La fausse démocratie
A chaque fois que le gouvernement américain a besoin de se justifier pour une opération militaire dans un pays quelconque, il invoque la démocratie : « nous, pays civilisé – dit-il – apportons aux pays non civilisés la valeur suprême de la civilisation, la démocratie ». Et, bien sûr, chaque chef d’Etat européen, en bon toutou fidèle à son maître, reproduit ce discours : « nous sommes un Etat démocratique » …
Quelle hypocrisie !
La réalité est tout autre. En 2005, quand les Français ont été appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de traité constitutionnel, ils ont voté contre à 55% des voix. Qu’à cela ne tienne, deux ans après, Nicolas Sarkozy, nouvellement élu, prétexta une modification du projet de traité – en réalité sans rien y changer d’essentiel – pour le faire voter et adopter par l’Assemblée Nationale. Ainsi le Traité de Lisbonne fut imposé au peuple avec la complicité des partis politiques.
D’ailleurs, quel est le rôle exact des partis politiques depuis que Jacques Chirac a fait adopter – là encore, par de sombres manœuvres – le remplacement du septennat par le quinquennat ? La conséquence est que l’élection présidentielle et les élections législatives ont lieu au même moment : fatalement, la majorité à l’Assemblée est de la même couleur politique que le Président fraichement élu. Il en résulte que le Parlement est devenu une simple chambre d’enregistrement des décisions gouvernementales : il ne sert plus à rien.
C’est ainsi qu’on nous impose, sans aucune consultation des députés et des sénateurs, toute une série de décisions stratégiques orientant la France vers un déclin qui, malheureusement, ne cesse de s’amplifier. Prenons quelques exemples : le déclin du nucléaire, alors que c’est l’énergie la moins chère et qui contribue à notre indépendance énergétique ; la politique immigrationniste qui a conduit à l’implantation de plus de douze millions de musulmans et au sinistre « grand remplacement » ; la politique dite de « transition énergétique » qui nous impose les nombreux parcs d’éoliennes produisant de l’énergie bien plus chère que le nucléaire et défigurant nos paysages ; et, « last but not least », la politique de confinements, de masques et de vaccins généralisés en lieu et place d’une politique de soins – comme le fait l’Inde - qui aurait évité de couler l’économie française et de nombreuses faillites se terminant, pour certaines, par des suicides.
Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que nos dirigeants – non seulement le président de la république, mais la plupart des ministres ainsi que tous les chefs de partis – sont à la solde de l’oligarchie mondialiste qu’ils ont choisi de servir, pour ce qu’ils pensent être leur avantage propre mais contre le bien commun. Et pourquoi cette oligarchie mondialiste agit-elle ainsi ? Au nom de sa devise « ordo ab chaos », ce qui veut dire « faisons table rase avant de tout reconstruire ».
Au plus haut niveau de l’oligarchie mondialiste se trouvent les super-loges de la franc-maçonnerie. Et quand on sait que certains francs-maçons du 33ème degré rencontrent le Diable, avec un rituel approprié, on comprend qui est notre véritable ennemi. Ils n’en font d’ailleurs pas un secret puisqu’ils écrivent dans l’une de leurs publications : « La franc-maçonnerie considère Satan le Grand comme le maître véritable » (Extrait du périodique maçon « Rivista della Massoneria Italiana », 1887).
Sans Dieu, nous ne pouvons pas vaincre
C’est pourquoi seul le combat des royalistes, qui luttent pour mettre sur le trône de France le roi, « lieutenant de Dieu sur terre », peut permettre de sortir la France de l’impasse dans laquelle ses ennemis la conduisent. Mais nous savons qu’un régime politique ne peut durer dans le temps que s’il a l’assentiment populaire. Aussi appelons-nous tous les Français à faire comme les Gilets jaunes, à descendre dans la rue pour abattre ce régime politique pourri.
En quoi, direz-vous, aurons-nous sous la royauté une vraie démocratie ? Tout simplement parce que sera mis en œuvre le principe de subsidiarité : les décisions de nature sociétale seront entre les mains du roi et de ses conseillers tandis que l’économie et l’organisation pratique de la vie sociale seront dans les mains du peuple.
A bas la république
Vive le roi Louis XX !