Notre-Dame de Paris : restons mobilisés

Même si nous sommes persuadés qu’il s’agit d’un incendie criminel, nous pouvons nous poser la question : n’est-il pas un avertissement du Ciel face à l’immoralité quotidienne d’une société qui a banni Dieu ? Comme le fait remarquer Rivarol (2/5/2019), « il est frappant que la voûte de Notre-Dame soit tombée, non pas sur le maître-autel laissé intact, mais sur l’autel horrible, voulu, choisi par Aaron Lustiger, qui a officié régulièrement dessus, sur lequel est dit la synaxe de Paul VI, où se célèbre le culte de Vatican II ». De même, la piéta de Notre-Dame, derrière le maître-autel,  est restée intacte.
Rappelons que « les premiers commentaires concernant la rapidité et la violence de l’incendie ne sont pas le fait d’Internautes sans profession ni talent particulier mais principalement d’architectes (dont celui de Notre-Dame !), de charpentiers expérimentés, de pompiers professionnels. (…) Force est de constater que les premiers doutes sérieux quant à la thèse officielle de l’accident ont émané de personnes compétentes. (…) Et pourquoi faudrait-il accepter une version qui n’est étayée officiellement par rien plutôt que de chercher l’origine du sinistre ailleurs en s’appuyant sur le bon sens, à savoir qu’une cigarette et même cent cigarettes n’ont pas la puissance thermique d’enflammer une poutre de chêne, encore moins une poutre de chêne séchée à l’ancienne des décennies durant ? » (Rivarol, 2/5/2019).
Curieusement, « sans qu’une contamination fongique ou animale ne soit observée, les autorités compétentes ont fait appel, il y a un an, à une société spécialisée dans le traitement du bois (alors que cela ne s’était jamais fait auparavant). (…) La société Aubriat n’a toujours pas compris pourquoi les autorités l’ont exigé. Pendant 15 jours, les exterminateurs en scaphandre pulvérisèrent un gel sorti de tonneaux scellés. Le gel a enrobé toutes les poutres de l’immense charpente de Notre-Dame. Quelle était la composition de ce gel ? (…) On ne le saura jamais » (Rivarol, 2/5/2019). Cela peut expliquer pourquoi l’ensemble de la charpente a brûlé alors que les spécialistes affirment que l’incendie aurait dû se limiter à l’endroit où le feu s’est déclaré, c’est-à-dire autour de la flèche.
Prenons du recul. Il est malhonnête de la part du gouvernement – c’est le moins qu’on puisse dire – de refuser de considérer la cathédrale Notre-Dame de Paris comme un lieu de culte. Alors que l’aspect religieux du drame apparaît aux yeux de tous. D’autant plus qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. « En France, chaque jour, ce sont deux églises en moyenne qui sont profanées et dégradées. (…) En un an, douze incendies criminels ont été recensés visant des églises. (…) Le président Macron, dans sa conférence de presse du 25 avril, n’a même pas évoqué de façon allusive l’incendie de Notre-Dame ! » (Rivarol, 2/5/2019).

C’est à nous, chrétiens, de réagir face à ces attaques

Nous devons, le plus tôt possible, constituer un comité de surveillance pour empêcher Emmanuel Macron de contourner la Commission du Patrimoine et de faire abstraction du code des marchés publics, comme il en a manifesté l’intention. Ce sont aussi tous nos évêques qui doivent se mobiliser en appelant toutes les paroisses de France à se tenir prêtes à descendre dans la rue pour exiger non seulement que la cathédrale soit reconstruire à l’identique, mais aussi que le demi-milliard d’euros disponible (reliquat des dons effectués) soit attribué aux paroisses dont les églises ont un besoin urgent de réparation.

La chrétienté n’est pas morte !
Mobilisons-nous !

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