Qui est derrière "Nuit Debout" ?

Le mouvement soi-disant spontané « Nuit debout » est né le 31 mars 2016. Cela fait donc un mois et demi que ce rassemblement a lieu, au départ à Paris, puis dans divers villes de province, ce qui se termine régulièrement par des dégradations de vitrines et des incendies de voitures. Comme le fait remarquer le journal Rivarol (12/05/2016), « Nuit debout, en principe spontané, pour s’être formé en seulement quelques jours, dispose déjà de deux sites internet, d’une radio (discrètement soutenue par l’Union Européenne) et d’une télévision web ». C’est d’ailleurs un signe très fort de manipulation, le fait que le site nuitdebout.fr publie de nombreux articles, sans jamais une seule signature !
La France vit donc une situation ayant des points communs avec ce qui s’est passé en Ukraine, si ce n’est qu’on n’en est pas, pour le moment, à l’affrontement armé. Un autre indice qui tend à confirmer l’hypothèse d’un mouvement prémédité, c’est que la police, contrairement à ce qu’affirme Bernard Caseneuve, n’a certainement pas les mains libres pour agir car, si c’était le cas, il y a longtemps que la force armée aurait éradiqué toute tentative de désordre. Inversement, c’est à une mobilisation « molle » de la police à laquelle nous assistons. Au détriment des commerçants et des policiers, dont certains se sont retrouvés à l’hôpital. Quant à savoir qui est le commanditaire souterrain, la réponse est simple, puisqu’il y a eu au moins deux antériorités : la Syrie et l’Ukraine.

C’est le camp mondialiste qui organise la subversion, selon son habitude

La question est de savoir pourquoi. Avançons une hypothèse. Emmanuel Macron a été ovationné lors du 46e Forum économique mondial qui s’est tenu à Davos, du 20 au 23 janvier 2016. Traduction : le camp mondialiste souhaite qu’il soit le prochain président de la république française.
Or ce n’est pas du tout l’objectif de François Hollande, pas plus que celui de Manuel Vals. L’un et l’autre ne cessent de « recadrer » ce dernier, en cherchant à tout prix à étouffer sa voie. C’est peut-être là l’objectif de la manœuvre « Nuit debout » : faire pression sur François Hollande et Manuel Vals afin que ceux-ci cessent de mettre des bâtons dans les roues du char Emmanuel Macron.
Etant donné que ces deux compères ne sont pas du tout prêts à laisser le pouvoir à Emmanuel Macron, le mouvement va continuer et sans doute passer à la vitesse supérieure. Nous n’en sommes pas encore à la guerre civile, mais le danger est bien là. Rappelons encore une fois que nous avons, malheureusement, deux exemples récents qui rendent cette hypothèse réaliste.
Que faire ? Dénoncer cette manœuvre de subversion doit être fait mais ne suffit pas. Il faut organiser partout des « comités de salut public » pour décider collectivement des mesures à prendre contre la subversion.