2015
APRES LA GRECE, LA FRANCE ?
La troïka BCE-FMI-UE envisage de voler à la Grèce des actifs industriels d’un montant de 50 milliards d’euros. Il s’agit en fait d’un racket qui ne dit pas son nom. C’est l’une des trois méthodes qu’utilise le cartel des grandes banques internationales, qui est le véritable décideur, pour s’enrichir : organiser une guerre, une crise économique ou faire croître la dette publique. Nous sommes en présence du troisième cas de figure. Leur objectif n’est pas d’aider la Grèce, mais de « tondre le mouton ».
Or tous les Etats occidentaux, les Etats-Unis y compris, sont dans la même situation : une dette publique énorme, qui s’accroît d’année en année. Considérons le cas de la France. Nous en sommes à payer 45 milliards d’euros chaque année, seulement au titre des intérêts de la dette. Et cette somme augmente chaque année. De plus, la loi perfide de Pompidou de 1973 interdit à la Banque de France de créer de la monnaie ex nihilo, ce qui est pourtant sa fonction en vertu du pouvoir régalien de battre monnaie. Donc nous nous endettons chaque année davantage.
Il viendra fatalement un moment où la France se trouvera dans la même situation que la Grèce aujourd’hui, c’est-à-dire dans l’incapacité de rembourser les créanciers. Et le même scénario se mettra en marche : l’accaparement de nos actifs par les banquiers.
Une seule solution : sortir au plus vite de l’UE et de l’euro
Le malheur des Grecs est que la majorité de la population continue à croire que « hors de l’Union Européenne, point de salut », pour paraphraser une expression célèbre. Ils se sont laissés entraîner dans une économie de consommation, en oubliant que seule une économie de production peut enrichir un pays et lui assurer son indépendance.
En France, note situation n’est guère meilleure : malgré la richesse de notre sol, nous avons perdu notre autonomie alimentaire et notre industrie ne représente que 10% du PIB. A supposer que la France retrouve la croissance – rappelons que, pour créer des emplois, celle-ci doit être supérieure à l’amélioration annuelle de la productivité, qui est de 1,6% par an – il n’y aurait pas de résorption du chômage car des emplois ne seront créés que pour des postes à très haute qualification ou pour des services aux particuliers.
La seule solution est que l’Etat français retrouve son pouvoir régalien de battre monnaie. Sans le concours des banques. Mais pour réaliser cela, il faut un pouvoir fort. Seul un roi ayant la confiance de la population pourra le réaliser.
LA SUBVERSION ISLAMISTE...
Christian Vercoutère publie l’information suivante sur le site « Riposte laïque » :
« Voilà déjà bien longtemps que je rencontre cet homme et voici ce qu’il m’a dit ce jour : sur 140 chauffeurs de bus, 73 ne viennent pas travailler pour cause de RAMADAN ! Soit plus de la moitié du personnel de conduite des bus de la métropole lilloise ! Mais ce n’est pas tout : malgré leurs absences, il sont payés !
Afin d’assurer le service de bus, la Maire de Lille fait embaucher des intérimaires et devinez quoi : eh bien ce sont tous, oui tous, des maghrébins barbus (aie, aie, pas d’amalgame). Je suppose que ce personnel temporaire est en parfaite adéquation avec la clientèle de cette ville socialiste.
Mais ce n’est pas tout : les contrevenants contrôlés ne payent pas d’amende car les ordres sont clairs : pas de vagues. mais on les intime à payer leur ticket et devinez : « pas question de payer, on est chez nous ici à Lille » est leur seule réponse. Et vu leur nombre, la peur règne en maître !
Les responsables Transpôle donnent des ordres clairs : ne faites rien, pas de vague !
Donc résumons : pour des raisons religieuses, les responsables autorisent ces pratiques. Par peur d’émeutes, les mêmes responsables reculent devant la terreur des pratiquants de cette religion qui sont bien sûr musulmans puisque adeptes du ramadan. Et donc inutile de les « ficher » ni de les « stigmatiser » comme on l’a vu dernièrement ailleurs, ils s’en chargent eux même avec leur comportement et leur tenues provocatrices.
Et pour tout ça, qui paye ? Ne cherchez pas, c’est vous ! Forte des faiblesses de nos politiques, cette minorité empoisonne la vie de citoyens qui eux bien sûr payent leur ticket et sont verbalisés en cas d’oubli. Et là, pas question de religion ! »
Ce fait divers nous amène plusieurs commentaires.
Tout d’abord, on voit bien l’inefficacité d’un appel à la laïcité, puisque ceci se passe dans une municipalité socialiste, qui prétend défendre les « valeurs de la république », donc en particulier la laïcité.
La laïcité, cela consiste à accorder le même poids à la vérité et au mensonge
Venons-en maintenant au comportement de ces musulmans. Le moins qu’on en puisse dire est que, pour eux, les « valeurs de l’islam » passent avant les « valeurs de la république ». Nous pouvons facilement imaginer comment, en coulisse, ils se moquent de ces Français qu’ils roulent dans la farine. Comment peuvent-ils respecter la France quand une telle violation des règles élémentaires de bon fonctionnement d’un service public est effectuée sans aucune sanction ?
Nous assistons là non pas à un acte d’indiscipline comme pourrait en commettre un adolescent dans une école publique, mais à une volonté délibérée de grignoter petit à petit la loi républicaine pour la remplacer par la loi islamique, c’est-à-dire la charia. Nous sommes en pleine subversion.
L’aboutissement est facile à deviner : c’est la prise du pouvoir politique par les islamistes et l’instauration, en particulier, de la charia, ce qui signifie que tous les non-musulmans seront considérés comme des citoyens de catégorie inférieure – des « dhimmis » - et imposés en conséquence.
Que faire contre la subversion islamiste ?
Si des musulmans se comportent ainsi, c’est qu’ils se sentent forts. Ils sont en effet près de dix millions en France. C’est le résultat d’une politique d’immigration qui ne date pas d’hier, puisqu’elle a commencé par la loi sur le regroupement familial votée du temps de Valéry Giscard d’Estaing. Donc pas de différence entre la droite et la gauche sur cette question. Ce n’est qu’un des aspects de la volonté de la république – depuis deux cents ans qu’elle a été fondée – de détruire le christianisme.
QUELLES LECONS TIRER DES DERNIERS EVENEMENTS EN GRECE ?
La première chose qui frappe, c’est la trahison d’Alexis Tsipras, qui revient dans son pays pour annoncer qu’il a signé un accord en contradiction totale avec le NON du référendum qui venait d’avoir lieu. Aussitôt suivi d’un vote du parlement grec en faveur de l’accord signé. Deux explications viennent à l’esprit : soit les députés ne représentent pas la population du pays – phénomène que nous connaissons aussi en France - soit des menaces de sanctions extrêmement violentes ont été formulées en coulisse, ce qui peut expliquer l’attitude d’Alexis Tsipras, qui confirme publiquement qu’il a signé un accord qu’il désapprouve.
Les deux explications sont valables pour la France : 1) les députés ne sont pas représentatifs de la population française ; 2) François Hollande est très probablement soumis à des menaces de sanctions très violentes que nous ne connaissons pas. Voyons ces deux points.
Comment changer le mode de représentation ?
Selon la doctrine sociale de l’Eglise, ce sont les corps intermédiaires qui devraient être représentés, c’est-à-dire les forces vives du pays. Citons les plus importantes : les entreprises (patrons et salariés), les familles, les enseignants et les agriculteurs. Des collèges électoraux constitués au niveau des « pays » (il y a en moyenne quatre pays par département) pourraient élire chacun un représentant. Comme il y a en moyenne cinq départements par région administrative (selon l’ancien découpage), le « gouvernement de région » pourrait être constitué de 20 députés, ce qui est incontestablement plus efficace que les 100 ou 150 élus actuellement pour chaque région. Toujours selon l’ancien découpage des régions, si ces mêmes députés siègent à l’Assemblée Nationale, cela représente 400 députés, soit un tiers de moins que ce qui existe actuellement. Ceci n’est qu’une piste de réflexion. Elle a le mérite de montrer comment les Français pourraient être mieux représentés que par des partis politiques qui ne représentent qu’eux-mêmes.
Sommes-nous sous la menace de terribles sanctions ?
Malheureusement oui. Nous ne savons pas quelles sont celles qui concernent la Grèce, mais nous pouvons avoir une idée des nôtres. Il y en a plusieurs, mais retenons seulement celle qui correspond au scénario tragique vécu par les ukrainiens. Le camp mondialiste a envoyé en Ukraine – comme il l’avait fait précédemment en Syrie – des mercenaires qui, en se faisant passer pour des autochtones, ont déclenché une insurrection qui s’est transformée en guerre civile.
Les attentats récents ont mis en lumière qu’il y a deux à trois mille islamistes en France prêts à mener des actions terroristes. Il suffit d’une provocation habilement montée pour que ceux-ci passent à l’offensive. Le drame est qu’ils seront soutenus par une large fraction de la population qui, naïvement, sont prêts à soutenir les immigrés si on leur fait croire que ce sont eux les victimes. C’est ce qu’on appelle de la manipulation. Et nous entrons alors dans un processus de guerre civile.
Que ferait le roi de France ?
Les forces hostiles auxquelles nous sommes confrontés sont tellement puissantes que même le roi de France – s’il était en place – ne pourrait empêcher que se déclenche un tel scénario. Par contre, il serait beaucoup plus en mesure de reconstruire l’unité du pays, car un roi s’appuie sur une spiritualité – le christianisme – seule à même de combattre l’idéologie islamiste. Et ce n’est qu’en reconstruisant l’unité des Français, en faisant appel au patriotisme, que la France sera sauvée.
LE SORT DES ELEVEURS DE PORC...
« L’heure est extrêmement grave », a déclaré jeudi le président de l’Union des groupements de producteurs de viande en Bretagne, Michel Bloc’h. « Il faut que le premier ministre nous entende physiquement (…) ». Sans exclure des actions locales, le président de la FNSEA, Xavier Beulin, s’est néanmoins refusé à lancer un appel national à la mobilisation.
Jeudi soir, environ 150 éleveurs ont lâché symboliquement une truie devant la sous-préfecture de Morlaix (Finistère) puis bloqué la RN12 à quatre voies reliant Brest à Rennes. Un autre groupe, d’une centaine d’agriculteurs, a procédé à un barrage filtrant à Plounévez-Moëdec (Côtes-d’Armor), à une vingtaine de kilomètres de Guingamp.
Les industriels estiment trop cher le prix actuel du porc (revalorisé à 1,40 euro le kilo). Ils soutiennent que les Allemands en ont profité pour abaisser leur prix. Le différentiel atteint aujourd’hui 0,28 euro. Trop selon la Cooperl et Bigard, qui estiment ne plus être compétitifs à l’export et vis-à-vis de leurs clients salaisonniers tentés d’acheter des cochons espagnols ou allemands pour réduire les coûts. (Journal Le Monde du 14 août)
Il faut choisir : la mondialisation ou la protection des éleveurs
La situation que vivent les éleveurs de porc est la même que celle que vivent tous les éleveurs français et aussi, plus généralement, celle de tous les agriculteurs, menacés de disparaître au nom d’une logique purement économique. Il y a deux suicides de paysan chaque jour : voilà où nous en sommes.
