La nouvelle religion du réchauffement climatique

Voilà deux semaines que les media consacrent quotidiennement la moitié du journal télévisé à nous parler du cyclone Irma et de son petit frère José. Certes, les dégats sont considérables dans certaines îles comme Saint Martin et Haïti, mais il y a eu très peu de morts. Pourquoi ne consacre-t-on pas au moins le même temps à la guerre qui continue au Moyen-Orient, avec un nombre de morts bien plus important, notamment des chrétiens ?
Rappelons deux informations : 1) nous sommes effectivement dans un cycle de réchauffement de la planète, mais celui-ci a débuté dans les années 1850, bien avant la pollution due au pétrole ; par conséquent les fameux « gaz à effet de serre » n’en sont pas la cause ; 2) de nombreux cyclones au cours des deux derniers siècles ont causé bien plus de morts. Ainsi, il y a 237 ans, le plus puissant cyclone Atlantique faisait entre 22 et 27 000 morts (Rivarol du 13/09/2017) ; en 1900, l’ouragan qui frappa la ville texane de Galveston tua entre 8 et 12 000 personnes ; et bien d’autres encore, au cours du vingtième siècle, entraînèrent la mort de plusieurs milliers de personnes.
Emmanuel Macron, fidèle serviteur de l’hyper-classe mondialiste, déclarait à Paris, avant l’arrivée d’Irma : « Je peux d’ores et déjà vous dire que ce bilan sera dur et cruel, nous aurons à déplorer des victimes ». Et, vingt-quatre heures plus tard, lors d’un passage à Athènes, il en rajoute : « L’engagement contre le réchauffement climatique nous touche tous et toutes ».

Il s’agit effectivement d’un complot…

Hongbing Song, dans son livre « La guerre des monnaies », relate l’événement suivant. En 1963, quinze éminents chercheurs d’universités américaines se réunissent en secret dans un endroit appelé « La montagne de Fer ». L’un d’entre eux (pseudonyme John Doe) publia en 1967 le résultat de ces études dans un livre intitulé « The report from Iron Mountain ». En voici les idées essentielles : 1) aucun intérêt à discerner le Bien du Mal, à déblatérer sur des concepts vides tels que le Droit et le Pouvoir, le Patriotisme ou la Religion ; 2) « La guerre remplit certaines fonctions essentielles pour la stabilité de notre société. Jusqu’à ce que d’autres moyens de les remplir soient développés, le système de la guerre doit être maintenu et son efficacité améliorée » ; 3) Le peuple, en période de guerre ou s’il existe une menace de guerre, se soumet plus facilement au gouvernement sans se plaindre ; en revanche, en temps de paix, les gens s’opposent instinctivement aux politiques de fiscalité et détestent l’immixtion des politiciens dans leur vie privée. Toutefois la guerre traditionnelle risque d’empêcher la mise en place d’un gouvernement mondial. Les chercheurs ont donc été amenés à rechercher une alternative à la guerre pour les Etats-Unis…
Le groupe de recherche étudia une alternative à la guerre en 5 points : 1) économique : établir un système de « gaspillage » apparent afin d’éviter le fonctionnement normal de l’offre et de la demande ; 2) politique : entretenir une menace extérieure généralisée, de nature et de degré suffisant pour faire accepter l’autorité politique ; 3) sociologique : générer une crainte omniprésente et facilement comprise de destruction personnelle, afin d’assurer l’adhésion aux valeurs sociétales admises ; 4) écologique : le contrôle de la population doit assurer la survie des espèces ; 5) culturel et scientifique : motiver les populations pour la quête de connaissances scientifiques.
Les chercheurs songèrent que la meilleure réponse est la pollution de l’environnement. Avec une propagande adaptée, l’objectif est de provoquer un effet psychologique aussi effroyable que celui de la fin du monde après la guerre nucléaire. C’est la nouvelle religion permettant d’asservir les peuples non plus par la force mais en captant les esprits !
C’est ainsi que fut inventée le combat contre le réchauffement climatique. Le groupe de chercheurs qui, officiellement, cautionne la thèse d’une influence des activités humaines dans le réchauffement climatique est le GIEC. Or il se trouve que nombre d’autres chercheurs, hors du GIEC, contestent le sérieux scientifique de ces pseudo-chercheurs.
En résumé, derrière tout cela se cache un combat à mort contre la seule vraie religion, le christianisme. Pour rétablir le rapport de forces en sa faveur, il nous faut un régime politique chrétien, lequel ne peut être que la royauté car – nous ne cessons de le répéter – le roi est le lieutenant de Dieu sur terre. A ce titre, le cœur de sa mission est d’élever la vertu du peuple et, ainsi, de le ramener à Dieu.

Vive le roi Louis XX