Des musulmans font la police des moeurs

Le journal Nice-Matin (22/02/2017) rapporte cette information : à Cannes, un homme de 43 ans a porté plainte après avoir été agressé dans une salle de sport, parce qu'il avait pris sa douche nu. Lorsqu'il sort de la cabine de douche pour attraper sa serviette de bain, il tombe sur des jeunes, également venus se doucher mais en conservant leurs caleçons. « L'un d'eux m'a interpellé : '’Oh, t'es pas fou toi de te doucher à poil ! " Je lui ai répondu que moi, je n'avais pas de problème avec ça, et qu'il n'avait qu'à regarder ailleurs », se remémore le sportif. Une réponse qui ne plaît pas aux accusateurs. « Alors que je m'adressais à l'un, j'ai reçu un énorme coup de poing dans la figure, par surprise. Sonné, je me suis accroupi au sol en mettant mes mains sur le visage, il y avait du sang partout ! », raconte-t-il à Nice-Matin.
Cet incident, parmi bien d’autres, nous interpelle. Il y a le fond et la forme. Sur le fond, de quoi s’agit-il ? Les deux jeunes en question ne défendaient pas une quelconque manière de vivre propre à leur ethnie, mais tout simplement la morale. Ne fermons pas les yeux : de très nombreux musulmans – et les islamistes savent le mettre en exergue – portent un regard très critique vis-à-vis de la dépravation morale de nos sociétés occidentales. Nous ne pouvons que leur donner raison. Même l’affaire du burkini – ce maillot de bain très habillé qu’ont exhibé certaines musulmanes au bord de la mer – pose la même question, même s’il y a un arrière plan de provocation politique.
Inversement, si nous en venons à la forme, le choix de faire justice soi-même est inacceptable et contraire à la justice française. Que conclure de tout cela ?
Certainement pas ce qui s’est passé récemment à Saint-Etienne-du-Rouvray : après l’assassinat du Père Jacques Hamel, une équipe de musulmans « pacifistes » a monté la garde devant l’église avec l’approbation silencieuse des fidèles. C’est inadmissible ! Des paroissiens auraient dû immédiatement réagir et inviter poliment ces musulmans à rentrer chez eux, en les remerciant de leur bonne volonté et en assurant eux-mêmes la garde de l’église.
La France est entrée, depuis des années déjà, dans un processus de subversion tranquille, où des musulmans prennent progressivement, sans vague, les rênes du pouvoir. Certes, ils ne sont pas encore à l’Assemblée Nationale, mais ils saisissent toutes les occasions pour prendre en main, localement, l’organisation de la vie sociale. Exemples : les cantines scolaires alimentées en nourriture halal, les piscines avec des horaires spécifiques pour les femmes, etc.
Le frein, ce qui nous empêche d’agir, est dans la tête de beaucoup de Français, aveuglés par le discours mondialiste qui leur fait oublier leur identité et les grands ancêtres qui ont marqué leur histoire et dont ils peuvent être fiers, des grands rois comme Charlemagne, Louis IX, Louis XIV, de grands généraux comme du Guesclin, Turenne, Bonaparte sans oublier Jeanne d’Arc, de grands religieux comme Saint Martin, Saint Bernard, Saint Vincent de Paul, le père de Foucauld. C’est là que nous voyons la différence radicale entre république et royauté. La royauté chrétienne encourageait les français à se dépasser, la république y a substitué le règne de l’argent. L’exemple ne vient-il pas d’en haut ? Aussi tout est-il fait pour réduire à néant la vertu des citoyens. Rien que le slogan républicain – fais ce que tu veux tant que cela ne gêne pas le voisin – est le contraire d’une vie sociale, où les gens sont tous solidaires et donc appelés à s’entraider.
Au contraire, un roi a pour mission d’élever la vertu de son peuple. C’est ce que disait Louis de Bonald : « L'Etat fera peu pour les plaisirs des hommes, assez pour leurs besoins, tout pour leurs vertus ».

Il nous faut un roi pour relever moralement la France