Soyons clairs : si on dit à un consommateur : « préfères-tu acheter moins cher et être responsable de la mort de plusieurs agriculteurs, ou acceptes-tu de payer tes produits alimentaires plus cher et éviter ainsi plusieurs suicides ? », il ne peut y avoir que deux réponses : 1) je choisis la loi du plus fort, et tant pis pour ceux qui crèvent ; 2) je pense que seule une loi d’amour peut permettre de vivre harmonieusement en société, et je dois par conséquent accepter de payer un prix plus élevé. C’est exactement ce que dit le Christ : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16,13).
Il faut choisir entre Dieu et l’Argent
La mondialisation, c’est la logique de l’argent. Certains diront : « je ne veux pas que des agriculteurs meurent, mais je n’arrive pas à vivre avec le salaire qu’on me donne ». Pourtant, dans les années 50, les agriculteurs ne se suicidaient pas et les Français arrivaient à vivre. Alors que les revenus étaient plus faibles.
Ce que refuse le dieu-argent, c’est de hiérarchiser les besoins. Louis de Bonald disait : « L'Etat fera peu pour les plaisirs des hommes, assez pour leurs besoins, tout pour leurs vertus ». Bâtir une économie au service de l’homme, c’est faire en sorte que tous les citoyens d’un pays aient de quoi vivre. Par exemple, il est inadmissible que, dans un pays riche comme le nôtre, il y ait cent mille personnes « sans domicile fixe ». Ensuite, on voit ce qu’on peut exporter, et importer en échange. C’est ce qu’on appelle le protectionnisme.
Mais que faire aujourd’hui ?
Ce n’est pas par les élections qu’on arrivera à changer la situation : ceux qui nous dirigent sont à l’étranger, et le président de la république et les ministres ne sont que leurs valets. On l’a bien vu lors du référendum constitutionnel en 2005 : 55% des Français étaient contre, et on nous a tout de même imposé le traité de Lisbonne.
Le pouvoir, il faut le prendre en établissant un rapport de forces, comme tentent de le faire les paysans. La grande distribution, c’est elle qui tue à petit feu notre agriculture et notre petite industrie. Nous devons en chasser les actionnaires et y prendre le pouvoir.
sECURITE OU ESPACE SCHENGEN ?
Comme le raconte le Figaro du 22 août, « Un bain de sang a été évité par miracle dans le Thalys 9364 transportant vendredi après-midi 554 voyageurs entre Amsterdam et Paris. Seul un incroyable concours de circonstance a permis à deux militaires américains de neutraliser un terroriste présumé avant que ce dernier ne sème la mort parmi les passagers ».
Et le Figaro précise « Seul l'Eurostar fait figure d'exception. Gare du Nord, la sortie de l'espace Schengen s'effectue selon les règles de sécurité aéroportuaires : douanes, contrôle des bagages à rayon X et portiques de sécurité ».
Nous y voilà : l'accord de Schengen du 14 juin 1985 permet « une libre circulation de tous dans les territoires de 26 États. L'espace Schengen fonctionne comme un espace unique en matière de voyages internationaux et de contrôles frontaliers pour les voyages sans contrôle des frontières internes. Il englobe actuellement plus de 400 millions d'habitants sur une superficie de 4 312 099 km2 » (Wikipédia).
La contrepartie, en termes de sécurité, devrait être l’existence d’une surveillance renforcée aux frontières de ce vaste espace. Nous savons qu’il n’en est rien et que l’espace Schengen est une vraie passoire. Il suffit de voir à quelle vitesse l’Europe est envahie par des hordes de migrants.
Or la France, faisant partie de l’OTAN, est considérée par l’Etat Islamique et autres islamistes comme un ennemi. Les attentats terroristes vont donc continuer. De plus, la logique terroriste elle-même veut que, pour être efficace, les attentats doivent être de plus en plus nombreux et spectaculaires. Cela risque donc d’aller en s’amplifiant.
D’un point de vue purement technique, il est clair que la surveillance du territoire français serait beaucoup plus efficace si elle avait pour objectif de supprimer toute circulation d’armes en France. Il faudrait pour cela : 1) contrôler nos propres frontières, ce qui veut dire sortir de l’espace Schengen et donc de l’Union Européenne ; 2) mener des opérations armées radicales, comme l’armée française le fit naguère lors de la bataille d’Alger, pour détruire tous les stocks d’armes existant dans les 150 ou 200 « zones de non-droit ».
Déjà de telles mesures sont inenvisageables en régime républicain, car les responsabilités sont trop diffuses. Mais toutes ces mesures, même si elles étaient appliquées, ne suffiraient pas quand on nous annonce officiellement qu’il y a 5000 terroristes en puissance qui circulent librement en France. C’est un vaste combat idéologique qu’il faudrait mener en complément. Face à l’islam, seul le christianisme dispose des argumentaires permettant de contrer le discours islamiste.
Seul un roi serait en mesure de déclencher une vaste campagne d’évangélisation des Français qui permettrait de répondre à la hauteur de la menace islamiste. Bien sûr, cela ne se ferait pas en un jour. Il a fallu plus d’un millénaire pour que la France devienne chrétienne. En deux cents ans, depuis la révolution française, beaucoup a été détruit, mais il reste un fond chrétien sur lequel s’appuyer. Il manque la volonté politique.
Agissons pour le retour du roi
lA SUBMERSION MIGRATOIRE DE L'EUROPE EST-ELLE UNE DECLARATION DE GUERRE ?
C’est ce qu’affirme Aristide Leucate dans le Boulevard Voltaire du 12 septembre : « Sous nos yeux sidérés s’accomplit, en contrepoint, un phénomène d’une singulière gravité. Depuis des semaines, par bateaux entiers, sans y avoir été invitées, des cohortes d’étrangers d’Asie, du Moyen-Orient ou d’Afrique accostent sur nos rives, s’échouent sur nos îles, investissent nos ports et nos gares. (…) Nous sommes en guerre et il est significatif qu’un pays comme le Danemark – hier, la Hongrie avec son mur et, demain, la Macédoine – ait adopté des mesures qui s’apparentent à des blocus, voire à des endiguements défensifs. Copenhague a ainsi décidé, ce mercredi, de suspendre ses liaisons ferroviaires avec l’Allemagne. Le refoulement systématique des hordes immigrées revient à repousser l’ennemi hors des frontières, jusqu’à prévenir leurs pays d’accueil, par voie de pages publicitaires achetées dans les journaux en langue arabe, que le Danemark subordonne leur entrée et leur séjour à une connaissance obligatoire du danois, soit – compte tenu de l’incommensurable difficulté linguistique – un minimum d’allégeance. Soulignons que l’Autriche fait de même en fermant sa frontière avec la Hongrie ».
Le problème, c’est que maint lecteur d’Aristide Leucate ne sera pas convaincu, alors qu’il a tout à fait raison. Ce n’est pas parce que la Hongrie, le Danemark et la Macédoine repoussent les « hordes immigrées » hors frontière que nous pouvons nous considérer en guerre. Il faut pousser le raisonnement plus loin.
Il faut tout simplement le scénario qui a si bien marché – pour le camp mondialiste – en Syrie d’abord, en Ukraine ensuite. Dans l’un et l’autre cas, des mercenaires ont été envoyés et ont déclenché la lutte armée, directement en Syrie, comme si des manifestations pacifiques puissent, d’un seul coup, se transformer en insurrection militaire ; indirectement en Ukraine, ou ce sont des snippers qui ont tiré sur la foule à partir des toits en faisant croire que ce sont des nationalistes. Nous savons qu’il s’agit là, en fait, d’une stratégie longuement préparée destinée à anéantir la Russie, ou tout au moins à en chasser Poutine. Ainsi, dans le cas de la Syrie, on fait semblant d’attaquer l’Etat Islamiste, mais en se gardant bien de le faire tomber et, dans le cas de l’Ukraine, on entretient la guerre civile sans chercher véritablement à réconcilier les deux camps.
Il s’agit bien d’une guerre sur deux fronts
Maintenant le camp mondialiste, non content d’avoir déjà soumis politiquement les gouvernements européens à son pouvoir, puisqu’ils ne font qu’appliquer ce que veut le tandem USA-Israël, veut détruire les Etats européens, puisque c’est son objectif final : abolir tous les Etats et établir un gouvernement mondial. La meilleure façon n’est-elle pas de provoquer partout la guerre civile ? Certes, les populations européennes sont pacifistes mais, comme nous venons de le rappeler, la guerre civile peut très bien être importée de l’extérieur. D’ailleurs – certains journalistes l’ont déjà évoqué – qui nous dit qu’il n’y a pas, parmi tous ces migrants, des terroristes déguisés en réfugiés ?
C’est donc un troisième front de guerre qui est en préparation
Que pouvons-nous faire face à cette menace ? Tout d’abord faire pression sur nos politiciens pour qu’ils refoulent ces populations en Arabie Saoudite et au Qatar, pays qui financent la guerre au Moyen-Orient. Ensuite mener une vaste propagande auprès de tous ces Français qui, par charité, n’ont qu’une seule idée en tête : accueillir le pauvre immigré.
Enfin – et c’est notre proposition politique - il faut créer partout des comités d’action antimondialistes, à l’instar du Conseil National de la Résistance pendant la deuxième guerre mondiale, qui regrouperont toutes les personnes d’accord sur trois mots d’ordre :
Sortie de la France de l’Union Européenne
Sortie de la France de l’OTAN
Sortie de la France de l’euro
HYPOCRISIE !
Une intellectuelle américaine, Ayn Rand, très en vogue aux Etats-Unis, a fait la remarque suivante : « l’altruisme qui consiste à s’appuyer sur l’Etat est une forme d’égoïsme ». C’est exactement ce que nous vivons en France : plutôt que de remonter à la cause des immigrations massives que vit l’Europe depuis déjà plusieurs années – les vagues actuelles n’étant qu’un pic dans un flot continu, particulièrement depuis que la France, aidée par le Royaume Uni, a décidé de faire tomber Kadhafi – nous préférons fermer les yeux et dépenser des milliards d’euros pour accueillir ses pauvres immigrés.
La cause profonde de ces immigrations massives se trouve dans la politique mondialiste de l’axe Londres-Washington-Tel Aviv, qui est la politique du chaos. En effet, ce sont bien les Etats-Unis, avec l’accord du Royaume Uni et d’Israël, qui ont décidé d’envahir l’Irak sous le prétexte de l’existence d’armes de destruction massive, lesquelles n’ont jamais été trouvées. Ce sont aussi les Etats-Unis qui ont demandé à la France et au Royaume Uni d’attaquer la Libye avec l’objectif non avoué d’éliminer Kadhafi. Ce sont encore les Etats-Unis qui, avec l’aide de l’Arabie Saoudite et du Qatar notamment, ont envoyé des mercenaires en Syrie et procuré des armes à ceux qui, depuis, ont créé l’Etat Islamique.
