Halte à la dictature mondialiste

Le Général Piquemal, ancien commandant de la Légion étrangère, vient d’être arrêté au motif qu’il  s'est rendu à une manifestation contre l'invasion migratoire, manifestation interdite par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve.
Pierre Myleslin, sur le forum du Boulevard Voltaire du 7/02/2016, dénonce l’invasion migratoire dont l’Europe est l’objet : « Une montagne se dresse là devant nos yeux hagards, une montagne avec ses minarets, son métissage culturel, son Grand Remplacement, son antiracisme, son progressisme débridé, sa propagande et sa dictature larvée. Une montagne et autant d’obstacles qu’il faudra surmonter, dont il faudra triompher ». Et il conclut par une note de désespoir : « On nous avait dit qu’avec la foi, on pouvait faire bouger des montagnes. La montagne est bien là. Plus la foi. Coquille vide coincée entre deux encycliques sur le réchauffement climatique… ».
Sur ce même forum, Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse, dénonce le pouvoir financier qui régit le monde aujourd’hui. Un exemple : la chute brutale, de plus de 50%, du prix du pétrole. Et on nous dit que c’est dû au fait que la demande faiblit. Mais si c’était vrai, nous aurions une décroissance progressive, par exemple de 5% par an, ce qui est déjà très élevé. Il est impossible que, dans un laps de temps très court, la variation de la demande soit aussi forte. C’est donc qu’il y a en réalité une manipulation financière des cours du pétrole et du gaz. A qui profite le crime ? A ceux qui veulent faire chuter Poutine car, c’est clair, c’est une action économique dirigée contre la Russie. Donc par la triade UK-USA-Israël.

Roosevelt disait : « en politique, le hasard n’existe pas »

Tous ces événements ont une même cause. Notre véritable ennemi, la triade UK-USA-Israël, a mis en place un triple pouvoir : 1) un pouvoir financier, exercé par le cartel des grandes banques internationales ; 2) un pouvoir politique, dont les Etats-Unis sont le bras armé ; 3) un pouvoir idéologique, exercé d’une part par la franc-maçonnerie et d’autre part par les sociétés de pensée telles le CFR, Bilderberg, la Trilatérale et quelques autres.
L’invasion migratoire a démarré brutalement lors de l’été 2015, et non progressivement comme cela aurait pu se produire si le phénomène était spontané. C’est donc qu’il a été téléguidé. Cette invasion répond à un double objectif : mettre en application l’idéologie du métissage des populations et déstabiliser l’Union Européenne jusqu’à provoquer des guerres civiles au cours desquelles s’entretueront européens et musulmans. Tout ceci dans une perspective de gouvernement mondial.

Un changement par voie électorale est impossible

Manuel Valls déclarait le 18 août dernier que « Si les Français élisaient Marine Le Pen en 2017, nous suspendrions le processus électoral ». C’est ce qu’avaient fait les militaires algériens dans les années 90 quand le FIS était près de prendre le pouvoir par la voie électorale. Quelle meilleure confirmation de ce que nous ne cessons d’affirmer, à savoir que les gens au pouvoir (depuis 200 ans) ont mis en place un système électoral tel qu’ils soient sûrs de ne jamais être évincés de ce pouvoir.
Si la Pologne a cessé d’être sous l’emprise communiste c’est – en partie – parce que le peuple polonais est descendu dans la rue à répétition jusqu’à ce que le pouvoir tombe. En effet, un philosophe a dit un jour qu’une dictature ne tient que par le consensus. Le jour où le peuple manifeste qu’il ne veut plus être complice, la dictature ne tient plus.
C’est ce que nous devons faire en France. A cela, il faut deux conditions : que le peuple se reconnaisse sur un même mot d’ordre et qu’un cartel d’organisations de toutes sensibilités politiques se mettent en place pour organiser le mouvement.
En ce qui concerne le dernier point, écrivez-nous afin qu’un collectif puisse se mettre en place. Ensuite ce sera à ce collectif qu’il reviendra de choisir le mot d’ordre suffisamment unificateur pour que des millions de personnes descendent dans la rue. Bien sûr, cela ne se fera pas en un jour, mais en moins d’un an nous pouvons y arriver.

Tous unis contre le mondialisme