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LES CHRÉTIENS ET L'IMMIGRATION

Le docteur Peter Hammond, dans son livre « Esclavage, terrorisme et islam : racines historiques et menace contemporaine » nous livre une analyse du fonctionnement de l‘islamisation de nos sociétés (Rivarol du 30/08/2023).
Tant que la population musulmane ne dépasse pas 2% dans un pays donné, elle est considérée comme une minorité pacifique et non comme une menace pour les autres citoyens.
De 2 à 5%, les musulmans commenceraient à exercer un prosélytisme envers les autres minorités ethniques et les mécontents.
Au-delà de 5%, ils exerceraient une influence démesurée par rapport à leur poids démographique ; par exemple, ils vont exiger l’introduction de la nourriture halal dans les écoles et les entreprises.
De 5 à 10%, ils vont faire pression sur la grande distribution pour qu’elle fasse figurer des produits halal dans ses rayons, assortie de menaces en cas de refus d’obtempérer.
Vers 10%, on assiste à une recrudescence d’actes de délinquance ; tout comportement non musulman offenserait l’islam et provoquerait soulèvements et menaces, comme à Amsterdam, en représailles contre les caricatures de Mahomet et les films sur l’islam ; les tensions deviennent alors quotidiennes dans les quartiers musulmans.
Passé le seuil de 20%, les nations peuvent s’attendre à des émeutes sous le moindre prétexte, la formation de milices djihadistes, des assassinats sporadiques et des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues, ce qui se passe en Ethiopie.
A 40%, les nations subissent des massacres à grande échelle, des attaques terroristes chroniques et une guérilla permanente.
A partir de 60%, ils persécutent les infidèles de toutes les autres religions (y compris des musulmans non pratiquants).
Rappelons qu’aujourd’hui, nous en sommes à quelques 12 millions de musulmans sur une population totale de 68 millions d’habitants, soit environ 18%. Et, selon un sondage IFOP (Le Figaro du 17/05/2023), plus d’un tiers des musulmans (38%) et plus de la moitié des jeunes musulmans français (57%) considèrent que la charia est plus importante que la loi de la République.
Malheureusement, la très grande majorité des catholiques suit le pape François quand il lance des appels à accueillir les migrants, quel que soit leur nombre. Ainsi, dans son encyclique « Fratelli tutti » (tous frères), il se réfère à la parabole du bon Samaritain. Lorsqu’un pharisien demande à Jésus « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? », celui-ci répond : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit : voilà le plus grand et le premier commandement. Le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. A ces deux commandements se rattache toute la Loi, ainsi que les Prophètes. » (Matt. 22, 36-40). Et quand le pharisien lui demande ‘‘Et qui est mon prochain ?’’ », Jésus répond en présentant la parabole bien connue (Luc 10, 25-29).
Et pourquoi l’Eglise ne parle jamais du premier de ces deux commandements ? Car ce serait ouvrir la voie à une réflexion d’ordre politique, ce qui est tabou. Ainsi Jonas, qui appelle le roi de Ninive à se repentir, dirait, s’il vivait aujourd’hui – et s’il rencontrait Macron, par exemple – « Monsieur le président, changez de politique ».
L’immigration amène à combattre l’invasion d’un peuple et non à établir une suite de relations interpersonnelles.
Venez nous rejoindre pour construire la force d’opposition dont la France a besoin
POUR UN ROI TRES CHRETIEN
Pendant treize siècles, le plus ancien royaume d’Europe, la France, fut dirigé par un Roi surnommé « très chrétien » . Pourquoi ?
Après le baptême de Clovis par l’archevêque de Reims, Saint Rémi, celui-ci laissa un testament indiquant clairement que la vocation de la France était d’abord de défendre la foi chrétienne ; si elle y répondait par ses actions, elle réussirait toutes ses entreprises, mais si elle montrait de l’hostilité vis-à-vis de l’Eglise, elle serait rudement châtiée. L’histoire de la France n’a fait que confirmer cette prédiction. Notamment, depuis 1789 et ses droits de l’homme sans Dieu, ne voit-on pas les catastrophes se succéder, les guerres devenir de plus en plus meurtrières et les régimes politiques être renversés les uns après les autres? A l’inverse, quand nous avons eu un saint roi comme Louis IX (précédé par plusieurs autres qui, avec moins de qualités, avaient vigoureusement défendu la chrétienté), la France a connu un très grand siècle de prospérité dont nous pouvons encore admirer certains effets, comme nos cathédrales.
Tous nos rois savaient que le vrai Roi de France était le Christ et qu’ils n’étaient que leur lieutenant : Jeanne d’Arc l’a fait acter devant notaire par Charles VII, Louis XIV lui-même l’a proclamé. En conséquence, vis-à-vis de son peuple, le roi avait des pouvoirs d’autorité temporelle et des responsabilités spirituelles ; il ne devait pas prendre des décisions politiques contraires à la morale chrétienne.
Le principal combat des rois a été leur lutte contre les pouvoirs féodaux d’abord puis contre les puissances financières (ex : Louis XIV contre Fouquet). Mais ils n’ont pas su stopper la dérive individualiste de la bourgeoisie influente et d’une partie de l’aristocratie.
POUR L’AVENIR :
La nécessité de tourner le dos à cette société devenue mondialiste qui nous mène aux pires catastrophes devient évidente. En remplacement, il faut :
- un roi , muni de pouvoirs d’autorité puissants, y compris militaires
- des corps intermédiaires représentatifs (familles, métiers, professions, communes)
- des lois imprégnées d’esprit chrétien
L’autorité du roi vient en aide à la faiblesse humaine et va jusqu’à écarter les obstacles à la vie surnaturelle de ses sujets : il est le garant des libertés. Loin des idéologies, il convient de retrouver le réalisme chrétien, c’est-à-dire souder le naturel et le surnaturel, le temporel et l’éternel.
C’est ce qu’on appelle la « monarchie institutionnelle », dans laquelle le roi, par son sacre, détient son pouvoir de Dieu et la constitution lui est soumise, à l’opposé des « monarchies constitutionnelles », dans lesquelles le pouvoir du roi est déterminé par la constitution. Ce sont ces dernières qu’on rencontre en Espagne, en Grande-Bretagne, en Belgique, etc. Mais c’est seulement dans les premières qu’on peut dire que le roi est le lieutenant de Dieu sur terre.
Après le temps de la justice (menaces monétaires, économiques, islamiques, sociales) viendra le temps de la miséricorde et du retour de la France à sa vocation première :
AVOIR UN ROI TRES CHRETIEN
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Non à la dissolution de CIVITAS
L'Article 1 de notre constitution déclare "La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. (...) Elle respecte toutes les croyances". Monsieur Darmanin, respectez-la et arrêtez votre persécution !
Vincent Reynouard...
Non au scandale d'une incarcération niant la liberté d'expression !
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le 17 de chaque mois
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Mob. 06 07 50 26 58