Nous sommes donc en présence d’une guerre entre deux camps : la triade UK-USA-Israël, avec la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar comme alliés d’une part, la Syrie de Bachar El Assad soutenue par la Russie et l’Iran d’autre part. Bismarck disait : « Dans une relation à trois, il faut être l’un des deux ». Il est clair que l’Irak, puis la Libye puis la Syrie sont des pays agressés. Le bien commun exige que la France prenne position pour l’agressé contre l’agresseur. D’ailleurs, la France est, elle aussi, indirectement, agressée puisque nous en subissons les conséquences sous la forme d’un déferlement de migrants.
C’est une hypocrisie de la part de nos hommes politiques de faire croire que la France subit cette vague déferlante, alors que, par derrière, ils soutiennent cette politique d’agression.
Défendons les pays agressés !
QUE PENSER DU SYSTEME ELECTORAL ?
Il y a un an – ce qui n’est pas très éloigné quand on s’intéresse à l’opinion des Français – le journal Valeurs Actuelles publiait dans son n° 4026 les résultats d’un sondage effectué par l’institut Opinionway et le Centre de Recherche Politique de Sciences Po, intitulé "Baromètre de la confiance politique".
Les résultats sont étonnants. En voici les principaux :
- 75% des Français ne font plus confiance à l’Etat, ni à la république.
- 88% rejettent catégoriquement les partis politiques.
- 50% ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays "un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections". Traduction en clair : un roi ou un dictateur, ou du moins un pouvoir personnel fort.
- 12% souhaitent même que l’armée dirige le pays !!
Et pendant ce temps, les hommes et les femmes qui se sont engagé(e)s dans le combat politique, que ce soit directement en postulant pour être député, conseiller départemental ou régional, ou indirectement en participant à un mouvement ciblé sur un objectif précis, comme par exemple La Manif Pour Tous, continuent à croire qu’un changement est possible par la voie électorale.
Il y a là un paradoxe étonnant : les gens qu’on pourrait penser les plus « politisés » défendent un système auquel la majorité des Français ne croie plus !
Beaucoup de Français qui se reconnaissent dans ces résultats fonctionnent probablement « à l’intuition ». Mais d’autres ont pris le temps de réfléchir et sont arrivés aux mêmes conclusions que nous :
Le système électoral est conçu pour que le pouvoir ne change pas de main
Il y a deux cents ans, c’est-à-dire lors de la révolution française, le roi a été chassé du pouvoir officiellement pour instaurer la souveraineté du peuple, en fait pour que certaines dynasties financières dirigent le pays à leur profit. Il n’y a jamais eu de démocratie, contrairement aux apparences. Le système électoral a été mis en place pour donner l’illusion de la démocratie mais, en fait, pour maintenir au pouvoir ceux qui y sont installés.
Prenons l’exemple du référendum constitutionnel de 2005 : 55% des Français ont voté contre, et pourtant la France a adopté le traité de Lisbonne un an après, grâce aux manipulations de Nicolas Sarkozy. Autre exemple : sept présidents des Etats-Unis, dont Lincoln et Kennedy, ont été assassinés pour avoir voulu développer une politique monétaire opposée à celle que voulait le cartel des grandes banques internationales.
Bien entendu, les révolutionnaires ont voulu sceller « dans le marbre » la pseudo sincérité de leur démarche. C’est ainsi qu’ils ont écrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 (article 35) : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
De son côté, Saint Thomas d’Aquin écrit qu’ « on n’est tenu d’obéir (…) que dans la mesure requise par un ordre fondé sur la justice ». Cela signifie, comme le précise le Compendium de la doctrine sociale de l’Eglise (§400), que « reconnaître que le droit naturel fonde et limite le droit positif signifie admettre qu’il est légitime de résister à l’autorité dans le cas où celle-ci viole gravement et de façon répétée les principes du droit naturel ».
C’est ce qu’ont fait les Polonais quand ils sont descendus dans la rue à répétition, ce qui a contribué à la chute du communisme. C’est aussi ce que vivent aujourd’hui les Français. C’est pourquoi la seule façon de changer la situation en France est de descendre pacifiquement dans la rue jusqu’à obtenir satisfaction. Car il ne faut rien attendre des élections.
Les élections sont un leurre
Ne comptons que sur nos propres forces
HARO SUR LES GAZ A EFFET DE SERRE !
De la droite à la gauche, tous les partis politiques, y compris « Europe Ecologie Les Verts », se joignent au concert officiel impulsé par les Etats-Unis condamnant les « gaz à effet de serre ». Et ce sera d’ailleurs le sujet central des débats prévus lors de la COP21, la 21ème conférence internationale portant sur les changements climatiques, qui doit se tenir en décembre prochain à Paris. Les Verts tirent le signal d’alarme : « 80% des énergies fossiles doivent rester sous terre si l’on veut éviter l’emballement climatique », lit-on sur le site officiel. Qu’en est-il exactement ?
Vingt conférences, en attendant la vingt-et-unième, pour quel enjeu ? Faire pression sur la Chine, notamment, pour que celle-ci réduise l’immense pollution créée par son développement industriel. Et l’argument écologique, de même que, à d’autres moments, l’accusation de non respect des Droits de l’Homme, permettent aux Etats-Unis de se poser une fois de plus en donneur de leçons et, en même temps, de freiner la croissance économique d’un dangereux concurrent.
Une vaste machination pseudo-scientifique
A la suite des récentes inondations sur la Côte d’Azur, les media se sont déchaînés pour nous dire que le soi disant réchauffement climatique avait provoqué des changements dans la température de l’eau de la Méditerranée… ce qui explique les inondations. Or, nous dit le journal Rivarol du 8 octobre, « La température de surface au large des côtes françaises, le 3 octobre 2015, allait de 18 à 21° entre les frontières espagnole et italienne. Un an plus tôt elle oscillait entre 21 et 23 dans la même zone, entre 19 et 22 en 2012, entre 17 et 20 en 2010 et entre 19 et 22 en 2006. A part un très léger rafraichissement en 2010, elle demeure stable ».
Pourtant, nous dira-t-on, un organisme scientifique, le GIEC, publie depuis des années de nombreuses études qui confirment la thèse d’une responsabilité humaine dans le réchauffement climatique. Mais « quand un scientifique Australien, Warwick Hughes, connu pour être un "sceptique", demanda en 2005 à Phil Jones, patron du Hadley Center, de lui fournir ces données. Jones lui répondit que ces données représentaient 25 années de travail (soit), et, c'est là que cela devient savoureux, "il ne voyait pas pourquoi il communiquerait ses données brutes à quelqu'un qui chercherait à les exploiter pour trouver des erreurs dans leur traitement". Bel esprit scientifique, s'il en est, que celui d'un homme qui refuse qu'on puisse vérifier si les méthodes qu'il a employées pour débruiter un signal sont valides ». (http://www.objectifliberte.fr/2009/10/rechauffement-climatique-quand-le-giec-recourt-a-la-fraude.html). Le GIEC a toujours refusé de fournir les données qui, soi disant, prouvaient la justesse de ses analyses. Bizarre !
Une seule conclusion s’impose : tous les partis politiques nous mentent
C’est d’ailleurs ce que nombre de Français ont compris depuis longtemps, comme le montre un sondage auquel nous avons déjà fait référence, selon lequel 75% des Français ne font plus confiance à l’Etat, ni à la république ; 88% d’entre eux rejettent catégoriquement les partis politiques ; et 50% d’entre eux ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du parlement ni des élections » (Valeurs Actuelles, janvier 2014).
L’heure est venu de rejeter le régime républicain qui n’est rien d’autre qu’une ploutocratie s’appuyant sur des politiciens dont pas un seul ne se dit responsable, et de rétablir le roi de France sur son trône, Louis XX, qui se déclare prêt à gouverner dès qu’on l’appelle.
Seulement, il faut bien comprendre que ce ne sont pas des élections ou un référendum qui ouvrirait la voie à un nouveau régime. Les hommes au pouvoir – ceux que l’on voit et ceux qui sont dans l’ombre – feront tout pour qu’aucun changement ne soit possible. Ils ont, entre autres moyens, la plupart des media à leur disposition pour diffuser les messages qui leur sont favorables.
C’est donc une mobilisation des Français sur tous les sujets qui les préoccupent qui pourra changer les choses. En descendant dans la rue, comme l’ont fait à l’époque les Polonais pour faire chuter le communisme. Et nous subissons une tyrannie qui n’est pas moins oppressive que ne l’était le régime communiste en URSS et dans les pays de l’Est.
CHANGEONS DE REGIME, RETABLISSONS LA ROYAUTE
LA FRANCE PARALYSEE OU LA GUERRE ?
Le haut commandement de l’Etat Islamique déclare[1] : « Nous allons conquérir l’Europe un jour. La question n’est pas de savoir si nous allons le faire, mais quand. Pour nous, c’est l’évidence. (…) Notre expansion sera perpétuelle et les Européens doivent savoir que quand nous viendrons, ce ne sera pas joli. Ce sera avec nos armes. Et ceux qui ne se convertissent pas à l’Islam ou qui ne paient pas la taxe islamique seront tués ».
Le dirigeant Al-Baghdadi de l’Etat Islamique s’est autoproclamé « grand calife ». Or la tradition musulmane veut que tous les musulmans lui soient soumis. Il a donc une vision planétaire et nombre de groupes musulmans terroristes, notamment en Libye et Boko Haram en Afrique subsaharienne, lui font allégeance.
Hormis la guerre qui fait fuir les populations, l’accentuation de la crise économique mondiale – qui n’est pas prête de s’arrêter car l’économie chinoise ralentit ses importations et développe son marché interne – va conduire toujours plus de ressortissants des régions pauvres du globe à migrer vers l’Europe.
Tout le monde sait – même si nos dirigeants font semblant de l’ignorer – que des terroristes se cachent parmi ces migrants. Ils sont déjà plus de 3000 rien qu’en France, à attendre le moment favorable pour déclencher un attentat. Arrêtons de croire qu’ils vont tuer cinquante personnes par ci, cinquante personnes par là. Ils iront au-delà.
Les islamistes veulent véritablement déstabiliser la France
Or il est relativement facile de déstabiliser la France, ou tout autre pays occidental. Notre organisation économique est en effet un outil très sophistiqué : « énergie, transports, alimentation, information : tout est relié à tout… Le blocage d’un seul circuit en grippe beaucoup d’autres[2] ». Avec quelques explosifs bien placés, la France peut se trouver sans électricité pendant six mois ou davantage ! Et on ne peut pas placer des policiers ou des militaires à tous les coins de rue.
Nous avons affaire à une véritable déclaration de guerre
Autrefois, on réglait cette question très simplement : en faisant la guerre à l’envahisseur. C’est la seule solution. La France – en espérant que d’autres Etats européens suivront – doit envoyer son armée pour soutenir Bachar El Assad et la Russie dans le but d’anéantir l’Etat Islamique.
Pourquoi ne le fait-elle pas ? Parce qu’elle se soumet à la politique extérieure du tandem USA-Israël qui pratique la politique du chaos et est bien content que l’Europe soit affaiblie.
L’heure du choix
Que se passerait-il si la France se retrouvait sans électricité pendant des mois ? La violence incontrôlée s’installerait immédiatement : pillages, meurtres, etc. L’anarchie complète ou la guerre civile. Le désastre dans tous les cas. Envoyer son armée pour se battre contre l’Etat Islamique est certainement la meilleure solution, et la plus économe en vies humaines, paradoxalement.
