Les cinq tares de la république

Un projet de société royaliste, c’est bien plus que quelques objectifs prioritaires. Mais voyons quelles sont les principales tares de la république, et en quoi certains candidats à la présidentielle peuvent avoir notre sympathie. Nous ne les nommerons pas, mais il vous sera facile de les reconnaître.
  1. Abandon de la souveraineté de la France. Cet abandon est aujourd’hui quasi-total. Mais il ne date pas d’hier, puisque, depuis deux cents ans, la plupart des gouvernements de la république furent manipulés par les francs-maçons. Seuls trois candidats se prononcent fermement pour la sortie de l’Union Européenne.
  2. Pas de primauté des valeurs chrétiennes. Parmi les candidats, c’est le silence total. La nouvelle religion de la laïcité, à laquelle personne n’ose déroger, en est la cause.
  3. Assassinat de 250 000 enfants à naître chaque année. Un seul candidat a osé dire que la liberté de l’avortement est contraire à sa religion, pour s’empresser d’ajouter qu’en tant qu’homme politique, il ne la remet pas en question…
  4. Dépravation de la morale. La propagande en faveur de la « théorie du genre », de l’homosexualité, du « mariage pour tous », de la GPA (gestation pour autrui), voire même l’appel à la libéralisation du canabis, n’est sont que les signes les plus visibles. Mais aucun candidat n’ose appeler à l’abrogation de la loi Taubira.
  5. Une école qui ne transmet plus les connaissances. L’école de Jules Ferry, c’est bien fini. Aujourd’hui la politique officielle du ministre de l’Education Nationale interdit aux enseignants de TRANSMETTRE. Les élèves doivent tout découvrir par eux-mêmes. En fait, on instruit plus les enfants, on les maintient en garderie. Quelques-uns des candidats s’érigent contre cette triste réalité.
Nous sommes royalistes parce que chrétiens. Si l’on devait définir le programme minimum que nous soutiendrions, ce serait la prise en compte de ces cinq points. Mais les cinq ensemble, et non simplement certains d’entre eux. Ce qu’aucun candidat ne fait.
Voilà où nous en sommes. Et voilà pourquoi nous sommes opposés à ce régime politique qui n’ose pas affronter les véritables problèmes.