Comment on détruit la culture française

L’oligarchie mondialiste inscrit ses actions dans la conformité à la devise « ordo ab chaos ». Autrement dit, faisons table rase de tout ce qui existe afin de construire un nouvel ordre mondial.
Différents moyens sont employés, notamment sur les plans politique et économique. Mais ce n’est pas notre réflexion de ce jour. Parlons d’un des moyens qu’elle utilise pour abrutir les esprits non seulement de nos enfants mais aussi des adultes. Il s’agit de « l’écriture inclusive ».
Beaucoup n’ont pas encore entendu parler de ce concept, ou n’y ont pas été confrontés. De quoi s’agit-il ? « Des groupes néo-féministes ultra-politisés ont décidé de dynamiter la langue française », nous dit SOS-Education dans un article du 3/08/2021.
L’objectif est de supprimer dans la langue française tout ce qui ressemblerait à la domination du mâle, à travers la primauté du masculin. Ainsi, au lieu d’écrire «  Ceux qui écrivent ainsi sont déjà tous infectés, mais ils forment à l’école de futurs électeurs », l’écriture inclusive écrit : « Celleux qui écrivent ainsi sont déjà toustes infecté.e.s, mails ielles forment à l’école de futur.e.s électeur.trice.s »

C’est le massacre de la langue française

Premières victimes : les enfants. SOS-Education écrit : « Selon les chiffres officiels, à l’arrivée en 6ème, un élève sur quatre est illettré. Incapable de lire un texte de 25 lignes et de le résumer en 5 lignes intelligibles. »
L’objectif est double : empêcher les enfants d’apprendre à raisonner et transformer les adultes en moutons adhérant à la politique du pouvoir en place. Les adultes seront, pour beaucoup d’entre eux, incapables de lire une œuvre de la littérature française mais, pire, ils ne seront même pas capables de lire le programme d’un candidat et de le critiquer.

Une nouvelle forme de subversion en marche !

SOS-Education fait savoir que, déjà, 314 professeurs refusent publiquement d’enseigner la grammaire française. C’est clairement la volonté de transformer nos jeunes en analphabètes.
Mais il y a bien pire. Les enseignants font l’objet d’un véritable harcèlement, non pas pour les inciter à améliorer leur pédagogie mais pour les transformer en véritables caisses de résonnance idéologique. Pratiquement chaque semaine ils reçoivent une directive leur demandant de mobiliser les enfants sur les thèmes de la non-discrimination à l’égard du genre, de l’identité sexuelle, de la race, etc, du dogme de la laïcité, de la dénonciation du colonialisme et autres sujets appropriés. Même les thèmes des épreuves de français au bac sont empreints d’idéologie.
Et, parallèlement, les programmes de français sont de plus en plus allégés. Par rapport aux années 60, on a supprimé plus de 300 heures sur les quatre années du collège. Voilà l’origine de l’illettrisme : l’enseignement de la grammaire est réduit à peau de chagrin et celui de la littérature ne suit plus la chronologie. Ainsi de nombreux auteurs sont totalement ignorés : Montaigne, Rabelais, Pascal, Descartes, Chateaubriand et bien d’autres.
Le mal est trop profond pour espérer réformer l’Education Nationale. Car le corps enseignant est déjà largement infiltré par la franc-maçonnerie. Et les plus fidèles à leur vocation sont eux-mêmes menacés d’épuisement par les agressions verbales, voire physiques, au sein même de leur établissement.

Une seule solution : le retour du roi

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