Mais il faut un certain courage politique que nos dirigeants de droite comme de gauche, y compris au Front National, n’ont pas. La seule solution est le renversement de la république.
Vive le roi Louis XX
[1] Laurent Artur du Plessis : « Le Djihad à la conquête du monde » (Ed. Jean-Cyrille Godefroy, 2015)
[2] idem
dE LA DESINFORMATION A LA MANIPULATION DES ESPRITS
Nous sommes contre la démocratie. Car c’est au nom de la démocratie que l’on asservit les peuples. En leur donnant l’illusion qu’ils sont libres. Il y a en effet au moins trois raisons pour souhaiter un régime politique autre que la démocratie.
La première raison est que la soi-disant démocratie qu’on nous propose en nous faisant périodiquement voter n’est rien d’autre qu’une ploutocratie. En effet – une étude récente l’a démontré – il suffit de connaître le montant du budget de campagne de chacun des candidats à la présidentielle pour savoir qui sera élu : celui dont le budget est le plus élevé.
La deuxième raison tient à la puissance des media. Ils sont, pour la plupart, entre les mains de groupes financiers puissants. Ainsi le Groupe LAGARDERE possède Europe 1, Le Monde, Paris-Match, Marie-Claire, soit en tout 20 magazines et 8 chaînes TV. Le Groupe Dassault possède l’Express et le Figaro. Le Groupe Rothschild possède Groupe Rothschild, le Groupe Bouygues TF1, le Groupe LVMH Radio Classique, le Groupe Bolloré le journal gratuit Direct Matin. Le Groupe PPR possède Le Point et le Groupe Bayard possède La Croix. Il est clair qu’un journaliste qui dérogerait au « politiquement correct » se ferait immédiatement licencier.
Généralement ces groupes ne censurent pas l’information, préférant mentir par omission. Ainsi, il y a deux ans, une manifestation en faveur de l’interdiction de l’avortement a réuni à New-York un million de personnes. Les media français n’en ont tout simplement pas parlé. De même, Nicolas Sarkozy fit un voyage aux Etats-Unis lors de sa campagne présidentielle de 2007. Le journal télévisé le montra en train de faire un discours devant un pupitre, comme c’est l’habitude dans ce pays. Jusque là, rien d’anormal. Seulement, un œil averti pouvait s’apercevoir que l’étiquette figurant sur le pupitre mentionnait le CFR (Council for Foreign Relations), la société de pensée mondialiste la plus puissante. Donc le futur président n’avait pas fait le voyage pour montrer pate blanche à un représentant de l’Etat américain, mais à un groupe de pression notoire.
La troisième raison pour laquelle nous sommes contre les régimes démocratiques est qu’ils laissent s’établir une véritable manipulation des esprits sur le plan culturel, en particulier par le canal du cinéma. Il faut savoir que, au début du vingtième siècle, jusqu’en 1914 plus précisément, « le cinéma français dominait les marchés mondiaux[1], occupant près de 85% des écrans de la planète, grâce à deux géants, Pathé et Gaumont ».
Les Etats-Unis, soucieux de la défense de leurs intérêts, comprirent tout le bénéfice à long terme qu’ils pourraient tirer d’une main mise sur ce moyen de communication. Ils entreprirent plusieurs négociations de manière à établir leur domination. C’est le socialiste Blum qui, en 1946, donna le coup fatal en signant les accords Blum-Byrnes, qui assuraient l’exclusivité du cinéma français… sur un tiers des diffusions. C’est ainsi qu’aujourd’hui, toute notre jeunesse est inondée de films américains, et se retrouve, sans s’en rendre compte, formatée dans le sens de la culture et du mode de vie américains.
Ainsi la démocratie qu’on nous vante n’est rien d’autre qu’un système de manipulation des esprits
La grosse différence entre la république et la monarchie, c’est qu’un homme politique républicain – on en a vu l’exemple avec Blum – peut prendre une décision qui engage le pays dans une voie qui aura des conséquences bien après la fin de son mandat, ce qui le dédouane de toute responsabilité. Tandis qu’un monarque sait très bien qu’il sera encore là vingt ou trente ans après, et que, s’il décède, son fils ou petit-fils héritera d’une situation qui pourrait nuire à la France. C’est pourquoi il fera tout pour préserver l’intérêt de son pays non seulement à court terme, mais aussi sur le long terme.
Cependant, le raisonnement n’est pas complet. En effet, les mondialistes eux-mêmes – nous parlons des dirigeants – rejettent la démocratie qu’ils considèrent comme non productive. Nous en avons eu un aperçu en France quand Nicolas Sarkozy s’est fait le champion d’une manière de contourner le vote négatif à l’occasion du référendum de 2005 sur le projet de traité constitutionnel. Sous prétexte de présenter un projet simplifié, il a fait adopter par l’Assemblée Nationale – on se méfie du vote populaire – le traité de Lisbonne, qui est une copie conforme du précédent traité constitutionnel.
Il ne faut donc pas tomber dans le piège d’une critique de la démocratie qui ne présenterait pas clairement un projet alternatif. Celui des mondialistes est bien connu : c’est le « Big Brother » mis à la sauce du XXIème siècle, en d’autres termes un gouvernement mondial centralisé qui n’est rien d’autre qu’une forme sophistiquée de ploutocratie.
Les royalistes ont un tout autre projet, basé sur le principe de subsidiarité et les corps intermédiaires. Le principe de subsidiarité indique qu’une décision doit être prise au niveau le plus bas où se trouve la compétence. Or les pouvoirs régaliens – la justice, le pouvoir de battre monnaie, la défense et la police –sont des domaines qui nécessitent une haute compétence et c’est pourquoi il font partie des domaines réservés du pouvoir royal.
Quant aux corps intermédiaires, ce sont eux qui doivent être les acteurs de la vie démocratique : les branches économiques, les familles, les métiers, etc. C’est ce qu’on appelle la « démocratie organique ». De plus, il faut avoir présent à l’esprit qu’il y a, dans un pays, trois pouvoirs. Ce ne sont pas ceux qu’avait identifiés Montesquieu. Ce sont en effet le sacré, le sabre et l’or. Et l’on sait par expérience que, si l’on enlève le sacré, c’est le sabre qui domine l’or, autrement dit un pouvoir totalitaire contrôlant le pouvoir financier.
Le maintien du sacré consiste à reconnaître le principe de la souveraineté de Dieu, qui caractérise la monarchie, par opposition à la souveraineté du peuple, qui caractérise la république.
Abolissons la république
Etablissons Louis XX sur son trône
[1] Martin Peltier, « 20 bonnes raisons d’être anti-américain », DIE juin 2015
lETTRE OUVERTE AUX PARTISANS D'UNE MORALE FLEXIBLE
L’auteur de ces lignes a eu récemment l’occasion d’intervenir dans un débat sur la pauvreté qui mettait en relief le fait que les personnes les plus exposées sont les familles monoparentales et les jeunes. Il lui est venu à l’esprit de faire remarquer que l’immoralité de la société française aujourd’hui, conséquence des attaques multiples contre la famille, est donc une des causes de la pauvreté. En effet, les conjoints séparés se retrouvent à payer chacun un loyer au lieu de partager les frais à deux. Et d’autres dépenses également. Et il en va de même pour les jeunes, dont certains ne seraient pas SDF s’ils avaient une famille « normale » prête à les accueillir.
L’auteur de ces lignes, donc, s’est vu opposer une forte indignation des participants à la conférence, pourtant composée de gens cultivés, sur l’argument que « chacun est libre de choisir le mode de vie qui lui convient, et la politique n’a rien à y dire ». Et d’ajouter que « la république est fondée sur un principe de laïcité, et n’a donc rien à faire de la religion ».
Voilà un exemple frappant du relativisme dans lequel sont tombées nos sociétés occidentales. Si vous leur dites qu’ils n’ont pas de morale, ils vont se fâcher car tout un chacun prétend avoir une morale pour conduire sa vie. Le problème est que cette morale est toute personnelle, chacun se réservant le droit de juger ce qui est bon et pas bon. C’est le subjectivisme qui règne en maître, et non des principes universels valables pour toute société et pour tous les temps.
On trouve un exemple typique des conséquences de cette division du peuple outre atlantique. En 2014, Obama a souverainement régularisé cinq millions d’immigrés clandestins, « contre la majorité des deux chambres et la volonté populaire[1] ». Or ni le Congrès ni le Sénat ne l’en ont empêché, alors qu’ils en avaient les moyens. Pourquoi ? Parce que les députés et les sénateurs sont divisés sur cette question, alors que, comme en Europe, une immigration massive est une menace contre la civilisation occidentale.
Jésus disait : « Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine » (Matt 12, 25). Voilà le vrai danger. Poutine l’a bien compris, et c’est pourquoi l’Etat russe soutient l’Eglise orthodoxe, ferment de l’unité du peuple russe. Mais revenons sur l’attaque contre la religion, alors que la remarque portait sur la morale. Etait-elle appropriée ? En raisonnement pur – et c’est ce que l’auteur de ces lignes a répondu – il ne faut pas confondre morale et religion. Mais, en même temps, nous savons bien que la république est incapable de concevoir une morale qui ne prenne pas sa source dans le christianisme. C’est bien pourquoi les cours de morale, qui se pratiquaient à l’école primaire dans les années 50, ont été abandonnés. Les républicains qui parlent des valeurs de la république ne savent rien dire d’autre que « liberté, égalité, fraternité », devise oh combien équivoque.
Pas de morale sans politique
Pas de politique sans religion
Pas de religion sans Dieu
Voilà pourquoi la monarchie est le régime politique le plus cohérent, car il unit en un même objectif le souci de permettre aux hommes de vivre en harmonie et le besoin de l’homme d’une dimension transcendante.
[1] Martin Peltier, « 20 bonnes raisons d’être anti-américain », DIE 2015
pOURQUOI AUTANT DE MIGRANTS ?
La ville de Calais est envahie par plus de deux mille migrants. Les autorités françaises et anglaises sont complètement débordées et des manifestations d’hostilité se développent de part et d’autres de la Manche, en même temps que d’autres manifestations se produisent en faveur des migrants, pour qu’on les accueille dignement.
Mais ce phénomène n’est pas limité à une ville : il couvre toute la France, divisée entre ceux, de plus en plus nombreux, qui réalisent qu’ils se sentent de moins en moins chez eux, et ceux qui, au nom d’un vague humanisme encouragé par les partis politiques au pouvoir, veulent secourir ces « pauvres immigrés ».
Les effets sont clairs : déjà dix à douze millions de musulmans en France, soit près d’un cinquième de la population française. Au rythme des naissances, et si l’on y ajoute la volonté délibérée des islamistes de prendre le pouvoir et d’instaurer la charia en France, en rasant toutes les églises et toute trace du christianisme, les Français sont véritablement menacés de marginalisation.
Le « grand remplacement » est en marche
« A qui profite le crime ? ». Nous devons nous poser cette question. Qui peut souhaiter la disparition de la France, en tant qu’Etat de culture chrétienne, avec un passé de grande puissance ? La triade Angleterre-Etats Unis – Israël, dont les dirigeants sont eux-mêmes manipulés par la franc-maçonnerie, cette secte satanique qui a pour projet d’instaurer à son profit un gouvernement mondial.
