Il faut parfois écouter les militaires...
Ayant été parmi les destinataires du courriel que le Général Antoine-Roch Albaladéjo, de la Légion Etrangère, a fait circuler, nous avons choisi d’en faire la diffusion, tant ce qu’il dit nous semble important. Voici donc la copie de ce courriel.
« Il faut parfois écouter les militaires...Surtout quand ils parlent en connaissance de cause : ils savent mieux que les journalistes ce qu'est la guerre et QUI est l'ennemi... et ils n'ont pas d'électorat à séduire, eux...
Alors, au lieu de les prendre pour des ringards, écoutons ce qu'ils ont à dire...dans leur domaine de compétence, et tâchons d'en tenir compte. Même de hauts gradés commencent à en parler...
Quelques éléments de réflexion sur l'affrontement avec les islamistes :
1° Ouvrir les yeux et admettre une bonne fois pour toutes que les islamistes ont déclaré la guerre à l'occident, avec la France en première ligne. Se persuader que cette guerre ne se fera pas sans mort, sans prise d'otages, d’autres attentats, qu'elle se fera aussi chez nous et donc qu'il faudra nous montrer plus vigilant et moins vulnérable y compris émotionnellement.
Savoir que notre ennemi trouvera parmi nous des sympathisants et des complices dans tous les milieux et en plus grand nombre que ce ne fut le cas pour le FLN.
2° Cesser de reculer devant les exigences toujours plus grandes de ces extrémistes et de leurs complices, qui, en affaiblissant notre culture et en imposant la leur, cherchent surtout à tester et à saper notre esprit de résistance.
3° Agir en portant le fer là où apparaît un furoncle :
- Une immigration débridée qui rend insolubles les problèmes du logement, du chômage, de la dépense publique, ça se contrôle.
- des barbus, des imams ou des rappeurs qui appellent à la guerre sainte, à la haine et au crime, ça se sanctionne,
- des quartiers qui caillassent les représentants de l'État, qui rackettent les artisans, ça se neutralise,
- de discrètes écoles coraniques qui forment les djihadistes de demain, ça se ferme,
- des clandestins, ça s'expulse, surtout les délinquants,
- des subventions à toutes ces associations qui font leur beurre dans l'anti-France, ça se supprime, et on revoit nos programmes d'histoire, on jette la repentance aux orties, on laisse la transparence aux vitriers etc.etc. .....
Et ne me dites pas qu'il s'agit là de racisme, de fascisme ou d'extrême droite !
Il s'agit de légitime défense et de résistance dans le respect de la loi, ni plus, ni moins !
Vous pensez sans doute que ce n'est pas demain la veille ?...... Je crois néanmoins que, sans un sursaut, le pays de la douceur de vivre, le plus beau pays du monde, risque fort de disparaître dans d'atroces soubresauts ou dans une coupable et morne résignation, pour être remplacé par une autre que certains, et pas des moindres, semblent appeler de leurs vœux, on se demande pourquoi, et qui commence à faire peur..
Mais je me trompe peut-être... J'aimerais tellement avoir tort... Enfin, réfléchissez, ne soyez ni sourds, ni aveugles, ni muets ».
Général Antoine-Roch Albaladéjo / Légion Etrangère
Nous partageons complètement ce point de vue. Cela étant dit, que faire ? Il n’y a rien à attendre des divers gouvernements qui se succèdent, tous étant inféodés à l’hyper-classe mondialiste. Il faut donc organiser la résistance autrement. Nous pensons qu’il faut commencer par destituer les partis politiques, vecteurs de ce mondialisme qui instrumentalise l’islam.
88% des Français rejettent les partis politiques
Il est temps de définir des institutions qui représentent les forces vives du pays, alors que les partis politiques ne défendent que les intérêts de l’hyper-classe mondialiste.
Il faut mettre en place au niveau de chaque circonscription électorale quatre collèges électoraux : un collège pour les salariés, un collège pour les familles, un collège pour les cadres et les entrepreneurs et un collège pour les agriculteurs. Chaque collège élit un conseiller qui siègera au Conseil Départemental (soit un Conseil de 20 membres en moyenne). Chaque Conseil Départemental élit en son sein un député, soit environ 100 députés à l’Assemblée Nationale.
Il faut aussi que les « pays » soient représentés. Un « pays » est une zone homogène du point de vue géographique, social et culturel (voir la loi Pasqua de 1995). Il correspond à environ un quart de département. Chaque « pays » élit un sénateur. Un système de représentation à définir permettra aussi aux métropoles d’élire leur(s) sénateur(s). Ainsi le nouveau Sénat sera constitué d’environ 450 à 500 sénateurs.
Une nouvelle constitution définira les compétences spécifiques de l’Assemblée Nationale, du Sénat et des conseils départementaux (suppression de la « navette » entre Assemblée Nationale et Sénat).
Certes, ceci n’est qu’une étape vers la retour à la monarchie, le seul régime qui puisse donner à la France un pouvoir fort capable de s’opposer à toutes les agressions que nous subissons chaque jour.
Vive le roi Louis XX