Faut-il craindre la guerre civile ?
Depuis quelque temps, des voix venant d’horizons divers parlent de risque de guerre civile. Il faut se rappeler que ce n’est pas nouveau : la Sainte Vierge, parlant à La Salette en 1846, disait déjà :
« Le Vicaire de mon Fils aura beaucoup à souffrir, l’Eglise sera livrée à de grandes persécutions ; ce sera le temps des ténèbres ; l’Eglise aura une crise affreuse. (…) La France, l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre seront en guerre (NDR : il n’est pas fait mention de l’Allemagne ; il ne s’agit donc pas des deux guerres mondiales), le sang coulera dans les rues, le Français se battra avec le Français, l’Italien avec l’Italien ; puis il y aura une guerre générale qui sera épouvantable (NDR : la troisième guerre mondiale ?) ; pour un temps, Dieu ne se souviendra plus de la France ni de l’Italie (deux ans ou un an) parce que l’Evangile de Jésus-Christ n’est plus connu. »
Certains diront : « mais non, nous vivons en paix en France, toutes ces déclarations catastrophistes nient la réalité ». Et pourtant, selon le journal Le Monde, « Plus de 85 faits de « violences à personnes dépositaires de l’autorité publique » sont enregistrés chaque jour pour la seule police nationale, et il est probable que les chiffres soient encore sous-évalués. (…) On note des violences contre les policiers qui ont doublé en vingt ans, pour atteindre un pic de 31000 agressions au cours de l’année 2020 ». Ce n’est pas encore la guerre civile, mais on peut penser que les auteurs de ces agressions lui préparent le terrain.
Comment un processus de guerre civile pourrait-il être enclenché ? On peut penser, sans être exhaustif, à trois scénarios.
Imaginons d’abord une mobilisation des chrétiens contre toutes les lois qui attaquent la famille – la liberté de l’avortement, le mariage pour tous, la PMA et la GPA, notamment – laquelle peut entraîner, si elle est suffisamment puissante pour remettre en cause tout ou partie de ces lois, des contre-manifestations pouvant devenir violentes de la part du lobby LGBT et de la gauche. Cela peut aller jusqu’à l’« hybris », une situation où la foule en délire ne se contrôle plus, et c’est ainsi qu’elle peut déboucher sur une guerre civile.
Il y a aussi l’hypothèse sur laquelle s’est fondé Laurent Obertone pour écrire son livre-fiction « Guerilla », imaginant un contrôle de police auprès d’immigrés qui, mal maîtrisé, provoque une étincelle mettant le feu aux poudres. Rappelons qu’il y a en France environ 12 millions de musulmans, ayant ou non la civilisation française, dont 2 à 3 millions, selon les experts, sont des sympathisants des djihadistes. Combinons cela avec les stocks d’armes de guerre existant dans les 1500 zones de non droit et on peut deviner la suite. Une situation d’autant plus défavorable pour les Français puisque, si l’on ajoute les forces de police, la gendarmerie et l’armée de terre, nous ne disposons au total que d’environ 150.000 hommes en armes…
Il y a enfin le scénario social : un nouveau mouvement du style des Gilets jaunes, bien maîtrisé, pourrait conduire à une véritable paralysie du pays qui mettrait en branle la population des villes, furieuse du fait des ruptures d’approvisionnement.
Rappelons enfin cette analyse d’un officier parachutiste d’active qui explique que se sont formés au sein de l’armée des groupes de réflexion qui, après avoir travaillé pendant cinq ans, arrivent tous à la même conclusion : un affrontement est inévitable. Il se produira dans moins de dix ans et consistera en une confrontation entre deux camps composés l’un et l’autre de Français de souche et d’immigrés.
Une guerre civile en France est donc très probable
Comment s’y préparer ? En constituant partout des comités de résistance nationale, l’objectif étant de sortir de la tutelle américaine qui nous impose une politique qui ruine la France sur les plans économique et moral.
Sortie de la France de l’UE et de l’OTAN
Pour une Europe des nations souveraines