentir avant de sévir. Tous les habitants, ainsi que le roi, ont pris le message au sérieux et se sont repentis. Dieu leur a alors pardonné et n’a pas détruit la ville.
Aujourd’hui, et depuis deux siècles, la France et même le monde entier vivent en pleine apostasie. A tel point que Dieu a envoyé la Sainte Vierge à Fatima en 1917 pour nous avertir : « Un grand châtiment touchera le monde entier ». Auparavant Dieu avait inspiré une prophétesse, Marie-Julie Jahenny, qui avait donné des détails sur ce grand châtiment qui nous attend. En voici quelques extraits.
Le 7 janvier 1880 :
« Ils ont dessein de décréter à pareil jour une loi pour les prêtres et de les appeler en réunion pour leur imposer cette loi et les y soumettre. (NDR : il s’agit de ce Marie-Julie Jahenny appelle « la loi d’enfer »).
(…) Les ministres du Seigneur seront traînés de force devant la multitude qui leur aura déclaré une guerre infernale. Ils devront jurer, main levée, foi et confiance aux lois de leur divinité. »
Le 13 février 1880 :
« Lors de l’immense douleur, on placera cette inscription sur le front des chrétiens, puis on fléchira devant eux les genoux. On les forcera d’abjurer la foi. S’ils persévèrent, on les traitera comme Moi, le Roi de mon peuple. On les enchaînera, plusieurs ensemble ; on les conduira à d’autres, chargés de les exterminer de la manière la plus étrange. »
Le 22 juin 1880 :
« Les prêtres seront poursuivis comme on poursuit, en temps de paix, les plus infâmes criminels. Et encore, il est juste d’affirmer qu’en temps de paix, si l’auteur d’un crime est attaqué, on y met des bornes et des mesures. A cette époque, aucune borne ne sera mise à la poursuite infâme contre tous ceux qui se seront dévoués à l’Autel. L’Eglise gémira, souffrira. »
Le 10 août 1880 :
« Ils feront une sommation obligatoire à tous les représentants du Seigneur, à tous également. Chacun recevra sa perfide signature de départ, l’ordre d’abandonner la place qu’il occupe. S’il ne le fait pas, il sera condamné au supplice le plus honteux, le plus rigoureux, supplice tel qu’en aucun temps pareil n’aura existé. »
Le 21 juillet 1881 :
« Je vais tout détruire : mes croix et mes saints brisés, mes églises prêtes à recevoir de cruels attentats… »
Le 15 juin 1882 :
« Sous peu, à l’époque marquée, il ne restera debout, en France, aucune maison religieuse ; pas un cloître n’échappera aux tyrans de l’époque. Il y aura une multitude de massacres, depuis le Centre (Paris), à Lyon, de Lyon sur le Midi et jusqu’aux bords de la Bretagne qui est encore catholique, mais plus comme autrefois. La dégénération de la Foi se fait partout. »
Nous savons qu’une prophétie annonce ce qui peut se passer, mais il n’est pas obligatoire que de tels événements se produisent. Ainsi Dieu, qui menaçait Sodome et Gomorrhe de destruction, avait répondu à Abraham qui l’interrogeait : « Je ne détruirais pas (Sodome) à cause des dix justes » (Gen. 18, 32).

Ces « dix justes » pourraient être dix paroisses de l’Eglise conciliaire qui se repentent, auquel cas Dieu atténuera peut-être sa menace. C’est donc à nous d’intervenir auprès des curés de l’Eglise conciliaire pour les pousser à renier Vatican II, un texte largement hérétique. Ce document déclare notamment qu’il faut mettre toutes les Eglises sur le même plan en contradiction avec la parole du Christ : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14, 6). Honte à Jean-Paul II qui a embrassé le Coran.

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