Le mécanisme est le suivant : avec les énormes pouvoirs financiers dont elle dispose, la triade finance des guerres dans toute l’Afrique et au Moyen-Orient. C’est, au premier degré, la stratégie du chaos et, au second degré, l’instauration progressive du chaos en Europe. L’exemple le plus récent est la chute du pouvoir de Kadhafi en Libye, provoquée, manu militari, par la France et la Grande-Bretagne, alors que ce dirigeant faisait la police – financée par les Etats européens – pour empêcher justement cette immigration massive qui se développe depuis sa chute.
Quelle solution ?
Il faut créer partout des comités d’action antimondialistes, avec une plate-forme en trois points :
Sortie de la France de l’OTAN
Sortie de la France de l’euro
Sortie de la France de l’Union Européenne
Outre la propagande antimondialiste qu’auront à mener ces comités d’action, ils devront mobiliser les forces vives du pays pour créer les bases d’une autonomie économique au niveau des besoins élémentaires : l’alimentation, l’énergie, une petite industrie. Il faut en effet s’attendre à des sanctions comme la triade Angleterre-Etats Unis – Israël en a instaurées en Irak et en Iran notamment.
Mais en plus des sanctions à venir, le pouvoir mondialiste utilise en France même une « cinquième colonne » : les islamistes. Tout se passe comme si c’était notre seul ennemi, alors que ces islamistes sont eux-mêmes manipulés, sans le savoir, par la triade. Les comités d’action antimondialistes devront donc s’opposer à toutes les formes de subversion qu’organisent les islamistes. Il s’agit en particulier des revendications pour une nourriture hallal dans les cantines scolaires, la séparation des sexes dans les piscines, le refus de toute auscultation des femmes musulmanes par un médecin de sexe masculin dans les hôpitaux, le développement de zones de non droit, etc.
Bien sûr, sur le fond, il faut non seulement inverser les flux migratoires, mais mettre en œuvre une politique de développement de la Francophonie. Mais cela ne pourra se faire qu’avec le retour du roi. En attendant et pour le préparer,
Créons partout des comités d’action antimondialistes
hOLLANDE FAIT SEMBLANT
François Hollande fait adopter en Congrès des mesures censées protéger la France contre l’agression de l’Etat Islamique. Mais ce ne sont que des demi-mesures, tant sur le plan intérieur qu’au niveau international.
Sur le plan intérieur, il refuse de fermer efficacement les frontières car, dit-il, « il est vital que l’Europe accueille dans la dignité ceux qui relèvent du droit d’asile ». Il a prévenu : « le retour aux frontières nationales serait la déconstruction de l'Union européenne » (Huffington Post, 16.11).
Entre la défense des intérêts de la France et l’idéologie, il choisit l’idéologie
D’ailleurs, fermer les frontières pour nous protéger de l’infiltration de terroristes n’est qu’une étape. Soyons logiques : toutes ces personnes fuient – nous parlons des syriens – un pays en guerre. Le meilleur service que nous pouvons leur rendre est de les aider à revenir dans leur pays. Pour cela, il faut mettre tous les hommes (et les femmes volontaires) à disposition de Bachar El Assad pour qu’il les intègre dans l’armée syrienne et leur fasse prendre part dans la guerre à l’Etat Islamique sur le terrain.
Ceci nous amène à la deuxième question, le niveau international. Tout le monde sait qu’une guerre ne peut être gagnée qu’avec des hommes au sol, et pas seulement dans les airs. De plus – c’est une règle élémentaire du management – pour être efficace, il faut un seul chef. Ce chef ne peut être que Bachar El Assad, puisqu’il faut commencer par la Syrie. C’est d’ailleurs ce que dit Yves Boyer, directeur adjoint de la Fondation pour la recherche stratégique : « Il ne faut pas se tromper d’ennemi. Daesh est la menace fondamentale, un cancer qui ronge et commence à s’étendre (Libye, Mali…), et qu’il faut traiter. ». Et il précise : « il faut être sur le terrain ». Qui y est ? Outre les rebelles et les Kurdes, l’Iran, le Hezbollah, l’armée syrienne, soutenus par les raids aériens russes. « Il est donc logique de s’allier à eux. » (20 minutes du 16.11)
Or ce n’est pas du tout ce qu’annonce François Hollande. Il parle d’une alliance avec la Russie et les Etats-Unis. C’est une alliance contre nature. En effet l’objectif principal des Etats-Unis est de remettre en cause la mainmise de Moscou sur Tartous, ce qui s’oppose évidemment à la politique russe qui veut tout mettre en œuvre pour maintenir Assad au pouvoir et faire du pays une zone tampon précieuse. Donc, derrière une alliance de façade, Les USA chercheront à tout prix à faire tomber Bachar El Assad.
L’OTAN, dont fait partie la France, combat Bachar El Assad
Il en va de même pour la Turquie, qui « pour se faire pardonner son soutien initial aux mouvements de combattants et d'armements du jeune État islamique, mène désormais des raids aériens contre Daesh en Syrie pour rentrer dans le rang otanien. Mieux encore, au cours d'un récent voyage au Qatar, Erdogan serait parvenu à un accord avec les Qataris et les Saoudiens (!) concernant un programme d'armement des rebelles d'al-Nosra soutenus par les Frères musulmans - pourtant ennemis jurés du régime du Caire et du royaume wahhabite - qui luttent contre Daesh (pour des raisons différentes, toutefois). Nous ne sommes plus très loin d'une alliance de circonstance et à fronts renversés entre, d'une part, ces mouvements sunnites rebelles appuyés par les monarchies du Golfe et, de l'autre, le Hezbollah et autres milices chiites ! » (Le Point, 3.09)
Enfin, pour ajouter encore un exemple démontrant que cette pseudo-alliance s’appuie sur du sable, au sommet du G20, qui s’est tenu du 14 au 16 novembre en Turquie, le président russe a souligné que la Russie avait présenté des exemples de financement des terroristes par des personnes physiques venant de 40 pays, y compris des pays-membres du G20. (Huffington Post, 16.11).
L’armée de Bachar El Assad a malheureusement subi les effets de ces financements occultes du Qatar et de l’Arabie Saoudite, puisque ces pays ont livré à l’opposition terroriste interne des missiles portatifs capables de détruire les chars et les hélicoptères fournis par la Russie.
Dans une guerre, il y a deux camps
Aux côtés de Bachar El Assad se trouvent la Russie, les Kurdes, l’Iran et le Hezbollah. Dans le camp opposé se trouvent la Turquie, l’Arabie Saoudite, le Qatar et les Etats-Unis. C’est donc une hypocrisie complète de la part de François Hollande de vouloir s’intégrer dans une alliance comprenant la Russie et les Etats-Unis. Nous comprenons l’objectif politique de la Russie de vouloir mettre tout le monde autour d’une table pour négocier, mais c’est impossible sur le terrain.
Bismarck avait coutume de dire : « dans un jeu à trois, il faut être l’un des deux ». La France doit choisir son camp. L’agresseur de la Syrie est l’Etat Islamique, l’agressé est la Syrie. Ce n’est que justice et solidarité avec les migrants syriens que la France se positionne dans le camp de l’agressé.
Pourquoi ne le fait-elle pas ? Parce qu’elle est inféodée à la triade UK-USA-Israël qui mène le jeu, en alliance avec l’Arabie Saoudite et le Qatar. Pourquoi est-elle ainsi inféodée ? Parce que les républiques, qui ont un pouvoir réparti en de multiples têtes, sont beaucoup plus facilement corruptibles que des régimes, la royauté en l’occurrence, dans lesquelles il n’y a qu’un seul chef. Et Dieu sait si la triade UK-USA-Israël dispose de réserves financières colossales pour corrompre même des Etats.
Seule le retour à la royauté permettra à la France de mener une diplomatie conforme à ses intérêts et au bien commun
Dans l’immédiat, la France doit sortir de l’OTAN
lE DIEU-ARGENT NOUS CONDUIT A LA MORT
Il y a aujourd’hui près de cent gratte-ciels d’une hauteur supérieure à la tour Eiffel. Le record est détenu par le Burj Khalifa de Dubaï, qui avoisine les 600 mètres. Les deux suivants sont à Shanghai et à La Mecque. Ils font l’un et l‘autre plus de 550 mètres de haut. En Chine, la folie de la construction a entraîné l’émergence de villes qui n’ont pas d’habitants ! Et cela ne s’arrête pas, puisque la misère engendrée par le capitalisme sauvage conduit les pauvres des campagnes vers les faubourgs des villes. Tous les sociologues savent que nous sommes, à l’échelle planétaire, dans un mouvement d’urbanisation croissante.
Mais pour construire toutes ces villes, il faut du béton. Et le principal composant du béton, c’est le sable. Toutes ces constructions consomment des milliards de tonnes de sable. Et le sable vient à manquer ! Pour pallier ce manque, on a commencé à draguer le fond des rivières. En Asie, ces rivières faisaient vivre des pécheurs, mais le dragage a fait disparaître les poissons et ce sont autant de paysans qui s’agglutinent dans les villes où ils ne trouvent pas de travail. Mais le dragage des rivières n’a pas suffi, alors d’énormes bateaux ont été construits spécialement pour draguer le fond des mers.
Et c’est là que cela se complique, car cela entraîne la disparition de toute la vie qui se développe au fond des mers. Et, de couche en couche, jusqu’à la surface des mers, les poissons n’ont plus rien à manger. Nous allons donc vers la disparition totale, à brève échéance – sans doute moins de dix ans – de tous les poissons de la planète. Certains journaux spécialisés prévoyaient une crise alimentaire au niveau du globe. Nous en approchons à grande vitesse.
Le dieu-argent conduit tout droit à la famine mondiale
Nous voyons là l’incompatibilité entre la république et la royauté. Seuls des rois, du fait qu’ils sont les « lieutenants de Dieu sur terre », sont en mesure de freiner un développement économique qui méprise la nature, c’est-à-dire la Création de Dieu. Si celle-ci est menacée de destruction, c’est parce que, derrière les pouvoirs politiques, économiques et financiers, il y a une force diabolique qui méprise la Création de Dieu. Voilà pourquoi Jésus disait : « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres : ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l’Argent » (Luc 16, 13).
C’est en cela que toutes les constitutions que se sont données les républiques sont de nature diabolique, car elles ont remplacé la souveraineté de Dieu par la souveraineté du peuple. Et Dieu sait comment il est, malheureusement, facile de manipuler le peuple.
Un roi ne suffirait pas à renverser le mouvement. Il faut une Europe chrétienne, c’est-à-dire un ensemble d’Etats qui se donnent un roi pour les diriger. Une telle Europe pourrait alors constituer une force qui, avec l’aide de Dieu, pourrait imposer aux autres puissances un contrôle de la nature.
Etablissons la royauté dans les Etats européens
cOMMENT L'ON DETRUIT L'INTELLIGENCE EN FRANCE
Au moment où les familles sont préoccupés par la rentrée des classes, il est bon de faire le point sur ce qu’est devenue, en quelques décennies, l’école de la république.
