A propos de l'abattage halal et casher

En avril 2017, les parlementaires de la majorité en Belgique sont tombés d’accord pour interdire l’abattage des animaux de boucherie sans étourdissement à partir de 2019 sur tout le territoire. C’est-à-dire, en réalité, la fin des pratiques communautaires alimentaires d’importation, étrangères aux traditions européennes, l’abattage rituel halal et casher ! (www.jeune-nation.com/actualite/actu-internationale)
Non seulement c’est contraire aux traditions européennes mais, de plus, c’est contraire aux normes internationales de protection des animaux. Voici en effet ce que dit la norme OIE sur l’abattage des animaux (§ 1.7.5) :
« Les présentes recommandations visent à répondre aux impératifs de bien-être des animaux élevés pour la production alimentaire, pendant les opérations de pré-abattage et d’abattage jusqu’à ce que leur mort intervienne.
Elles s’appliquent à l’abattage pratiqué dans des abattoirs des animaux domestiques suivants : bovins, buffles, bisons, ovins, caprins, camélidés, cervidés, équidés, porcs, ratites, lapins et volailles. Les autres animaux, quel que soit leur lieu d’élevage, ainsi que tous les animaux abattus hors des abattoirs, doivent être pris en charge en veillant à ce que les opérations de transport, de stabulation, d’immobilisation et d’abattage soient conduites sans causer un stress inutile aux animaux ; les principes retenus pour l’élaboration des présentes recommandations s’appliquent également à cette catégorie d’animaux ».

Egorgé à vif, l’animal peut souffrir jusqu’à 14 minutes !

Ce n’est pas digne d’une société civilisée comme la nôtre de tolérer de tels actes de barbarie, et il est heureux qu’il y ait au moins un pays européen qui commence à réagir.
Comment se fait-il que de telles pratiques subsistent ? Il y a deux raisons à cela. En ce qui concerne l’abattage casher, sans doute faut-il voir là un exemple de plus de la soumission de nos dirigeants à Israël. Quant à l’abattage hallal, une taxe est prélevée qui rapporte soixante millions d’euros à la communauté musulmane chaque année !
Dieu a confié à l’homme la gestion de la nature, à condition que cela soit fait dans le respect de la loi naturelle. Même un non-croyant peut comprendre cela : c’est un acte de sauvagerie que de faire souffrir des animaux. C’est là qu’on voit la lâcheté de nos dirigeants. En effet, s’ils prenaient la même décision que vient de mettre en œuvre le gouvernement belge, ils savent bien que ce serait l’insurrection conduite par les deux à trois millions de musulmans vivant en France et sympathisants de Daesh.
Nous voyons donc que nous sommes dans une situation analogue à celle qu’a vécu Louis XIII à son époque : celle d’être confronté à un « Etat dans l’Etat ». Mais la situation est bien pire, pour deux raisons : 1) les musulmans bénéficient de toute une sympathie populaire ; 2) ils peuvent compter sur un soutien international fort.
Louis XIII a conforté son pouvoir par les armes. Si le gouvernement français veut réellement asseoir son pouvoir sur toute la France, y compris dans les zones de non droit, il ne dispose que d’un seul moyen : envoyer l’armée pour désarmer ces zones, à l’instar de ce qui a été fait lors de la bataille d’Alger en 1957.
Ainsi, toutes les mesures du style Vigipirate, ainsi que les dernières décisions relatives à une « police de quartier » prises par notre ministre de l’intérieur, sont un leurre qui cache la réalité : ce sont les islamistes qui sont en train de prendre le pouvoir, et nous les finançons, notamment en leur versant 60 millions d’euros par an.

Seul un roi aurait le courage d’entreprendre cette guerre.
Vive le roi Louis XX