Allons-nous vers une troisième guerre mondiale ?

Au lendemain des attentats du 13 novembre, François Hollande déclarait que « La France est en état de guerre ». Qu’en est-il exactement ? Certes, l’immense vague migratoire qui est en train d’envahir l’Europe est une forme de déclaration de guerre car tout ceci n’est que l’aboutissement de l’agression par les Etats-Unis de l’Irak, de la Libye et maintenant de la Syrie. Les Etats-Unis, avec leurs alliés la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar, arment Al Qaïda et l’Etat Islamique. De plus le dirigeant de ce dernier, le calife Al Baghdadi, ne cache pas son projet d’envahir l’Europe. Quant à la Russie, elle est, prudemment, entrée en guerre contre l’Etat Islamique au côté de Bachar El Assad et de l’Iran.

Tous les ingrédients sont prêts pour une troisième guerre mondiale…

Al Baghdadi a déclaré récemment qu’il est prêt à faire la guerre à l’Arabie Saoudite – malgré son aide financière – car il veut être le calife de tous les musulmans. Il a aussi déclaré qu’il allait attaquer Israël. Si ses deux grands alliés sont menacés, les USA seront obligés de s’impliquer militairement, eux-mêmes et non par pays interposé comme ils ont l’habitude de le faire. Il est fort probable qu’alors les musulmans d’Europe déclenchent massivement des attentats sur notre continent, ne serait-ce que pour déstabiliser l’OTAN. Attentat – répression – nouvel attentat : le cycle infernal est bien connu. L’escalade se fera alors en impliquant tous les Français qui se sentiront solidaires des musulmans et hostiles à Israël, en clair toute la gauche. Et nous voilà entraînés dans une guerre civile. Non seulement en France mais sans doute aussi dans d‘autres pays européens.

L’objectif final : l’instauration d’un gouvernement mondial

Le gouvernement américain est lui-même manipulé. Une force diabolique, qui agit dans les coulisses et dont font partie la franc-maçonnerie et le cartel des grandes banques internationales, pousse ses pions, comme sur un échiquier, pour aboutir à une destruction mutuelle de tous les belligérants (pour plus de détails, lire « Des pions sur l’échiquier », de William Guy Carr). C’est, selon son plan, l’étape nécessaire pour mettre en place un gouvernement mondial. C’est cette même force qui, selon un plan préétabli, a provoqué les deux guerres mondiales de manière à mettre à genoux les puissances européennes.
Dans un précédent article, nous tombions nous-mêmes dans la tentation d’appeler la France à se battre avec la Russie et Bachar El Assad contre l’Etat Islamique. Une simple évaluation des forces nous conduisait à la nécessité d’accroître les effectifs de l’armée française… jusqu’à un million d’hommes. C’est dire la puissance des forces à combattre, sans compter les Etats-Unis. Mais ce serait entrer dans le jeu de l’ennemi.

Trois candidats pour un seul fauteuil

Au point où nous en sommes dans notre analyse, il nous faut revenir à l’essentiel. Trois forces ont pour objectif de dominer le monde : 1) le christianisme, la seule à vouloir le faire pacifiquement ; 2) l’islam, dont l’objectif est d’imposer à tous les « infidèles » un statut de citoyen soumis ; 3) la force diabolique dont nous venons de parler, qui veut transformer en esclaves tous les habitants de la planète. Or – selon le dicton bien connu – la vérité finit toujours par percer. Nous avons donc la certitude que c’est le Christ qui vaincra. Mais la transition peut être plus ou moins douloureuse…
Que faire ? Refuser toute décision de la France qui conduirait à s’impliquer dans un conflit risquant de devenir planétaire. Dans l’immédiat, il faut que se rassemblent toutes les organisations, les hommes et les femmes prêts à se battre contre l’invasion migratoire et qu’ils descendent dans la rue comme ont déjà commencé à le faire plusieurs milliers de personnes, dans une manifestation pacifique dont aucun media n’a parlé.
Pour se battre, il faut deux conditions : être organisés et avoir un objectif commun.
Par respect pour toutes les personnes qui ne se reconnaissent pas dans un projet politique particulier, la forme d’organisation est le « cartel d’organisations ».
Quant à l’objectif commun, il doit être positif (« pour quelque chose ») et non  pas simplement négatif, du style « halte à l’invasion migratoire ». Il pourrait être

Retrait de la France de la convention de Schengen et protection des frontières