Toutes les matières fondamentales sont touchées. Commençons par le plus évident, bien qu’inconnu de beaucoup ; l’échec scolaire en fin de primaire est patent : 40% des enfants en sortie de primaire ne savent ni lire ni écrire correctement, ni effectuer des calculs élémentaires. Pour rester au niveau de l’apprentissage du français, les quatre années de collège ont perdu 700 heures d’enseignement de notre langue, l’ « analyse grammaticale et logique », autrefois enseignée jusqu’en classe de 3ème, a quasiment disparu. Pas étonnant qu’il soit demandé aux correcteurs du baccalauréat de ne pas tenir compte des fautes d’orthographe dans les notes qu’ils donnent.
Mais la cause première de la non maîtrise de la langue est la méthode globale, encore utilisée dans les trois quarts des écoles primaires. Un ministre, Giles de Robien, est le seul à avoir essayé de la supprimer, mais il y a eu une telle levée de boucliers des syndicats enseignants que son projet a échoué et aucun ministre, depuis, ne s’est lancé dans l’aventure. Il faut savoir que la méthode globale, non seulement empêche de maîtriser l’orthographe mais, en outre, elle déstructure les cerveaux en les empêchant d’acquérir une capacité d’analyse, indispensable dans toutes les matières.
C’est ainsi que l’auteur de ces lignes a rencontré un père de famille qui lui a expliqué que, ayant des jumeaux, sa femme et lui ont décidé de leur faire suivre des cursus scolaires différents. Il se trouve que l’un des deux a appris à lire et à écrire par la méthode alphabétique, et l’autre par la méthode globale. A l’âge de 14 ans, un des deux réussissait bien ses études alors que l’autre allait d’échec en échec. Devinez lequel…
Un enseignement élitiste… réservés aux enfants immigrés
On pourrait croire qu’il s’agit là de simples erreurs politiques. Ce n’est pas du tout le cas. Il s’agit d’un plan concerté, comme l’explique Madame Claude Meunier Berthelot dans son livre « C’est l’identité française que l’on assassine » (Editions des Trianons, 2015). Voici les deux aspects majeurs de ce plan.
1) les établissements de formation des enseignants expliquent à leurs stagiaires qu’un enseignant ne doit pas transmettre des connaissances, mais animer des groupes d’études dans lesquels les élèves feront eux-mêmes leurs découvertes !
2) des écoles élitistes sont mises en place pour les enfants d’immigrés, avec des mécanismes de sélection permettant de repérer les meilleurs, afin que les diplômés de l’enseignement supérieur soient progressivement en majorité des « Français » ayant une culture autre que celle issue de l’histoire millénaire de la France et de l’Europe.
Quelle alternative ?
La seule alternative se trouve aujourd’hui dans les écoles hors contrat, souvent catholiques. Malheureusement, elle ne s’adresse qu’à des parents ayant les moyens financiers d’assurer le surcoût. Ceux-ci sont, de plus, victimes d’une véritable arnaque, puisqu’ils paient deux fois : l’école qu’ils ont choisie pour leurs enfants et l’école républicaine, par le canal de leurs impôts.
Pour que ce soit une solution accessible à tous, il faut mettre en place le « chèque scolaire », un système dans lequel l’Etat donne aux parents un chèque d’un montant proportionnel au nombre d’enfants à scolariser, libre à eux d’inscrire leurs enfants dans l’école de leur choix.
C’était la revendication d’un million de parents qui étaient descendus dans la rue en 1984 pour réclamer « l’école libre ». Malheureusement l’épiscopat catholique a dévoyé le mouvement. Tout est donc à recommencer, en créant un cartel d’organisations d’accord avec le mot d’ordre :
En avant pour l’école libre
eLECTIONS REGIONALES ET IMMIGRATION
Notre propos n’est pas de dresser une analyse comparative de toutes les listes qui se présentent aux élections régionales. Nous allons aborder un seul point, celui de la vague de migrants. Et qu’on ne nous dise pas que c’est un problème national et non régional puisque toutes les communes sont sollicitées pour accueillir des migrants.
La plupart des listes traitent tout simplement cette question par le silence. Alors qu’il s’agit d’une menace du plus haut niveau non seulement pour la région que nous habitons, mais aussi pour notre pays et même pour l’Europe, car c’est une opération qui risque de nous conduire à un changement de civilisation. De plus, pour rester sur le terrain de la région, comment peut-on parler de placer l’humain au centre de l’économie, comme on entend souvent dire de droite comme de gauche, quand on sacrifie 100 000 SDF (sans domicile fixe) qui continueront à dormir dans la rue tout en trouvant le financement pour loger des centaines de milliers d’immigrés ?
Les seuls partis qui en parlent sont Debout La France et le Front National. Mais le premier se limite au « refus de l’installation des camps de clandestins et de l’immigration illégale », sans se prononcer sur le fond, qui consiste à mener le combat idéologique contre l’objectif mondialiste de création de sociétés multiculturelles, multiethniques et pluriconfessionnelles.
Quant au Front National, il a le mérite de diffuser un dépliant spécial sur la « politique migratoire ». Il défend une position voisine de celle de Debout La France en se prononçant pour la « suppression des subventions aux associations communautaristes, immigrationnistes et politico-religieuses ». Et il enfourche le thème cher à tous les républicains : celui de la défense de la laïcité.
La défense de la laïcité est une tromperie
Plutôt que de partir sur une démonstration théorique, prenons un exemple concret. Lorsque des jeunes musulmanes ont voulu entrer dans une école républicaine avec leur foulard, on le leur a interdit. De même, certains chefs d’établissement scolaire refusent d’établir des menus halal dans les cantines scolaires. C’est également le cas de directeurs d’hôpitaux qui refusent de mettre en place une organisation spécifique pour que les femmes musulmanes se fassent ausculter uniquement par des médecins-femme. A chaque fois, c’est le comportement individuel qui est visé, avec un postulat non formulé, à savoir que la religion serait une affaire privée et que, par conséquent, seule l’intrusion de la religion dans la sphère publique serait condamnée, au nom de la laïcité.
Or les trois religions monothéistes – pour ne parler que d’elles – ont une vision holistique de l’homme, la religion englobant toute la vie du croyant et non seulement sa vie privée. Le principe de laïcité nie cette réalité. C’est d’ailleurs le danger de la formule du FN « suppression des subventions aux associations politico-religieuses ». Prenons, là aussi, des exemples concrets. Le juif s’opposera toujours à la diplomatie française si celle-ci apparaît contraire à Israël (sauf ceux qui se prononcent contre le sionisme, ce qui est aussi une position politique). Le musulman – et pas seulement l’islamiste – appartient à « l’ouma » avant d’être Français. Quant au chrétien – s’il prend sa religion au sérieux - il est opposé à l’Union Européenne qui ne respecte pas le principe de subsidiarité, fondement de la doctrine sociale de l’Eglise.
Cette constatation nous rappelle que trois forces ont pour objet de dominer le monde : le christianisme, le seul à envisager cet objectif par des voies pacifiques, l’islam et le dieu-argent. Ce sont trois objectifs antagoniques. Il est donc impossible de définir un plus petit dénominateur commun, qu’on appellerait la laïcité. Nous sommes bien, comme le dit Samuel Huntington, dans un conflit de civilisations.
Aucun des partis ne prend en compte cette dimension civilisationnelle
L’explication est simple : de tels propos ne sont pas « payants » électoralement parlant. Voici donc une démonstration de plus du fait que ce qui est vital pour les Français n’est pas pris en compte dans les élections. Nous en tirons deux conclusions : 1) que la république sacrifie le bien commun ; 2) que, pour défendre le bien commun, il nous faut descendre dans la rue et imposer un rapport de forces pour établir un autre régime politique. Le plus efficace, comme le démontre Saint Thomas d’Aquin, est la royauté.
En avant pour l’installation de Louis XX sur son trône !
LAICITE ET NOURRITURE HALAL
La norme de l’OIE (Office International des Epizooties) publiée en janvier 2012 sur l’abattage des animaux destinés à la consommation humaine précise très clairement les méthodes, procédures ou pratiques inacceptables par souci de protection animale. Elle indique que « toutes les méthodes d’abattage pouvant provoquer stress et douleur sévères chez les animaux sont inacceptables quelle que soit l’espèce concernée ».
En conséquence, l’abattage halal des animaux, effectuée sans étourdissement préalable et pouvant faire souffrir l’animal pendant une durée qui peut aller jusqu’à quatorze minutes est totalement interdit. Il est néanmoins pratiqué car une directive européenne a décrété que la norme ne s’appliquait pas si l’abattage est lié à un rite religieux. Quelle hypocrisie !
A une époque où tous les peuples européens sont menacés par une disparition de leur civilisation du fait d’une invasion migratoire porteuse d’autres mœurs, il est essentiel que nous défendions notre patrimoine culturel.
Ce n’est pas ce que fait la république
Le principe de laïcité défendu par la république est ici mis en défaut : il faut choisir entre la norme de l’OIE, un symbole de notre civilisation, et l’abattage barbare des animaux importé par une religion qui ne fait pas partie de la tradition chrétienne de l’Europe. Voici un exemple typique qui contredit le postulat sur lequel s’appuie le principe de laïcité qui décrète que la religion est une affaire privée.
Le principe de laïcité est donc inapplicable
Que dire maintenant du principe d’égalité, une des trois valeurs de la république ? Il est également violé puisque les salariés des abattoirs sont contraints de renier un principe de civilisation.
Voilà où nous conduit l’hypocrisie des prétendues valeurs de la république
Les partis républicains sont ainsi placés devant un choix : perdre un électorat en respectant un principe de civilisation, ou violer ce principe pour plaire à cet électorat. Nous connaissons la réponse…
Nous l’avons déjà dit et nous le répétons : le principe de laïcité est inapplicable. Il faut donc choisir entre nos références chrétiennes et la primauté accordée à l’islam. Toute l’histoire de l’Europe tranche en faveur du premier terme. Pour le mettre en application, il faut un régime politique qui prenne pour référence les valeurs chrétiennes. Ce ne peut être que l’instauration d’un roi très chrétien. Les autres religions auront le droit d’exister mais, en cas de conflit, comme celui de l’abattage halal que nous exposons ici, il y a un référentiel qui permet de trancher.
Dans l’immédiat, et par respect pour les animaux dont la gestion a été confiée aux hommes par Dieu, nous demandons
l’interdiction de l’abattage halal en France
cOMMENT REDRESSER L'ECONOMIE FRANCAISE ?
Bilan du président Sarkozy : 500 milliards de dettes supplémentaires ; la dette publique est ainsi passée de 1300 à 1800 milliards d’euros.
Chaque année, en moyenne depuis 1990, le PIB a augmenté de 1 à 2%, et la dette issue du déficit du budget de l‘Etat a augmenté de 4% du PIB. C’est ainsi que la dette publique est passée de 20% du PIB en 1980 à 30% en 1990, puis à 60% en 2000, pour atteindre 95% en 2014 (voir livre de Michel Godet, « Libérez l’emploi pour sauver les retraites », Ed. Odile Jacob 2014). En 2014, avec une croissance nulle et un déficit de 4% du PIB, la dette publique s’est alourdie de 80 milliards d’euros.
