Non, le réchauffement climatique n'est pas le résultat de l'activité humaine

En 1963, quinze éminents chercheurs d’universités américaines se réunissent en secret dans un endroit appelé « La montagne de Fer ». L’un d’entre eux (pseudonyme John Doe) publia en 1967 le résultat de ces études dans un livre intitulé « The report from Iron Mountain ». En voici les idées essentielles : 1) Aucun intérêt à discerner le Bien du Mal, à déblatérer sur des concepts vides tels que le Droit et le Pouvoir, le Patriotisme ou la Religion ; 2) « La guerre remplit certaines fonctions essentielles pour la stabilité de notre société. Jusqu’à ce que d’autres moyens de les remplir soient développés, le système de la guerre doit être maintenu et son efficacité améliorée » ; 3) Le peuple, en période de guerre ou s’il existe une menace de guerre, se soumet plus facilement au gouvernement sans se plaindre ; en revanche, en temps de paix, les gens s’opposent instinctivement aux politiques de fiscalité et détestent l’immixtion des politiciens dans leur vie privée.
Toutefois la guerre traditionnelle risque d’empêcher la mise en place d’un gouvernement mondial. Les chercheurs ont donc été amenés à imaginer une alternative à la guerre pour les Etats-Unis. La solution qu’ils ont trouvée est le mythe du réchauffement climatique.
Seuls deux dirigeants politiques n’y croient pas et osent le dire : Donald Trump et Wladimir Poutine. Cela montre la puissance des media qui intoxiquent quotidiennement les esprits avec les idées du mondialisme. Voyons de plus près ce bourrage de crânes.
Tout d’abord la caution des soi-disant scientifiques : le GIEC est composé de personnes n’ayant aucune compétence en climatologie ; et quand bien même il y aurait parmi eux des scientifiques, il faut savoir que, dans l’histoire, les académies des sciences n’ont accepté certaines vérités qu’en moyenne avec un siècle de retard. Il en fut ainsi pour Galilée, Newton, Darwin, Pasteur et bien d’autres. C’est tellement plus confortable d’être en accord avec l’esprit du temps…
Pour rester sur le plan scientifique, il est intéressant de se reporter à la période des dynosaures : la nature était surabondante et il y avait quatre fois plus de CO2 qu’aujourd’hui. Et si l’on utilise les logiciels de simulation du GIEC, on arrive à une température de 100 °C ! Ce qui démontre que ces logiciels ne modélisent pas correctement la réalité.
On nous parle de la hausse probable du niveau de la mer. Or celui-ci s’élève de 2 à 3 millimètres par an, soit 20 à 30 centimètres sur un siècle. On est très loin des discours qui nous annoncent une hausse de plusieurs mètres qui conduirait à déplacer des millions de personnes.
La soi-disant disparition des ours blancs : en réalité, sur les cinquante dernières années, leur nombre est passé de 8000 à 24000, soit une multiplication par trois. Ils ne sont pas du tout en voie de disparition.
Venons-en à la question des politiques énergétiques. Le discours occidental s’articule en deux volets, l’un quantitatif, l’autre qualitatif. En ce qui concerne le premier aspect, les occidentaux, qui consomment dix fois plus d’énergie que les pays en voie de développement, voudraient contraindre ces derniers à faire des économies d’énergie. Alors que c’est essentiellement le budget énergétique qui leur permet de sortir du sous-développement. On comprend que le thème du réchauffement climatique et les injonctions des COP21, COP22, COP23, etc, passent très mal auprès de ces populations.
Quant à l’aspect qualitatif, les décisions prises par les Etats européens sont tout simplement aberrants. Il faut savoir que, vers 2050, seuls 5% des besoins énergétiques pourront être satisfaits par les énergies renouvelables. Les éoliennes construites sur terre produisent une énergie trois fois plus chère que celle des centrales nucléaires, et le prix est multiplié par cinq pour les éoliennes construites sur mer. De plus, l’installation d’éoliennes doit s’accompagner de la construction de centrales thermiques puisque celles-ci ne produisent que pendant 20% du temps. L’industrie des éoliennes fait travailler des milliers de personnes, ce qui constitue un énorme gaspillage. En France, on construit et on implante des éoliennes alors que la production d’électricité nucléaire est supérieure à nos besoins.
Quant à la voiture électrique, d’une part son coût de production est largement supérieur à celui d’une voiture à essence ; d’autre part, la conception même est antiéconomique. Ainsi la voiture Tesla qui, selon les dires de son constructeur, aurait 400 kilomètres d’autonomie, a une batterie qui pèse 800 kg ! En comparaison, le réservoir d’essence d’une voiture classique est de 50 litres, soit environ 40 kg, vingt fois moins ! Et que va-t-on faire des batteries usagées ?
La royauté est basée sur la vertu, le roi ayant pour mission d’élever les vertus du peuple. Au contraire, la république passe son temps à manipuler les populations, au bénéfice de l’oligarchie mondialiste.

Vive le roi Louis XX !