La loi que la république ne fera jamais voter

La subversion islamiste est à l’œuvre dans de nombreux secteurs de notre société. Dans les écoles, les islamistes font pression sur les chefs d’établissement pour imposer la nourriture halal à la cantine. Dans les piscines, ils font pression sur la direction pour imposer des horaires spécifiques pour les femmes. Les autobus parisiens sont, pour la plupart, conduits par des musulmans qui transforment les dépots en lieux de prière et n’hésitent pas à refuser l’accès aux femmes quand l’envie leur en prend. De plus en plus de chefs d’entreprises sont confrontés à des groupes de musulmans qui exigent l’installation d’une salle de prière sur le lieu de travail. Et la liste n’est pas exhaustive.
Où cela nous conduit-il ? Ce n’est pas le pouvoir que les islamistes revendiquent avant tout. Certes, c’est bien le chemin qui est pris. Il suffit de se rappeler que, pour la première fois en France, un parti musulman a présenté une quinzaine de candidats à la députation cette année. Mais ce qu’il leur importe avant tout c’est que la société française devienne musulmane. On sait maintenant les horreurs auxquelles Daesh a soumis les populations sous son contrôle. C’est ce qui risque de nous arriver.
Et pourtant le gouvernement ne fait rien, qu’il soit de droite ou de gauche, et Macron pas plus qu’un autre. Pourquoi ? Pour deux raisons. La plus évidente est que les responsables qui sont en première ligne ont peur de se faire taxer d’islamophobes. Mais s’il en est ainsi, c’est que le pouvoir le veut. C’est la deuxième raison, la vraie raison. Tous les politiciens sont soumis au pouvoir mondialiste. Celui-ci veut la destruction des Etats. Et, en particulier, il veut faire disparaître toute trace du christianisme en France, première étape de sa disparition au niveau mondial. Nous sommes en train d’en vivre un exemple à Ploërmel, dans le Morbihan, le tribunal administratif de Rennes ayant en effet ordonné le démontage de la croix surmontant un monument à l’effigie du pape Jean-Paul II érigé sur la place de la ville…
Ainsi, l’hyper-classe mondialiste instrumentalise l’islamisme pour servir ses desseins. Comment, donc, lutter contre cette subversion qui se développe tous azimuts ? Il y a une solution très simple pour sortir de cette situation éminemment dangereuse. Il suffirait d’étendre le  champ d’application de la loi sur la harcèlement. Considérer que tout groupe ou individu qui fait pression sur un chef d’entreprise, un directeur d’école, un directeur de piscine, etc, doit être jugé pour harcèlement. Evidemment, ce n’est pas une loi qu’oseront voter nos députés.
Toutefois, il ne faut jamais sous-estimer l’ennemi. Il faut savoir que, si d’aventure un gouvernement osait se lancer dans une telle démarche, la riposte serait violente : « puisque la voie pacifique de prise du pouvoir nous est interdite, alors utilisons la voie violente », se diront-ils. Or il y a en France au moins huit cents zones de non droit, des lieux où sont entreposées des armes de guerre depuis près de trente ans. Cela a commencé avec la chute du communisme qui a permis toutes sortes de trafics d’armes. Et pas la simple kalachnikov. Non, des armes de guerre capables de détruire un char.
Et combien sont-ils, ces musulmans prêts à passer à l’action ? Sur dix à douze millions de musulmans résidant en France, les spécialistes estiment qu’il y a deux à trois millions de sympathisants djihadistes. En face  - nous l’avons déjà dit et nous le redisons – si l’on additionne les forces de police, la gendarmerie et l’armée de terre, on arrive au maximum à 170 000 hommes. A supposer qu’il n’y ait pas de défection… L’issue est claire : nous perdrons la bataille et la France deviendra musulmane.
Une note d’espoir : Dieu a promis d’aider la France, fille aînée de l’Eglise… à condition qu’elle se repente de ses péchés. Et c’est la France qui prendra la tête du combat contre le mondialisme et qui libérera les autres pays sous son joug.
Mais cela ne se fera que dans la douleur. Préparons-nous à l’affrontement.