Pourtant le PIB par habitant a augmenté de 50% depuis 1980 ; néanmoins notre position s’est dégradée au sein de l’UE : nous étions à 10% au-dessus de la moyenne de l’Europe des 15 en 1980 et nous sommes en 2013 en-dessous de cette moyenne.
Entre 2008 et 2012, la France a vu son PIB par habitant régresser de 0,2% par an en moyenne, alors que celui de l’Allemagne a crû au rythme de 0,6% par an en moyenne.
La part de l’industrie dans la production nationale est passée de 18% en 2000 à environ 10% aujourd’hui.
De tous les pays développés de l’OCDE, la France est le pays qui travaille le moins : 615 heures de travail par habitant, alors que le chiffre est au-dessus de 700 pour tous les pays européens développés, mais 828 aux USA et 867 au Japon.
Et pendant ce temps, la croissance mondiale de la production et des échanges n’a jamais été aussi forte qu’entre 1995 et 2007.La solution, tous les hommes politiques de droite comme de gauche la connaissent : il faut améliorer notre compétitivité et, pour cela, le premier poste d’économie est celui du budget de l’Etat. La France a le record du nombre de fonctionnaires par habitant. Le Royaume Uni, lui, a fait des réformes qui ont permis de réduire de 500 000 le nombre de fonctionnaires depuis 2011 et de maintenir ainsi la dépense publique à un niveau de 10 points de PIB inférieur au nôtre. Résultat : le chômage baisse depuis 2012 et la croissance frôle les 3%. Une deuxième manière d’améliorer notre compétitivité est d’augmenter le nombre d’heures de travail par habitant, à revenu constant. Mais rien ne pourra se faire si nous n’avons pas retrouvé notre autonomie sur le plan de la politique monétaire, en commençant par le retour au Franc.
Voici donc trois mesures importantes qu’aucun responsable politique n’ose prendre de peur de déplaire à son électorat. Et si un député se lançait seul dans la bataille, il serait immédiatement exclu de son parti pour la même raison. La situation paraît donc bloquée.
On peut se dire que les autres pays européens se débrouillent mieux que nous et que c’est aux Français de se réveiller. Nous faisons une autre analyse : la France ayant été le premier pays occidental à avoir remplacé la monarchie de droit divin par le régime républicain, c’est aussi le pays dans lequel la « maladie » est la plus avancée. En d’autres termes, nous montrons aux autres pays quel est leur avenir dans un futur proche : la perte totale de responsabilité des hommes politiques, le haut niveau de corruption (par les puissances financières) et le règne de la plus grande immoralité. C’est donc seulement en abolissant le régime républicain que la France pourra retrouver la voie d’un développement allant dans le sens du bien commun.
Nous pouvons toujours attendre l’homme (ou la femme) providentiel(le) qui en appellera directement au peuple pour réaliser ce qu’a fait De Gaulle en 1958 : profiter d’une vacance de pouvoir – nous n’en sommes pas loin – pour faire un coup d’Etat pacifique.
Cet homme, ou cette femme, n’émergera que dans le combat. C’est pourquoi nous avons créé une association apolitique dénommée « Défense de la culture française » à laquelle sont invités tous les patriotes, quelles que soient leurs sympathies politiques.
Créons partout des comités locaux de « Défense de la Culture Française »
En avant pour le retour à une France souveraine
LE DISCOURS LE PLUS COURT JAMAIS PRONONCE PAR WLADIMIR POUTINE

Le temps est venu pour nos leaders élus de prêter attention au conseil de Vladimir Poutine. Est-ce si effrayant que cela ?
Vladimir Poutine, le président russe, s’est adressé à la Douma (ndr : équivalent de notre assemblée nationale) relativement aux rapports tendus avec des minorités en Russie :
« En Russie chacun doit vivre comme des russes. N'importe quelle minorité, de n'importe où, si elle veut vivre en Russie, marcher et manger en Russie, devrait parler le russe et devrait respecter les lois russes.
- S'ils préfèrent la Loi de la Charia et vivre selon les préceptes musulmans alors nous leur conseillons d'aller vivre là où telle est la loi nationale. La Russie n'a pas besoin de minorités musulmanes.
- Les minorités ont besoin de la Russie et nous ne leur accorderons pas de privilèges spéciaux ni n’essaierons de changer nos lois pour les adapter à leurs désirs, peu importe leurs hurlements contre notre prétendue 'discrimination'.
- Nous ne tolérerons pas de manque de respect à notre culture russe.
Nous devrions savoir tirer les conséquences des suicides de l'Amérique, l'Angleterre, la Hollande et la France, si nous voulons survivre en tant que nation.
Les musulmans reprennent ces pays mais ils ne prendront pas le contrôle de la Russie ...
Les coutumes russes et nos traditions ne sont pas compatibles avec leur manque de culture ou leurs coutumes primitives.
Lorsque cette honorable assemblée pense à créer de nouvelles lois, elle doit prendre essentiellement en considération l’intérêt national russe et, considérant que les minorités musulmanes ne sont pas des russes, elle ne doit pas prendre en compte la Charia, la loi des musulmans. »
C’est par une ovation debout de cinq minutes que les membres de la Douma ont salué ce discours de Vladimir Poutine.
Pourquoi un tel discours est impossible en France ?
Parce que Poutine a fait le choix clair de s’appuyer sur la religion orthodoxe pour assurer l’unité du pays, et aussi parce que les russes ont payé le prix fort pour repousser l’envahisseur nazi et qu’il leur en est resté un fort sentiment patriotique.
Ce sont les valeurs que la France avait – la référence à une religion commune et le patriotisme – et que nous devons retrouver. Ceux qui hurlent à la discrimination sont des diviseurs et des destructeurs de notre pays.
QUELLE MENACE SUR NOTRE CIVILISATION ?
A en croire les media qui, depuis deux semaines, nous abreuvent d’informations sur la COP21, tout un chacun est porté à croire que les 150 chefs d’Etat qui y étaient réunis avaient la responsabilité de tout faire pour sauver la planète. Ce n’était même plus une civilisation qui était menacée, mais la survie de l’humanité sur terre.
« Rappelons que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) juge nécessaire de baisser de 40 % à 70 % les émissions mondiales d’ici à 2050, pour éviter un emballement climatique incontrôlable » (Le Monde du 13/12/2015). Or il est bien connu que les membres du GIEC ne sont pas des professionnels des questions climatiques mais des politiques. Nous pouvons donc raisonnablement mettre en doute leurs propos. Bref, nous apprenons que « pour solder leur ‘dette climatique’, les pays du Nord ont promis à ceux du Sud, en 2009, de mobiliser en leur faveur 100 milliards de dollars (91 milliards d’euros) par an, d’ici à 2020 ». Mais nul ne sait comment cette promesse sera tenue…
La menace est ailleurs : elle concerne notre civilisation
Et pendant ce temps, les migrants continuent à affluer. Les media ne nous disent pas que c’est la civilisation européenne qui est menacée par un « grand remplacement » des européens par des arabes et des africains, majoritairement musulmans et porteurs d’une culture autre que celle que nous avons accumulée en plusieurs millénaires.
Actuellement, l’essentiel de cette immigration qui nous est imposée provient de Syrie, pays en guerre comme chacun sait. Voyons les rapports de force. L’Etat islamique a constitué une armée estimée à 100 000 hommes, et non 30 000 comme se plaisent à nous raconter les media. La Turquie, membre de l’OTAN, devrait, théoriquement, être en première ligne pour nous défendre. Elle possède une armée de plusieurs centaines de milliers d’hommes, des milliers de chars, des centaines d’avions et d’hélicoptères et pourrait donc, si elle le voulait, ne faire qu’une bouchée de l’Etat Islamique. Or la Turquie ne le fait pas. Pire, elle laisse passer des convois de plusieurs kilomètres de camions chargés de pétrole qui seront vendus en Occident – à nous Français en particulier – ce qui rapporte de gros subsides à l’Etat Islamique. Autrement dit les occidentaux, par ces achats de pétrole, financent l’Etat Islamique !
Nous sommes en guerre, François Hollande l’a dit lui-même. Or « la meilleure défense, c’est l’attaque », selon un dicton bien connu. Mais la France est dans une situation politique et mentale équivalente à celle des débuts de la guerre d’Algérie : les mesures prises sont adaptées à une protection contre des terroristes que l’on considère comme des délinquants, mais elles ne sont pas du tout adaptées à une situation de guerre. Encore quelques chiffres : on estime que le nombre de musulmans en France – qu’il est interdit de recenser – se situe autour de 7 à 10 millions de personnes. Si l’on fait l’hypothèse, prudente, que 10% d’entre eux sont plutôt favorables à l’Etat islamique – car beaucoup se reconnaissent musulmans avant d’être Français – c’est donc que nous avons sur notre sol un potentiel de 800 000 terroristes.
La France doit d’urgence reconstituer son armée
Rappelons-nous la guerre d’Algérie. Si la France a gagnée la guerre militairement – elle l’a perdue politiquement, mais ceci est une autre histoire – c’est parce que nous avions une armée de 500 000 hommes sur le terrain. Poutine a compris que la première chose à faire pour affaiblir l’Etat Islamique est de fermer la frontière avec la Turquie au nord de la Syrie, puisque c’est par là que passent les livraisons de pétrole dans un sens, d’armements dans l’autre. Il a donc attaqué, en collaboration avec l’armée de Bachar El Assad, la soi-disant opposition modérée que constitue Al-Nosra et qui occupe justement cette zone. Malheureusement pour lui, et pour nous, l’offensive a été stoppée, du fait que ces islamistes possèdent des missiles portables capables de détruire des chars et d’abattre des hélicoptères, des armes livrées par les puissances occidentales, dont la France.
En clair, si la France veut détruire l’Etat Islamique, ce qui est vital non seulement pour notre pays mais aussi pour toute l’Europe, comme nous l’avons vu, elle doit affronter la Turquie, bras armé des Etats-Unis. Il nous faut pour cela une force armée supérieure à celle de ce pays, soit, au bas mot, un million d’hommes. Cela paraît utopique. Mais préférons-nous une conscription nationale exceptionnelle pour défendre notre avenir, ou devenir à moyen terme une terre islamique ?
La gouvernance de la France est trop dispersée en de multiples responsabilités pour être capable de prendre une décision à la hauteur des besoins. Les Français l’ont bien compris puisque, selon un sondage récent, 50% d’entre eux souhaitent un pouvoir fort. Seul un roi peut l’assumer sans retomber sous la coupe des puissances financières.
Louis XX au pouvoir !
"LA GUERRE A TRAVERSE LA MEDITERRANEE"
C’est ce qu’a déclaré ce matin 14 novembre sur Antenne 2 un journaliste spécialisé dans les questions liées à l’islamisme radical. Cela a été confirmé par François Hollande, qui a reconnu que « La France est en état de guerre » et a déclaré l’état d’urgence. Le journaliste a aussi précisé que, même s’il est impératif de mobiliser toutes les forces de sécurité, cela ne suffit pas. Il faut aussi, dit-il, mener le combat idéologique contre l’islamisme.
Voilà un propos fort pertinent auquel la république est incapable de répondre. Toutes ces marionnettes politiques, qu’elles soient de droite ou de gauche, sont incapables d’aller plus loin qu’un appel à « défendre la laïcité et les valeurs de la république ». Or, disait ce même journaliste, il s’agit de bien plus : l’islamisme radical défend un projet de société, ce que nos hommes politiques républicains sont bien incapables de faire.
