La crise sanitaire, accident ou projet politique ?

Voici maintenant plus d’un an que nous subissons cette forme nouvelle de tyrannie : on nous impose un comportement – les confinements, les couvre-feux et les fameux gestes-barrière – qui vont à l’encontre de la liberté, soi-disant une des vertus de la république. Est-ce une fatalité ou un objectif prévu de longue date ?

Déjà en 2009, Jacques Attali, un des grands idéologues au service du pouvoir en place, écrivait en partant de l’observation des conséquences de la grippe aviaire de 2003 : « et même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier d’en tirer les leçons (…). On devra mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. » (Rivarol du 14/04/2021) 
Le 18 octobre 2019 – alors que la pandémie n’a démarré qu’en mars 2020 - est organisée la simulation d’une pandémie mondiale à laquelle participent l’OMS, la fondation Bill Gates, Klaus Schwab (le fondateur du forum de Davos) et la chaîne de télévision NBC. Curieusement, cette simulation anticipe un confinement généralisé, une censure médiatique complète et une crise économique mondiale liée au virus.
Les médias nous expliquent qu’on ne sait toujours pas comment est né ce virus COVID-19. Or le Dr Steven Quay - qui « a publié plus de 360 contributions à la médecine et a été cité plus de 10 000 fois, le plaçant dans le top 1% des scientifiques du monde entier. Il détient 87 brevets américains et a inventé sept produits pharmaceutiques approuvés par la FDA qui ont aidé plus de 80 millions de personnes » (France soir du 31/01/2021) – estime, à la suite du Professeur Montagné, à « 99,8% les chances pour que le COVID-19 provienne d’un laboratoire contre 0,2% de probabilité qu’il soit d’origine naturelle ! » (Rivarol du 14/04/2021).
C’est assez d’indices pour considérer que nous sommes face à une vaste conspiration ayant trois objectifs conjugués : mettre la population mondiale en état de soumission, détruire l’économie et empocher un maximum de bénéfices sur la vente des vaccins. On ne dira jamais assez que nous sommes dirigés par des gens très méchants dont certains ont signé un pacte avec le Diable.
Que faire face à cette situation, surtout du fait que toute réunion politique est rendue très difficile avec le confinement ?
Remarquons, avec un brin d’humour, que c’est un effet positif de la crise sanitaire d’avoir rassemblé tous les Français sur un même objectif : comment en sortir ? Et il faut se rappeler un sondage récent qui dit que « 75% des Français ne font plus confiance à l’État, ni à la république. Et que 88% d’entre eux rejettent catégoriquement les partis politiques » (Valeurs actuelles, 2014). Le mouvement des Gilets Jaunes avait bien mis en relief ce sentiment : ne plus faire confiance aux partis politiques.
C’est d’ailleurs ce qu’expriment les divers mouvements de contestation du confinement, des masques et des gestes-barrière : la perte de notre liberté. Pour marquer notre protestation d’une manière constructive, il ne suffit pas de crier « liberté, liberté » mais d’unifier cette forte opposition autour d’un objectif politique qui affaiblisse réellement le pouvoir en place. Nous pensons que c’est répondre à l’attente des Français que d’avancer un mot d’ordre qui propose une alternative à la pseudo-démocratie qu’on nous impose. Cela passe par la remise en cause du système de représentation : supprimons les partis politiques et inventons autre chose, comme le disait la philosophe Simone Weil à son époque.

Le pouvoir au peuple, pas aux partis

Le système de représentation du peuple doit s’appuyer sur les corps intermédiaires. A cette fin, nous proposons la mise en place de quatre collèges électoraux : celui des salariés, celui des entrepreneurs et cadres, celui des familles et celui des agriculteurs. Ces quatre collèges électoraux doivent être mis en place au niveau des circonscriptions électorales, qui correspondent en moyenne à 80 000 électeurs. Ce sont donc 4 délégués élus par circonscription, soit un total d’environ 2300 délégués. Ceux-ci feront office de « grands électeurs » pour élire un cinquième d’entre eux, soit de l’ordre de 450 députés à l’Assemblée Nationale.
Dans un premier temps, il faut faire campagne sur un slogan simplificateur, en parlant de quatre collèges électoraux au niveau des départements. A cette fin, nous devons appeler à la mise en place de contre-pouvoirs, sous la forme d’un « gouvernement local provisoire » dans chaque département, composé de 2 salariés, 2 entrepreneurs ou cadres, 2 représentants des familles et de 2 agriculteurs (remplacés, sur Paris et les grandes villes, par 2 représentants des gens du spectacle).
Pour préparer cette mise en place, les royalistes doivent constituer dans chaque département un « conseil de résistants » qui devra aussi jouer un rôle lorsque le peuple aura obtenu le renversement du régime et imposé l’ouverture d’une Assemblée Constituante.

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