Les valeurs de la république sont islamophobes !

Après chaque acte terroriste, nos dirigeants politiques manifestent leur indignation et font appel aux « valeurs de la république ». Le moins qu’on en puisse dire est que cela traduit leur impuissance. Mais n’est-ce que cela ? Reprenons ces « valeurs » une à une…
Les islamistes ne respectent pas l’égalité, puisque, pour eux,la femme est inférieure à l’homme. Ainsi le Coran dit : « Les hommes ont autorité sur les femmes, du fait qu’Allah fait grâce à certains plus qu’à d’autres, et du fait qu’ils dépensent leurs biens. Les vertueuses adorent, et gardent le mystère de ce qu’Allah garde. Admonestez celles dont vous craignez la rébellion, reléguez-les dans des dortoirs, battez-les. » (Coran 4/34).
Les islamistes ne prônent pas la liberté. Ainsi la liberté religieuse est interdite dans les Etats musulmans, tels l’Arabie Saoudite ou le Qatar. Non seulement on n’y construit pas d’église chrétienne mais le simple fait d’organiser une prière en groupe dans une chambre d’hôtel est sévèrement réprimée.
Les islamistes ont une conception restrictive de la fraternité. Ainsi le concept d’ « oumma » signifie qu’il y a, en principe, une grande fraternité entre les musulmans, par-delà les frontières – un peu à la manière des communistes qui criaient « prolétaires de tous les pays unissez-vous » - laquelle exclut les « infidèles ». C’est donc une conception très discriminante de la fraternité.
Quant à la laïcité, le mot lui-même n’existe pas dans la culture musulmane. Le Coran est très clair sur cette question : « Combattez-les jusqu’à la fin de toute sédition et que créance soit d’Allah » (2, 193).
Donc, quand un homme politique fait référence aux « valeurs de la république », il condamne, indirectement, les musulmans ». Il est islamophobe. Il y a une incompatibilité totale entre ce que préconise le Coran et les « valeurs de la république ». C’est d’ailleurs ce que confirme, en 2001, la Cour européenne des Droits de l’homme, dans son arrêt Refah Partisi contre Turquie, qui conclut entre l’incompatibilité des règles de la Charia avec la démocratie :
« Il est difficile de se déclarer à la fois respectueux de la démocratie et des droits de l’homme, tout en soutenant un régime fondé sur la Charia, qui se démarque clairement des valeurs de la Convention [universelle des Droits de l’homme], notamment concernant ses règles de droit et de procédure pénales, sa règlementation concernant le statut légal des femmes, et à la façon dont il intervient dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux préceptes religieux.
De plus, les déclarations [de la Charia] concernant le désir de fonder un « ordre juste », ou « l’ordre de la justice », ou « l’ordre de Dieu », quand elles sont lues dans leur contexte, et même si elles conduisent à des interprétations variées, ont comme dénominateur commun de se référer à des règles religieuses ou divines afin de définir le régime politique préconisé par ses proposants. Elles révèlent l’ambiguïté de l’attachement de ses proposants à un autre ordre que celui basé sur les règles religieuses ».
Nos dirigeants politiques sont-ils fous ? Sans doute pas. C’est donc que ce sont des hypocrites et des menteurs. Leur objectif réel est celui du mondialisme. En effet, l’hyper-classe mondialiste ne veut ni de l’islam ni du christianisme. Elle favorise l’immigration massive dans un but précis : déboucher sur la guerre civile afin que les musulmans et les chrétiens s’entretuent pour laisser la place à un pouvoir fondé sur un nouvel ordre mondial.
En conclusion, quand vous rencontrez un musulman, traitez-le d’anarchiste, puisqu’il veut détruire la république.
Et quand vous rencontrez un des hommes ou une des femmes qui participent au pouvoir républicain, criez-lui : « hypocrite ! ».