La montée de l'islam dans les entreprises

Un sondage récent demandait aux chefs d’entreprise quelle était la nature des principaux faits religieux dont ils ont eu connaissance (Le Figaro du 2/02/2018). Arrivent en tête des demandes de congés liés à une fête religieuse qui n’est pas un jour férié, donc musulmane (53%), puis des lieux de prière (48%). A noter aussi des aménagements du temps de travail (25%) le refus par un musulman de serrer la main d’une personne de l’autre sexe (24%) et le refus d’effectuer une tâche pour des raisons religieuses (20%). Un exemple de ce dernier point est le manutentionnaire d’une entreprise de distribution qui ne voulait plus toucher de l’alcool ou du porc.
Il est clair que c’est toute l’organisation de l’entreprise qui est bouleversée. Et nous savons que le même phénomène se produit dans les hôpitaux, notamment lorsqu’un musulman exige un médecin de sexe féminin pour ausculter sa femme. Avançons un chiffre : c’est probablement au moins 10% de la productivité de l’entreprise qui est perdue. Comme le phénomène n’est pas encore général (mais la situation ne fait qu’empirer), c’est peut-être 1 ou 2% de notre PIB qui est perdu, soit au moins deux cent milliards d’euros. Bien des administrations françaises seraient heureuses de disposer de cet argent pour améiorer le service public !

C’est l’économie de la France qui va à sa perte si l’on continue sur cette voie

Nous voyons là les effets de la politique mondialiste qui oblige les Etats européens à accepter des vagues sans fin d’immigrés. Le prétexte avancé étant que la natalité n’est pas assez forte alors qu’on fait une propagande généreuse en faveur de l’avortement, ce qui représente, depuis que la loi Veil existe, environ dix millions de Français assassinés avant la naissance. Et justement le nombre de musulmans en France est de l’ordre de dix millions. Mais la vraie raison est la suivante : affaiblir l’Europe, le but final étant de remplacer la culture européenne bimillénaire par la barbarie. C’est ce qu’on appelle le « grand remplacement ».

Halte au « grand remplacement » !

C’est pourquoi deux mesures de sauvegarde doivent être adoptées d’urgence. La première est la mise en place de centres de détention pour tous les immigrés en situation irrégulière. C’était dans le programme de François Fillon, qui n’a rien d’un fasciste. Cela découragerait bon nombre de candidats à l’immigration.
La deuxième mesure consisterait à supprimer la nationalité française à tous les étrangers vivant en France depuis moins de dix ans. Cela devrait permettre aux chefs d’entreprise d’embaucher prioritairement des Français.
Cependant, autant la première de ces mesures que nous proposons pourrait être mise en œuvre dans le cadre de la république, autant la seconde nécessite une réécriture complète du traité de Lisbonne, en y incluant la référence chrétienne et le principe de subsidiarité, seule garantie d’une autonomie de la France dans ses choix politiques.

Introduisons la référence chrétienne et le principe de subsidiarité dans le traité de Lisbonne !