Pas de combat idéologique sans projet de société
Un sondage IFOP commandé par Atlantico (le Figaro du 12/11) nous fournit une information sur l’état d’esprit des Français : 67% d’entre eux sont favorables à un pouvoir fort, non soumis à la pression électorale. Or seul le retour du roi – Louis XX ne cesse de déclarer qu’il est à la disposition de la France – peut instaurer un régime politique capable de mener le combat idéologique.
Car ce combat idéologique, ce n’est pas seulement contrer les discours des imams radicaux dans les mosquées, ou ceux publiés par les Etats musulmans. C’est aussi défendre un projet de société cohérent, suffisamment ambitieux pour redonner de l’espoir à toute une jeunesse déroutée. En un mot, lui permettre de retrouver un idéal qui donne envie de se battre pour lui, quitte à risquer sa vie.
Cet idéal ne peut être que celui qu’offre le christianisme. C’est pourquoi il nous faut « un roi très chrétien », un roi qui défendra les valeurs évangéliques, les seules, par rapport aux autres religions, qui ne sont pas discriminantes mais respectueuses des autres religions, tout en surveillant celles qui ne respecteraient pas la France.
Un roi qui orientera résolument la politique extérieure de la France dans une alliance avec la Russie, avec sortie de la France de l’OTAN, une organisation dirigée par les Etats-Unis, lesquels ont financé le développement des organisations islamistes. En effet, la triade UK-USA-Israël a pour objectif non pas d’aider l’Europe mais au contraire de l’affaiblir. Au-delà de la menace islamiste, notre véritable ennemi, ce sont les Etats-Unis, qui font des grands sourires par devant et nous font la guerre par derrière.
Il faut choisir : s’allier avec les USA ou avec la Russie
François Hollande a déclaré l’état d’urgence et a ordonné la fermeture des frontières. Ce sont de bonnes décisions. Cela signifie que c’en est fini de Schengen et c’est une très bonne nouvelle. La triste actualité oblige la France à se réveiller et à retrouver, en partie, sa souveraineté. Allons jusqu’au bout de cette logique :
Sortie de la France de l’UE et de l’OTAN
Alliance avec la Russie
Abolition de la république, incapable de mener le combat idéologique
Retour aux valeurs chrétiennes
LETTRE OUVERTE AUX ELECTEURS DU FRONT NATIONAL
Après les résultats de dimanche 13/12, il y a eu parmi vous deux types de réaction. Les uns ont été très déçus, ce qui se comprend, tandis que d’autres se sont barricadés dans leurs certitudes : « nous avons avancé d’un pas, prochain coup il y en aura d’autres… jusqu’à la victoire ». Sauf que cela fait quarante ans que vous attendez la victoire. C’est comme pour le coiffeur : « demain on rase gratis ».
Remarquons au passage que ce n’est pas parce que Marine Le Pen a édulcoré le programme du Front National que cela a été l’explosion du nombre de voix. Ce fut seulement une progression normale dans une élection normale…
Comme tout le monde a pu le constater, le « front républicain » a une fois de plus bien fonctionné. Ce n’est pas étonnant quand on connaît la puissance de la franc-maçonnerie infiltrée dans tous les grands partis.
Bien sûr, vous pensez qu’il faut bien patienter puisqu’il n’y a pas d’autre solution. Sous-entendu : l’autre solution serait l’insurrection armée, ce que vous refusez et vous avez raison. Mais il y a une troisième voie.
La troisième voie, c’est la mobilisation populaire
Cette mobilisation populaire, elle est déjà bien plus forte que dans les autres pays européens : ce sont les deux millions de personnes qui sont descendues dans la rue pour protester contre la loi Taubira sur le mariage des homosexuels, ce sont les Bonnets Rouges en Bretagne, les agriculteurs, les policiers, les chauffeurs de taxi, etc.
Honte à ceux qui disent que les Français sont des veaux. Ils suivent au contraire leur sentiment gaulois et il faut nous en réjouir. Seulement, toutes ces forces n’ont pas débouché sur des victoires. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut plus descendre dans la rue. Cela veut dire au contraire qu’il faut, sur chaque terrain de lutte, choisir des objectifs et ne plus les lâcher jusqu’à obtenir satisfaction.
Mais pour cela il faut une réflexion politique, et cela ne peut se faire qu’au sein d’une organisation de combat. Prenons l’exemple de La Manif Pour Tous. Ses dirigeants sont, malheureusement, électoralistes, ce qui fait que LMPT change d’objectif tous les ans en fonction de l’actualité électorale. Cela ne peut pas marcher. Et c’est pourquoi ses militants font du surplace, un peu comme le Front National. Il faut au contraire, pour rester sur cet exemple, se donner pour objectif l’abrogation de la loi Taubira et ne plus le lâcher jusqu’à la victoire.
Il en va de même sur la question de l’immigration. La vague déferlante de migrants que connaît l’Europe depuis cet été – elle se chiffre à un million d’entrées en six mois ! – résulte de la soumission des dirigeants européens à ceux qui ont organisé cette vague : les Etats-Unis. Ce sont en effet eux qui ont été les instigateurs de la guerre en Irak, laquelle a débouché sur un immense désordre favorable à la montée de l’islamisme. Ce sont les Etats-Unis également qui ont poussé Sarkozy à faire la guerre en Libye pour faire chuter Kadhafi, le seul dirigeant arabe, avec Saddam Hussein, capable de maintenir l’islamisme.
Ce ne furent pas des erreurs, cela s’inscrit dans un plan organisé
Au niveau le plus visible, il s’agit du plan américain qui a pour objectif de déstabiliser l’Europe et d’empêcher son développement économique et social. Mais il y a un deuxième niveau, moins visible : la franc-maçonnerie internationale a pour objectif de provoquer la guerre entre partisans de l’islam et partisans d’Israël de manière à se détruire mutuellement dans un vaste conflit, en clair la troisième guerre mondiale.
Personne n’en parle, et surtout pas dans les élections. Voilà pourquoi, chers électeurs du FN, vous perdez votre temps à poursuivre un rêve qui ne se réalisera pas et, pendant ce temps, vous ne voyez pas l’essentiel, car personne ne vous en parle, pas plus Marine Le Pen que d’autres : le risque de troisième guerre mondiale.
Pas d’unité des peuples sans morale
Pas de morale sans Dieu
Tous unis pour le retour du roi, le lieutenant de Dieu sur terre
lES DOUZE RAISONS D'ETRE ANTI-AMERICAIN
Martin Peltier a écrit récemment « 20 bonnes raisons d’être anti-américain » (DIE 2015). En voici les idées essentielles :
Les USA ont lancé plus de 200 conflits dans le monde depuis 1945
Les USA sont en pointe dans l’extension de la guerre aux civils. Exemple l’Irak : un million d’enfants morts de famine du fait du blocus américain. Autrefois (du temps de Napoléon), 20% des morts de la guerre étaient des civils, et 80% des militaires. Aujourd’hui les proportions sont inversées.
En 1905, ils ont encouragé le Japon à déclarer la guerre à la Russie et saboté le circuit des approvisionnements de l’armée, ce qui conduisit à la victoire nippone, un petit pays face au géant russe. Cet échec dévasta la Russie financièrement, mentalement, humainement et politiquement, ce qui préparait la grande guerre et la révolution russe.
En 1918, les USA ont encouragé l’Allemagne à ne pas régler à la France les dommages de guerre, ce qui étrangla littéralement notre pays.
Lors de la Libération, les USA ont bombardé la France bien au-delà de ce qui était nécessaire. Exemple : Royan, ville non stratégique, rayée de la carte. Résultat : 60 000 morts du côté français.
La maîtrise des images par les USA : jusqu’en 1914, le cinéma français avait dominé les marchés mondiaux grâce à deux géants, Pathé et Gaumont. L’entre deux guerres fut une guerre cinématographique entre les USA et la France. En 1946, Blum brade le cinéma français par les accords Blum-Byrnes, qui réglemente la diffusion en limitant à un tiers la proportion de films français contre deux tiers de films américains importés.
L’affaire Michael Brown, ce noir tué par un policier blanc en légitime défense, permet à Barak Obama de mener une propagande anti-blanche diffusée sur toute la planète.
Il existe 3 pouvoirs : l’or, le sacré et le sabre. Pour avoir abaissé le sacré, les Européens se sont mis sous la coupe de l’or. Ainsi, depuis la création de la Fed, les USA sont un modèle de ploutocratie qui prétend diriger le monde.
Aujourd’hui la guerre raciale fait rage aux USA. En 2005, 37000 femmes blanches ont été violées par des noirs, contre 10 femmes noires par des blancs. Et les USA favorisent l’immigration massive en Europe, avec l’objectif d’une domination des Européens par les musulmans.
Les USA soutiennent Israël dans sa conquête de la Palestine. Ainsi, en 1967, lors de la guerre des six jours, la résolution 242 du Conseil de Sécurité de l’ONU oblige Israël à revenir à ses frontières de 1949, mais c’était écrit ainsi dans la version française mais non anglaise, ce qui permet aux USA de cautionner le maintien de l’occupation.
Sur l’exemple des USA, le pouvoir des juges progresse à grands pas, le but étant de réduire peu à peu la responsabilité et l’autonomie des citoyens. Exemple : en octobre 2014, seuls 19 Etats américains autorisaient le mariage gay. En 2015, à la suite de décisions de justice, les couples de même sexe peuvent se marier dans 32 des 50 Etats.
Les USA sont à l’origine de la construction idéologique du mondialisme, le but étant de détruire le monde blanc, jugé injuste et mauvais. A cette fin, ils instrumentalisent l’islamisme pour déstabiliser l’Europe et en faire une colonie américaine, le pouvoir islamique n’étant qu’une transition.Par conséquent, et contrairement au discours officiel, notre plus grand ennemi, ce sont les Etats-Unis. On nous dit « oui, mais c’est bien eux qui ont organisé le Plan Marshall qui a permis à l’Europe de se reconstruire ». Mais on ne sait pas que ce sont les mêmes Etats-Unis qui ont provoqué les deux guerres mondiales pour détruire la puissance européenne. Alors c’est facile de donner un os à ronger quand on a fait passer le meilleur de la classe à la dernière place et qu’on en tire tout le bénéfice financier pour des décennies !
Le mécanisme était le suivant : 1) Plan Marshall, 2) invasion culturelle, 3) soumission idéologique.
La première décision à prendre est de sortir définitivement de l’OTAN et de développer notre alliance avec la Russie et les Etats de la Francophonie.
En particulier, c’est la seule solution pour stopper la vague migratoire - qui est , elle aussi, planifiée par les Etats-Unis pour couler l’Europe – et participer activement à la guerre contre l’Etat Islamique au côté de Bachar El Assad, de la Russie, des Kurdes et de l’Iran. Laquelle guerre est sabotée par les mêmes Etats-Unis qui soutiennent Al-Nosra, tout aussi dangereux, car ils ont pour objectif principal de faire tomber Bachar El Assad. Entre les deux options qui consistent à traiter ce dernier en allié ou en ennemi, il faut choisir !
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