La laïcité est le cheval de Troie de l'islam
Le Conseil d’Etat – n’a-t-il rien de plus sérieux à faire ? – vient d’exiger le démontage de la croix qui surplombe la statue de Jean-Paul II installée à Ploemel. Ce qui a déclenché une manifestation très populaire dans cette ville. Cherche-t-il à provoquer la guerre civile ?
La laïcité, beau principe sur le papier, signifie neutralité. Mais les hommes étant ce qu’ils sont, c’est-à-dire imparfaits, sont incapables de respecter cette neutralité. Alors, comme les deux plateaux d’une balance dont l’un est plus chargé que l’autre, fatalement, ils penchent d’un côté, celui du « politiquement correct », c’est-à-dire contre le christianisme et pour le développement de l’islam.
Pourquoi ne dénonce-t-on pas l’abattage halal qui fait horriblement souffrir les animaux et ce en contradiction totale avec les normes internationales qui interdisent ce genre de pratique ? Alors qu’une croix sur une statue, à qui fait-elle du mal ?
Comme disait Roosevelt, en politique, il n’y a pas de hasard. S’il en est ainsi, c’est qu’il y a une volonté politique qui favorise tous les harcèlements à l’encontre du christianisme. La fin de l’histoire est facile à deviner : la transformation de notre pays, de culture chrétienne, en une France musulmane. Et la laïcité est un très bon outil pour cela. C’est comme le cheval de Troie dans la Grèce antique.
La laïcité, beau principe sur le papier, signifie neutralité. Mais les hommes étant ce qu’ils sont, c’est-à-dire imparfaits, sont incapables de respecter cette neutralité. Alors, comme les deux plateaux d’une balance dont l’un est plus chargé que l’autre, fatalement, ils penchent d’un côté, celui du « politiquement correct », c’est-à-dire contre le christianisme et pour le développement de l’islam.
Pourquoi ne dénonce-t-on pas l’abattage halal qui fait horriblement souffrir les animaux et ce en contradiction totale avec les normes internationales qui interdisent ce genre de pratique ? Alors qu’une croix sur une statue, à qui fait-elle du mal ?
Comme disait Roosevelt, en politique, il n’y a pas de hasard. S’il en est ainsi, c’est qu’il y a une volonté politique qui favorise tous les harcèlements à l’encontre du christianisme. La fin de l’histoire est facile à deviner : la transformation de notre pays, de culture chrétienne, en une France musulmane. Et la laïcité est un très bon outil pour cela. C’est comme le cheval de Troie dans la Grèce antique.
Il faut choisir entre une France chrétienne et une France musulmane
La laïcité est un leurre qui cache l’islamisation rampante de notre société. Il faut choisir entre une France chrétienne et une France musulmane. Quant aux athées qui prétendent qu’on ne respecte pas leurs convictions, on doit les dénoncer car ce sont des hypocrites ou des inconscients qui ne font que favoriser la montée de l’islam. Avec l’instauration de la charia, ils seront bien moins respectés, et ils risquent même d’y perdre la vie.
Pourquoi en sommes-nous là ? En fait, l’islam n’est que l’instrument qu’utilise l’hyper-classe mondialiste pour créer le chaos. Ce qu’elle veut, c’est que chrétiens et musulmans s’entretuent, afin qu’elle puisse asseoir son pouvoir sans opposition.
Pourquoi en sommes-nous là ? En fait, l’islam n’est que l’instrument qu’utilise l’hyper-classe mondialiste pour créer le chaos. Ce qu’elle veut, c’est que chrétiens et musulmans s’entretuent, afin qu’elle puisse asseoir son pouvoir sans opposition.
La polique du camp mondialiste, c’est la politique du chaos
Que faire ? Nous sommes face à deux ennemis, tous deux manipulés : les militants de la cause islamique d’une part, Macron et sa clique d’autre part, lesquels ne sont que les agents de l’hyper-classe mondialiste. Comme il ne faut pas compter sur le système électoral actuel pour les évincer, seule une large mobilisation populaire pourra y arriver.
C’est pourquoi nous appelons à créer un « cartel d’organisations » qui a pour but de rassembler des organisations et des personnes de tous horizons, d’accord sur un objectif : chasser les partis politiques du parlement. En effet, selon un sondage récent, 88% des Français rejettent les partis politiques. Il est temps de définir des institutions qui représentent les forces vives du pays, alors que les partis politiques ne représentent qu’eux-mêmes.
Il faut mettre en place au niveau de chaque département quatre collèges électoraux : un collège pour les salariés, un collège pour les familles, un collège pour les entrepreneurs et un collège pour les agriculteurs. Chaque collège élit un député qui siègera au Conseil régional (soit un Conseil de 20 membres en moyenne) et à l’Assemblée Nationale (soit environ 400 députés).
Il faut aussi que les « pays » soient représentés. Un « pays » est une zone homogène du point de vue géographique, social et culturel (voir la loi Pasqua de 1995). Il correspond à environ un quart de département. Chaque « pays » élit un sénateur. Un système de représentation à définir permettra aussi aux métropoles d’élire leur(s) sénateur(s). Le nouveau Sénat sera donc constitué d’environ 450 à 500 sénateurs.
C’est pourquoi nous appelons à créer un « cartel d’organisations » qui a pour but de rassembler des organisations et des personnes de tous horizons, d’accord sur un objectif : chasser les partis politiques du parlement. En effet, selon un sondage récent, 88% des Français rejettent les partis politiques. Il est temps de définir des institutions qui représentent les forces vives du pays, alors que les partis politiques ne représentent qu’eux-mêmes.
Il faut mettre en place au niveau de chaque département quatre collèges électoraux : un collège pour les salariés, un collège pour les familles, un collège pour les entrepreneurs et un collège pour les agriculteurs. Chaque collège élit un député qui siègera au Conseil régional (soit un Conseil de 20 membres en moyenne) et à l’Assemblée Nationale (soit environ 400 députés).
Il faut aussi que les « pays » soient représentés. Un « pays » est une zone homogène du point de vue géographique, social et culturel (voir la loi Pasqua de 1995). Il correspond à environ un quart de département. Chaque « pays » élit un sénateur. Un système de représentation à définir permettra aussi aux métropoles d’élire leur(s) sénateur(s). Le nouveau Sénat sera donc constitué d’environ 450 à 500 sénateurs.
Ainsi ce sont les forces vives du pays qui prendront les décisions politiques